Hichem Aboud, une autre imposture algérienne
Rachid Ikhenoussène, rédacteur en chef démissionnaire du quotidien Mon Journal
En date du 18 août 2012 et sous la signature de Hadjer Guenanfa,TSA a publié un article sur le conflit social secouant le quotidien Mon Journal. En tout professionnalisme, l’auteur de l’article a donné la parole aux deux parties : journalistes protestataires et directeur de la publication, Hichem Aboud. Ce dernier s’est fendu de déclarations où le me nsonge se disputait la vedette au ridicule. Voici quelques précisions pour rétablir la vérité.
Hichem Aboud a ainsi affirmé que le retard accusé dans le paiement des salaires de juillet était du à des lenteurs au niveau de sa banque, la Société Générale, omettant volontairement d’indiquer qu’il s’agissait d’un versement de l’ANEP, au titre de prestations publicitaires correspondant au même mois. Cela signifie en clair que le propriétaire unique du journal n’était pas en mesure d’assurer deux mois de salaires à ses employés et qu’il attendait que l’agence publique de publicité vienne à la rescousse pour ce faire. Quand on sait qu’il n’avait pas non plus payé son fournisseur en mobilier et l’entreprise chargée de l’installation informatique, comptant sur les mêmes recettes, l’on comprend que Hichem Aboud, qui crie sur tous les toits s’être ruiné pour lancer ses deux publications, Mon Journal et Jaridati, n’a en fait rien investi. Il est revenu de son exil français pour traire le pis généreux de la vache à lait ANEP. Point barre.
Quant à sa qualité d’opposant qu’il défend mordicus, affirmant « ne pas être dans les bonnes grâces du pouvoir », elle prête plus à sourire qu’à autre chose. Car, en effet, comment expliquer la célérité avec laquelle il a obtenu des agréments à ses deux publications, alors que des journalistes autrement plus méritants attendent depuis de longues années le fameux sésame ? Comment expliquer également la bienveillance de l’ANEP à son égard ? Pour qui connaît le parcours de ce monsieur, la réponse est claire comme de l’eau de roche.
Concernant le jugement sévère porté sur son propre journal, le qualifiant de médiocre, Hichem Aboud oublie, lui qui est bien placé pour le savoir, qu’il n’y a pas de mauvais soldats, mais seulement de mauvais généraux. La vérité est que nos conceptions étaient totalement opposées aux siennes. Nous voulions faire, dans les limites des conditions dérisoires dont nous disposions, un journal professionnel, objectif, patriotique et positivement critique. Lui voulait faire le New York Times avec les moyens de la Tribune de Bobo-dioulasso et le contenu d’Echourouk, soit à coup d’enquêtes qui enverraient au bûcher des lampistes et qui seraient autant d’écrans de fumée voilant les vrais scandales impliquant de gros poissons.
Pour le volet social du conflit qui constitue le vrai enjeu, le reste n’étant que diversion, Hichem Aboud n’a pas hésité à recourir au mensonge le plus grossier, en affirmant que tous les salariés étaient déclarés. Je réitère, ici, que la majorité des journalistes travaillent au noir et que ceux qui ont été déclarés ne sont pas surs que leurs cotisations sociales soient régulièrement versées. Mais là-dessus, c’est la justice qui tranchera, l’inspection du travail ayant été officiellement saisie.
Notons pour conclure que cette affaite a au moins le mérite de révéler Hichem Aboud sous son vrai visage. Celui d’un imposteur qui s’est construit une réputation non pas sur une quelconque réussite journalistique, mais sur une opération de règlement de comptes avec le général Betchine, son ancien parrain et mentor, au travers de son livre « La Mafia des Généraux », paru dans une conjoncture particulière. Comment ne pas songer dans cette histoire au petit enfant qu’on prive de son joujou et qui commet une bravade à l’encontre de son papa ? Le petit enfant revient ensuite docilement dans le giron familial, dès qu’on lui restitue son joujou. Les masques sont tombés mon capitaine.
