Archive pour 'Actualités Algérie'

Malika Matoub :«Matoub est un sujet qui fait peur»*

malika.jpgAnnoncé pour aujourd’hui puis reporté, le procès de l’affaire de l’assassinat de Matoub Lounès aura-t-il lieu ? En attendant d’être édifié sur ce que tout le monde appelle une affaire politique, ici en Kabylie, la sœur du Rebelle revient encore avec d’autres vérités et met à nu des contradictions qui montrent et démontrent que cette affaire est plus que compliquée.

Quelle lecture faites-vous des dernières manipulations médiatiques au sujet du procès de l’assassinat de votre frère ?

Malika Matoub : Cette question me fait sourire. Y a-t-il autre chose que des manipulations médiatiques dans notre pays à partir du moment où le pouvoir a la mainmise sur toute forme de communication, notamment l’audiovisuel et la presse écrite. Celle dont vous voulez certainement parler, c’est celle des quotidiens qui ont annoncé la tenue du procès des présumés assassins de Lounès, pour le 11 novembre. Il y a certainement manipulation, mais je ne saurai dire si elle vient des quotidiens ou d’ailleurs. Dans le premier cas, ces quotidiens ont donné une information erronée qui n’est toujours pas officielle auprès de la cour de Tizi-Ouzou, dans ce cas-là, aujourd’hui, il n’y aura pas de procès sur cette affaire. Dans le deuxième cas, le procès se tiendra et j’y serai, actuellement, c’est la raison de ma présence en Algérie. Ces quotidiens auraient dit vrai et donc détiendraient des sources «sûres». Certainement pour des raisons occultes, «ils» veulent ou pas alerter l’opinion sur la teneur de ce procès. Soit par peur du ridicule en rendant publique une mascarade qui n’a pas de sens, soit parcequ’ «ils» auront des «garanties» pour se débarrasser d’une affaire aussi embarrassante, en sacrifiant deux innocents qui avaient été désignés par celui qui devrait répondre devant la justice pour ses propos et ses actes dans cette affaire. Rappelons que ces deux présumés «assassins», Medjnoun et Chenoui, auraient été d’après leurs dires, tous les deux désignés et livrés par l’actuel vice-président de l’Assemblée populaire nationale (APN).
De plus en plus, on qualifie l’affaire Matoub Lounès de politique, il ne s’agit plus de la tenue d’un procès d’une affaire d’assassinat ?
Vous avez tout à fait raison, cette affaire a été subtilisée à la justice pour être gérée politiquement, et ce, dès les premiers jours qui ont suivi l’assassinat. C’est ce qui fait la difficulté de cette affaire mais c’est aussi ce qui confirme que cet assassinat ne peut être attribué à un banale groupuscule de terroristes islamistes comme l’ont tellement rabâché certains «démocrates» de service. S’ils avaient raison, il aurait été si simple de répondre aux revendications de ma famille en procédant à une reconstitution du crime, à une enquête balistique, à une audition approfondie des témoins, à une instruction depuis bientôt dix ans avec tous les éléments que nous avons mis à la disposition de la justice. Il est évident aujourd’hui, que tout cela ne peut avoir lieu sans une volonté politique.
Quelle lecture faites-vous du retard inédit de la tenue de ce procès, presque dix ans après l’assassinat, le procès n’a toujours pas lieu ?
Pour aboutir à un procès, il faut passer par l’étape d’une enquête sérieuse sur le pourquoi et le comment. Le mobile du crime déterminera les pistes à suivre et les personnes suspectes. Si nous en arrivons là, nous aurons fait un grand pas en avant. Il est évident que si la justice met sept années pour juger deux présumés assassins qui présentent tous les deux un alibi, il faudra encore de nombreuses années avant de juger les véritables assassins qui courent toujours dans la nature. Effectivement, presque dix ans après l’assassinat, le procès n’a toujours pas lieu et ce, grâce à un choix dès le départ, de ne pas aboutir. Si un jour, le procès des assassins de Matoub devait avoir lieu en Algérie, je suis sûre qu’il sera la locomotive de beaucoup de procès d’assassinats politiques, (BOUDIAF, Mekbel, Djaout, Boucebci…) et fera la lumière sur la crise politico identitaire dans notre pays. Pour ma part, au terme de ces dix longues années, devant l’inertie de l’institution judiciaire dans mon pays, bâillonnée par des forces occultes ou autres, je me donnerai le droit de juger l’incompétence de cette justice et de faire recours aux institutions internationales pour que justice soit rendue.
