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Le FFS dément fortement les accusations d’agression physique colportées par K.L.Chaouche

Le FFS dément fortement les accusations d’agression physique colportées par K.L.Chaouche dans Non classé logoalgerieLe FFS dément fortement les accusations d’agression physique colportées par K.L.Chaouche, ce mardi 7 août 2012.

S’il est vrai que nous lui avons signifié qu’il n’était pas le bienvenu au Siège national du FFS, personne ne l’a agressé; nous avons par contre des raisons de croire qu’il était venu pour faire dans la provocation.

Il faut savoir que suite au rejet de sa candidature aux élections législatives du 10 mai dernier, il s’est violement retourné contre le FFS en s’engageant pleinement dans la campagne de lynchage menée contre le parti. Les articles qu’il a publiés depuis dans le quotidien l’Expression renseignent sur son éthique, sa déontologie et son professionalisme. Qu’on en juge:
… « Cela nous rappelle, dit-il, la purge menée par Adolf Hitler, en mettant en place les sections «SA» et «SS», véritables milices chargées de faire office de service d’ordre dans les meetings et d’agresser les adversaires des nazis dans la rue.
Cette milice a par conséquent permis à Adolf Hitler de réorganiser une purge dure et massive et prendre la tête du parti nazi. C’est dire que le scénario mis en oeuvre par l’actuelle direction, qui ne repond aux doléances de ses cadres que par voie de sanction et répression, tire son originalité de la stratégie d’Adolf Hitler, qui a réussi à renverser le Parti socialiste des travailleurs allemands et le mettre à sa disposition, tout en le déviant de ses fondements. »… (In L’Expression du 25 juin 2012)

Ces propos qu’il avait d’abord lâchement attribués à Samir Bouakouir avant d’avouer les avoir écrits lui-même, suffisent à mesurer l’étendue de sa haine pour le FFS. Par ailleurs, le FFS interpelle tous ceux qui se sont empressés de réagir par le biais de communiqués et autres écrits pour condamner des membres de la direction du FFS. Il aurait été plus judicieux de mieux s’informer plutôt que de pousser le ridicule jusqu’à interpeller l’APN et exiger des sanctions.

P/ Le secrétariat national

Le premier secrétaire

ALi Laskri

Commentaires

  1. jazairouna dit :

    Qu’il en veuille au FFS parce qu’il n’a pas été retenu comme candidat prouve qu’il n’est qu’un opportuniste arriviste et des tas d’autres qualificatifs j’aurais préféré qu’il quitte le FFS en signe de protestation contre la collaboration (participation ).
    Par sa collaboration le FFS a causé  » l’orphelinage » des algériens. Il n’y a plus d’opposition.

  2. khlil dit :

    kamel candidat? hahahaha le monde tourne pas en rond.

  3. Mourad dit :

    Le FFS reste et restera l’opposition farouche au systeme, n’en deplaise a ceux qui veulent le reduire a un simple parti regionaliste.
    Je deplore biensur ce petit evenement, et je reproche a nos cadres et deputes d’etre tombe dans le piege de cet opportuniste, ce detenteur de la plume du systeme.
    La reussite de la conference tenue, passait par l’acceuil de tous les journalistes, meme les pires ennemis du FFS, et ceux la il y en a beaucoup, en majorite pousses par le systeme au pouvoir.
    VIVE LE FFS

  4. boun3as dit :

    qui tu qui? pourquoi ce silence sur l’affaire NEZAR?

  5. izan-fellem dit :

    pendant que la kabylie est livrée a elle meme, aux bandits, au terroristes, aux militaires, vous vous ne trouvez rien a faire que de nous faire chier avec vos querelles de minables. Vous me donnez envi de vomir et je vous souhaite tous de finir en bouillie bandes de minable

  6. lahdarchaouche_kamel@yahoo.fr dit :

    Bientôt, un parti, dit d’opposition, hissera un homosexuel au poste du premier secrétaire. Ce n’est pas une rumeur, cet homosexuel, connu notoirement dans les milieux politiques et journalistiques, est fort épaulé par des vampires politiques à la soldes des services.

  7. argaz ntmourth dit :

    Chaque année la date du 20 Août vient nous rappeler l’un des moments-charnières de notre guerre de Libération: le Congrès de la Soummam, c’est-à-dire les premières assises de la jeune révolution algérienne, en 1956. Un tel événement-fondateur a imprimé à l’histoire de notre lutte un tournant majeur par la plate-forme qui en est issue et qui trace les contours de l’édifice institutionnel de la Révolution.