Quant à sa qualité d’opposant qu’il défend mordicus, affirmant « ne pas être dans les bonnes grâces du pouvoir », elle prête plus à sourire qu’à autre chose. Car, en effet, comment expliquer la célérité avec laquelle il a obtenu des agréments à ses deux publications, alors que des journalistes autrement plus méritants attendent depuis de longues années le fameux sésame ? Comment expliquer également la bienveillance de l’ANEP à son égard ? Pour qui connaît le parcours de ce monsieur, la réponse est claire comme de l’eau de roche.
Concernant le jugement sévère porté sur son propre journal, le qualifiant de médiocre, Hichem Aboud oublie, lui qui est bien placé pour le savoir, qu’il n’y a pas de mauvais soldats, mais seulement de mauvais généraux. La vérité est que nos conceptions étaient totalement opposées aux siennes. Nous voulions faire, dans les limites des conditions dérisoires dont nous disposions, un journal professionnel, objectif, patriotique et positivement critique. Lui voulait faire le New York Times avec les moyens de la Tribune de Bobo-dioulasso et le contenu d’Echourouk, soit à coup d’enquêtes qui enverraient au bûcher des lampistes et qui seraient autant d’écrans de fumée voilant les vrais scandales impliquant de gros poissons.
Pour le volet social du conflit qui constitue le vrai enjeu, le reste n’étant que diversion, Hichem Aboud n’a pas hésité à recourir au mensonge le plus grossier, en affirmant que tous les salariés étaient déclarés. Je réitère, ici, que la majorité des journalistes travaillent au noir et que ceux qui ont été déclarés ne sont pas surs que leurs cotisations sociales soient régulièrement versées. Mais là-dessus, c’est la justice qui tranchera, l’inspection du travail ayant été officiellement saisie.
Notons pour conclure que cette affaite a au moins le mérite de révéler Hichem Aboud sous son vrai visage. Celui d’un imposteur qui s’est construit une réputation non pas sur une quelconque réussite journalistique, mais sur une opération de règlement de comptes avec le général Betchine, son ancien parrain et mentor, au travers de son livre « La Mafia des Généraux », paru dans une conjoncture particulière. Comment ne pas songer dans cette histoire au petit enfant qu’on prive de son joujou et qui commet une bravade à l’encontre de son papa ? Le petit enfant revient ensuite docilement dans le giron familial, dès qu’on lui restitue son joujou. Les masques sont tombés mon capitaine.
Un Rédac Chef (incapable d’analyser son patron-voyou avant l’embauche) : « Pour le volet social du conflit qui constitue le vrai enjeu » Ah bon « le vrai enjeu »? (l’information, la démocratie, toussa,toussa, non?). « Tribune de Bobo-dioulasso » (plus raciste que ça? difficile!!) Bobo te dis merde (tu situes le lieu, au moins?). Perso les ennemis de mes ennemis ne sont pas, nécessairement, mes amis. Désolant de médiocrité.
Ya Allah! Qui est qui dans ce magma « bouillonnant »(sic)!!!Pourquoi utiliser la presse et de surcroit internet pour laver son linge sale en famille! Chiche ya de très beaux coins de duels. Pour avoir la Mitidja : Chréa; c’est mourir tout près embaumé! Tikjda, c’est tout le courage d’une région en symbole. et plein d’autres lieu. un journal c’est pour informer le citoyen une aire de duel c’est pour égler ses compte!!! Faut choisir.
Vous censurez mon post soit ! Conclusion je crois que j’ai mal compris certains de vos objectifs. Je n’ai pas pour habitude de critiquer pour critiquer mais de dire des vérites même si elles fachent. Supprimer un commentaire après l’avoir enregistré et laissé en attente d’être modéré plusieurs jours ne correspond pas à l’attitude juste dument ç ce que je croyais.
Pour moi il y a des hommes beaucoup plus nocifs et dangereux que cet ancien journaliste du journal el djeich…
Mohand1
c’est un lache ce hichem aboud wakila KHARAF allah ghaleb kbir ou djayeh pffffffffffff
vaut mieux éviter le merdier la bouze est plus propre!!!
svp ya les algeriens de 2013 qui veulent le beurre,l’argent du beurre et l’emballage du beurre. on sait que ca sent mauvais partout mais de grace laissez nous tranquille vous avez pris tout ce que vous avez voulu prendre.
ne ne sommes pas des imbéciles!