Plusieurs irrégularités et anomalies sont relevées dans cette affaire, pouvez-vous nous en parler brièvement ?
En plus des irrégularités et anomalies constatées dans ce dossier, se rajoutent anathèmes et dérives de certains responsables politiques qui ont avancé des conclusions prématurées sur les auteurs de ce crime. Ils ont même été jusqu’à en faire un livre dans lequel ils relatent «des échanges téléphoniques» qui auraient été interceptés le lendemain de l’assassinat, sans que les auteurs de ce livre ne soient entendus par le juge chargé du dossier. Dans ce même livre, rappelons que le 2 juillet 1998, au siège du RCD d’Alger, « des centaines de personnes se regrouperont…La sono perchée sur les balcons faisait vibrer le quartier au rythme de Kassaman, version Matoub ». Rappelons que la seule copie de cet enregistrement, en dehors du Master mis à l’abri et en sécurité, se trouvait dans le véhicule de Lounès, copie subtilisée par les auteurs de l’assassinat selon le témoignage de ma belle-sœur. Beaucoup d’anomalies sont à constater dans cette affaire, comme par exemple, le rapport de la gendarmerie que j’ai rendu public en juin dernier par le biais de votre journal. Ce rapport est précis sur l’identité des personnes se trouvant en compagnie de Lounès ce jour-là. Avec un tel rebondissement, aucune réaction n’est à constater, ni de la part de la justice, ni de la part de la personne concernée, la sœur aînée de Nadia ma belle-sœur. Les pressions qu’ont subies Nadia et ses petites sœurs, avant et après l’assassinat, doivent faire l’objet d’une enquête approfondie (des lettres prouvant ces pressions ont été retrouvées au domicile de Lounès et ont été mises à la disposition du juge d’instruction. Nous jugeons aujourd’hui, utile de rendre public ces lettres qui sont suffisamment troublantes.
Est-ce que la famille de Matoub est soutenue par des partis ou des organisations dans sa quête de vérité ?…
Hormis les mercenaires de l’intox et de la désinformation qui se sont dévoyés eux-mêmes, tous les partis, organisations et personnalités éprises de justice et de réparation nous portent leur soutien dans cette quête de vérité. La plupart sont eux-mêmes victimes du système qui verrouille toute libre expression et qui a érigé l’impunité en mode de gouvernance. Les cas sont nombreux : les disparus, les victimes du terrorisme, Arezki Aït-Larbi, Mohamed Benchicou, le Matin et la tragédie du Printemps noir… Même si ces organisations n’expriment pas aujourd’hui leur soutien de manière apparente, l’apparence est le contraire de l’évidence. Tout le monde aime Matoub pour son authenticité, son courage, sa justesse, sa bravoure, toutes ces qualités qui lui sont reconnues, mais comme nous en avons parlé précédemment, Matoub est un sujet qui fait peur, il dérange nos dirigeants qui ont des comptes à rendre sur sa disparition. Beaucoup d’erreurs ont été commises de la part des responsables politiques, il est grand temps d’y remédier. Tous les responsables politiques qui ont occupé une fonction durant cette décennie, auront des comptes à rendre devant l’Histoire. L’impunité ne pourra jamais effacer les crimes commis. Malgré toutes les tentatives, les multiples facettes du pouvoir ne peuvent pas vous empêcher d’aimer Matoub et de soutenir la quête de vérité sur son assassinat, mais il se doit de vous interdire de l’aider parce que si vous l’aidiez, vous contribueriez à la chute du «système » qui les protège. Système pour lequel Lounès a durant toute sa vie, combattu. Je pense qu’il y a, encore des hommes et des femmes qui refusent la soumission et la compromission et je reste optimiste quant aux jours meilleurs que connaîtra notre pays. Comme l’a écrit Lounès dans un de ses textes inédits, « Quand l’Etat trahit, le peuple doit monter au créneau. »
Entretien réalisé par La Dépêche de Kabylie

 

Université de Tizi Ouzou: Le siège de la Douh saccagé

foto13.jpgPar D. Madjda

La situation qui prévaut au sein de l’université de Tizi Ouzou depuis la décision de transformer la cité ex-Habitat en résidence pour filles, a atteint, hier, le point de non-retour. En effet, des étudiants, résidents de l’ex-Habitat qui refusent d’être transférés vers d’autres résidences, ont organisé un rassemblement devant le siège de la Direction des œuvres universitaires Hasnaoua (Douh) à Bastos.