    On y retrouve, explicités, les trois éléments clés qui identifient la nature du mouvement de libération et sous-tendent sa cohérence idéologique et politique : une légitimité révolutionnaire articulée sur un programme et une stratégie structurée; un statut organique définissant les rouages de la Révolution et leur mode de fonctionnement; une direction unique et homogène. Le nom du Congrès de la Soummam reste intimement lié à celui d’un personnage d’une trempe peu commune: Abane Ramdane. Homme de conviction et de caractère, il a été l’un des principaux promoteurs de l’idée de ce congrès, comme il a été à la fois l’inspirateur avisé de ses orientations et l’artisan déterminé de sa préparation et de son succès.

    Un homme de passion

    Le souvenir de Abane demeure également associé à une autre oeuvre maîtresse pour la réussite de laquelle il s’est dépensé avec passion: la promotion de la Zone autonome d’Alger la fameuse ZAA, en un fer de lance d’une redoutable efficacité. C’est sous ses auspices, en effet, que l’organisation FLN/ALN d’Alger a pris un essor fulgurant. Si elle s’est transformée en vitrine éloquente de la Révolution en marche, l’élan incisif, qu’il a su lui communiquer, y est certainement pour beaucoup. Abane n’avait de cesse de hisser Alger au rang de capitale de l’Algérie en armes. Avec l’installation en septembre 1956 de l’exécutif suprême du FLN dans cette agglomération, il trouva en Ben M’hidi le compagnon idéal lequel nourrissait des ambitions identiques. Ensemble désormais, ils s’acharneront à mettre Alger au diapason de ville symbole d’une fière citadelle où se développait, dans le vacarme des bombes, l’expérience inédite des maquis urbains. “Le triumvirat que nous formions alors avait reçu du CCE mandat de superviser l’organisation algéroise. A leurs côtés, et tout en y contribuant de mon mieux, j’ai pu apprécier combien leur rôle avait été déterminant pour insuffler une âme au combat de la ZAA. En améliorant et en renforçant les capacités de ses deux branches, politique et militaire, en l’impliquant chaque jour davantage dans une confrontation exacerbée avec l’ennemi, ils ont permis à la Zone autonome de conquérir ses lettres de noblesse. En peu de temps, ils ont réussi à faire de cet appareil révolutionnaire de premier ordre, un outil offensif doté d’une force d’impact considérable… “ Le personnage Abbane, l’un des plus grands acteurs de l’histoire du mouvement national. ne saurait être saisi et compris que s’il est replacé dans son contexte historique. Abane, libéré en janvier 1955 après 5 ans de détention, regagne son village natal de Azzouza en Kabylie. Là, il est contacté par Krim et Ouamrane. Bitat est arrêté le 23 mars 1955. Ouamrane prend la relève à la tête de la zone IV et confie, en accord avec Krim, la responsabilité d’Alger à Abbane. Une « direction » de fait s’impose avec Abbane, qui en devient l’âme, Krim, chef de la zone de la Kabylie et Ouamrane, chef de l’Algérois, Ben Khedda est l’un des assistants de Abbane au début de 1956. Abane impulse à cette direction un souffle nouveau ; elle devient la véritable direction nationale de l’Algérie, un centre de coordination entre les chefs de l’intérieur et entre ces derniers et ceux de l’extérieur. Ainsi Abane la transforme en plaque tournante du FLN, vitrine de la lutte pour l’indépendance. Dans les tracts qu’il rédige, il lance des mots d’ordre et des proclamations qui ont des répercussions au-delà des frontières. Sa devise était : « La libération de l’Algérie sera l’œuvre de tous les Algériens, et non pas celle d’une fraction du peuple algérien quelle que soit son importance. » Autour de lui se forme une équipe qui réalise un travail de mobilisation et de propagande considérable aussi bien en direction de la population musulmane qu’envers les libéraux et les progressistes de la population européenne. Vis-à-vis de la population musulmane, il déclenche une dynamique d’union nationale qui se solde entre l’automne 1955 et le printemps 1956 par l’adhésion au FLN des membres du Comité central du PPA-MTLD et de leurs partisans les « centralistes » , de l’UDMA de Ferhat Abbas, de l’Association des ulémas de Bachir Brahimi, ce qui élargit les assises du Front. Alger servira de base logistique non seulement à l’Algérois et à la Kabylie toute proche, mais à toute l’Algérie : médicaments, argent, effets militaires y sont collectés et acheminés dans toutes les régions sans distinction. On assiste alors à une accélération de l’intégration des catégories socioprofessionnelles.

  8. moumouh dit :

    azul.cette fois le regime est vraiment aux abois.decidence massive des soit disant cadres,sortie des ex cadres (cellule dormante),et maintenant des candidats a la candidature(malheureux).des piqueres de mouches ne peuvent pas arreter un cheval (etalon)envahit dans sa course.le ffs ne doit pas devie de ses objectifs.longue vie a h.ait-ahmed et bon courage a tous les militants sinceres.thanmirth.

  9. Presse Algérienne dit :

    Les debats constructifs ce n’est pas votre fort.

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