Vers 2h du matin, un violent affrontement a opposé les agents de sécurité aux manifestants qui ont saccagé le siège de la Douh. Ce matin, la tension demeurait vive. Près de 1 200 étudiants observent un rassemblement et comptent improviser une marche vers le siège de la wilaya. Affaire à suivre.

D. M

Photo: site Tamazgha

Classement mondial annuel en matière d’égalité entre hommes et femmes :

barbie.jpgL’Algérie classée au 108e rang !

Le rapport de 2007, dressé par les experts de Davos, a classé l’Algérie à la 108e place dans le classement mondial annuel en matière d’égalité entre hommes et femmes. L’Algérie a reculé de 11 places par rapport à 2006 où elle occupait le 97e rang. Cinq pays arabes devancent l’Algérie et à leur tête le Koweït classé au 96e rang (86e en 2006), la Syrie à la 103e place, la Jordanie à la 104e place (93e) et les Emirats arabes unis qui occupent le 105e rang (101e).

Bab El-Oued:Il y a six ans, les inondations

Bab El-Oued:Il y a six ans, les inondations dans Actualités Algérie tjkdmv

Noureddine-Yazid Zerhouni, ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, s’est rendu ce matin à Bab El-Oued où il s’est recueilli à la mémoire des victimes des inondations de ce quartier d’Alger en 2001. Accompagné du directeur général de la Sûreté nationale, Ali Tounsi, du wali d’Alger, Mohamed-Kebir Addou, et des autorités locales, le ministre de l’Intérieur a déposé des gerbes de fleurs en hommage aux victimes successivement au CHU Lamine-Debbaghine, à la placette An-Nasr et devant la Sûreté de daïra de Bab El-Oued. Au terme de ces trois cérémonies d’hommage, M. Zerhouni n’a pas manqué de rendre également hommage à l’ensemble des agents de l’Etat et des citoyens qui ont porté secours aux victimes de cette tragédie. Infosoir

 

Commentaire: En cette période de campagne électorale, les yeux sont-ils braqués sur l’avenir ? Je ne le pense pas ! Je suis plus que certain (j’espère que je me trompe) qu’aucun responsable politique ne s’est rendu ce matin à Bab El Oued pour la commémoration d’une date aussi douloureuse que celle du 10 novembre 2001. Le plus important pour les uns et les autres est de gagner des voix lors du scrutin du 29 novembre, se faire élire puis…RDV en 2012


Mohamed Benchicou au Soir « Je parle de la justice et la corruption en Algérie »

benchi.jpgJe n’ai pas écrit un brûlot. Ce n’est pas une provocation. Ce n’est pas un livre qui a été écrit pour déclencher un scandale. J’ai écrit un livre pour les Algériens. Un livre qui raconte l’incarcération arbitraire dont j’ai été victime et sur laquelle je ne me tairai jamais. Pour moi, il n’y aura jamais de silence sur l’arbitraire dont j’ai été victime ainsi que la presse algérienne et la société civile. Je ne me tairai pas non plus sur la machination politico-judiciaire qui a impliqué sa police et sa justice aux ordres, dans mon incarcération.
Des conditions inhumaines que vivent les détenus et je m’étale aussi sur leur générosité à mon égard. Je profite de la rédaction de ce livre pour revenir sur la situation de l’Algérie entre 1999 et 2004. c’est-à-dire la période où l’on m’a reproché mes écrits avant la suspension du Matin. Je parle de la justice et la corruption en Algérie. Au-delà de la décision de fermer le stand Inas, le régime cherche à dissuader toute volonté d’indépendance. Il veut décourager les initiatives libres et courageuses à l’image d’Inas, éditeur aussi du dernier ouvrage de Ali Yahia Abdenour. Je déplore le climat de terreur et de complicité qui sévit dans les milieux de la presse. Je refuse à qui que ce soit de m’interdire de m’exprimer. Je ne me résoudrai jamais à m’exprimer à partir de l’exil. C’est un devoir, je me battrai jusqu’au bout pour le garder.

Hamrouche à propos de l’initiative des trois: «Elle ne souffre d’aucune ambiguïté»

hamrouche.jpgInterrogé, en marge du 2e Colloque national sur Ahmed Bey à Biskra, à propos de son initiative lancée avec Hocine Aït Ahmed et Abdelhamid Mehri, l’ex-bras droit de Chadli Bendjedid, estime qu’elle est suffisamment claire et directe et ne souffre d’aucune ambiguïté. Les trois hommes, pour mémoire, ont lancé un appel «à réfléchir ensemble aux fins d’éviter à l’Algérie un possible nouvel engrenage de la violence». Hamrouche, Mehri et Aït Ahmed ont appelé à la mise en place d’un processus «de démocratisation du pouvoir, de son exercice et de son contrôle» aux fins de garantir «la stabilité et l’espoir». Les trois chefs politiques, dans une déclaration finale rendue publique, ont soutenu que «toutes les composantes de la société s’impliqueraient et s’engageraient dans la concrétisation d’un tel processus.» Les trois alliés ont déclaré également être «disposés à apporter notre contribution à la recherche de solutions de sortie de crise dans toutes ses dimensions».

 

Interrogé à propos de l’état jugé stationnaire de leur alliance, Mouloud Hamrouche a estimé qu’il s’agissait d’un appel lancé à toutes les forces de la Nation «pour réfléchir ensemble à une solution à la crise.» «Il semble, néanmoins, que la crise est tellement profonde qu’ils ne savent pas comment réagir», a-t-il ajouté. Et de conclure qu’il est «impératif d’arrêter avec le transitoire et d’aller vers la transition pour instaurer la véritable autorité de l’Etat.»

 

 

 

Extrait de l’article de l’Expression

L’avocat du journaliste condamné pour «espionnage»: « les médias ont grossi les faits »

L’affaire du journaliste S. Saïd, jugé par le tribunal criminel de Tizi-Ouzou pour intelligence avec des parties étrangères et condamné à 10 ans de prison ferme, est revenue, hier, sur le devant de la scène au cours d’une conférence de presse animée par son avocat, Maître Aït Ali, assisté de l’épouse du condamné.
D’emblée, cependant, l’avocat a commencé par faire le procès de la presse, accusée «d’avoir grossi les faits et d’avoir pris partie et carrément condamné» son client. Avec force effets de manches, le défenseur a ainsi confondu point de presse et procès de la presse.
Revenant par la suite sur son client, il précisera que celui-ci a été «arrêté au Maroc, sous l’accusation d’atteinte à la défense nationale et à l’économie de ce pays.» Pour lui, son client n’a «rien fait et n’est qu’un journaliste d’investigation». «La preuve, ajoutera-t-il, est qu’il a écrit sur de nombreux sujets.
Si, réellement, il était un espion, comment aurait-il eu deux journaux au Bénin et un troisième en Côte-d’Ivoire ?» Sur la lancée, il avancera que «S. Saïd était invité par des Israéliens en qualité de journaliste arabe et il a informé les autorités algériennes de cette invitation.» Comme il démentira par la suite le fait qu’il ait remis des informations à l’ambassade d’Espagne, quand il y travaillait. «L’accusé, poursuit l’avocat, est très à l’aise car il se sait simple journaliste.
Le dossier de l’accusation est vide ; aussi, je demande aux journalistes algériens de se ranger derrière ce cas et d’essayer d’obtenir la libération de leur confrère.» Tout de suite après, cependant, il reviendra sur cette proposition, priant la presse de ne pas en tenir compte.

L’avocat s’est manifestement cantonné dans un système de défense très difficile car se contentant de plaider l’innocence de son client sans apporter la moindre preuve de ses assertions. Le journaliste condamné a, selon sa défense, interjeté appel du jugement….
M. Chabane

De la viande d’âne prochainement dans vos assiettes !

aneelkhabarcopy.jpgLes habitants de Garidi 2, à Alger, se sont réveillés sous le choc d’une découverte macabre, ainsi  les éboueurs ont retrouvé deux têtes d’ânes et quelques abats dans des bennes à ordures. Les services de sécurité ont ouvert une enquête sur toutes les boucheries sises à la commune de Kouba, ainsi que d’autres communes limitrophes.

 

L’enquête concernera toutes les boucheries situées dans la commune, afin de pouvoir saisir les quantités de viande d’âne , avant qu’elles soient vendues aux consommateurs,  les services de sécurité indiquent qu’ils n’écartent pas l’éventualité que ces deux ânes font partie d’un grand nombres d’ânes  abattus et enterrés dans différents endroits , pour être  vendus , par la suite, aux consommateurs , comme de la viande fraiche ou bien pour les transformer en merguez .
A signaler que ce n’est pas la première fois qu’on trouve de la viande d’âne, les services de la gendarmerie nationale d’El Harrach, ont déjà saisi une quantité évaluée à plus 1867 kilogrammes, possédée par deux bouchers à Alger, et destinée à la consommation

Ould Abbes : «Il y a plus de pauvres en France qu’en Algérie !»

ould1.jpgDistribuer des centaines de milliers de couffins du ramadan n’est pas révélateur, selon le département de la Solidarité nationale, de la propagation sans fin de la pauvreté en Algérie. Djamel Ould Abbas n’a pas trouvé mieux que de faire une comparaison avec la … France.

«D’aucuns n’ont cessé de nous répéter que le fait d’accorder une grande importance à cette opération couffin du ramadan est révélateur de l’ampleur de la pauvreté existant en Algérie. A ceux là, je répondrai par la langue des statistiques, lesquelles, bien évidemment, ne peuvent en aucun cas, être contestées», a tenu à corriger Djamel Ould Abbas, hier au siège de son ministère lors d’un séminaire consacré à la mise en œuvre du plan d’éducation préscolaire en direction des enfants handicapés. Pour son premier bilan de l’opération ramadan, le ministre étalera des chiffres et fera surtout une comparaison avec la France. solidaritechorba1.jpg«Moi, je répondrai par la langue des statistiques, lesquelles, bien évidemment, ne peuvent en aucun cas, être contestées. Les données en ma possession indiquent que durant ce mois de ramadan 2007, 5 890 952 repas ont été offerts aux nécessiteux à travers tout le territoire national. Au même moment, en France, les statistiques font état de 75 millions de repas offerts par les resto du cœur tous les trois mois, soit une moyenne de 25 millions de repas chaque mois. Vous remarquerez aisément que la différence est de taille car entre les 5 millions de repas offerts en Algérie et les 25 millions offerts dans l’Hexagone, la différence est tout de même de taille», s’est insurgé le ministre qui, au passage, affirme ne pas comprendre «la manière d’analyse adoptée par certains observateurs». B.L

Commentaire: Ould Abbes : «Il y a plus de pauvres en France qu’en Algérie !» dans Actualités Algérie moz-screenshotmoz-screenshot-1 dans Actualités Algérie Selon le rapport 2006 sur le développent humain de l’ONU, la France est le 16ème pays au monde où il fait bon vivre. Ce rapport compare les critères socio-économiques de 177 pays de la planète pour établir son classement. L’Algérie occupe la 102ème place.
Nous avons eu, quand même, droit à une blague de fin de ramadan. Merci M. Ould Abbes !

Colère des candidats libres à Relizane

Plusieurs candidats libres qui ont l’intention de participer aux …examens de fin d’année, (le Bac ou le BEF) et même leurs parents, et suite aux nouveaux tarifs de participation à ces examens, ont exprimé leur mécontentement et leur désapprobation quant à cette nouvelle mesure qui vise, selon certains candidats, à saboter ni plus ni moins leur scolarité, a-t-on appris de sources généralement bien informées. En effet, la nouvelle tarification imposée par le ministère de l’Education nationale concernant les frais et charges d’inscription pour les candidats libres censés passer les examens de fin d’année a été revue à la hausse, passant de 1 000 à 1 500 DA pour l’examen du Bac pour les élèves scolarisés et de 2 000 à 3 000 DA pour les candidats libres et de 800 à 1 000 DA pour les candidats au BEF.

N.B/ Cette information ne risque pas de susciter un intérêt surtout en ce moment où tous les yeux sont braqués vers les candidats aux élections locales.

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