Archive pour 'Confidences'

Said Bouteflika, les deux Ayachi et le DRS

said.jpgAprès la parution d’un entretien qu’il a accordé au quotidien Djazair News et dans lequel il a affirmé avoir eu l’aval de Said Bouteflika pour récolter 2 millions de signatures lui permettant de se porter candidat à l’élection présidentielle de 2014, Sid Ahmed Ayachi, président du Rassemblement pour la concorde nationale (RCN), un parti non agrée, est revenu, 24 heures plus tard, sur ses déclarations. En effet, le jour de la parution de l’entretien, Ayachi est revenu à la rédaction de Djazair News à Alger en tremblant. Et pour cause, Ayachi était accompagné au siège du journal d’un autre Ayachi (Hamida) de deux agents du DRS. Ces derniers avaient assisté au second entretien. El Mouhtarem 

Driss Djazairi: « Je suis heureux de me rendre disponible pour les Israéliens »

dris.jpgSelon un câble diplomatique classé confidentiel du 13 mai 2009, l’ambassadeur d’Algérie en Suisse, Driss Djazairi, a déclaré en marge d’une réunion du comité préparatoire pour la Conférence d’examen du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, à Genève, qu’il est  heureux de se «rendre disponible pour les Israéliens» dans les discussions concernant le processus de paix au Proche-Orient et le désarmement de l’Iran. http://www.guardian.co.uk/world/us-embassy-cables-documents/206843

Mostaganem: Une station d’épuration des eaux usées en panne depuis son inauguration par Bouteflika en 2004

La station d’épuration des eaux usées de la commune de Mesra dans la wilaya de Mostaganem n’a pas fonctionné depuis son inauguration en novembre 2004 par le président Abdelaziz Bouteflika. Cette station  qui a couté 24 milliards de centimes à l’Etat s’est arrêtée en raison d’une mauvaise étude réalisée par la direction de l’hydraulique de la wilaya de Mostaganem. El Mouhtarem

Bouteflika soutient le blocus imposé par l’Egypte à Ghaza !

boutefl.jpgMaintenant on comprend bien pourquoi le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika a refusé, depuis son arrivée au pouvoir dans les chars des généraux en 1999, de recevoir le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbes. En effet, dans un mémo « secret » de l’ambassade US à Alger, le président Bouteflika a déclaré au  général William Ward, commandant-en-chef de l’AFRICOM, lors de sa visite à Alger le 25 novembre 2009, que  »l’Algérie appuie l’Egypte dans sa position sur Ghaza ». Et d’ajouter: « Si nous étions dans leur position, nous aurions appliqué la même politique » vis-à-vis de Ghaza. « La proximité de l’Egypte avec Ghaza et son environnement politique intérieur lui dictent une telle conduite », a ajouté Bouteflika. El Mouhtarem

Wikileaks publie le 1er câble diplomatique sur l’Algérie

bout.jpgLe texte traite d’un mémo daté du 16-01-2007, dans lequel l’ambassade US à Alger commente l’état de santé du président Bouteflika, parle de sa succession » et dévoile les confidences de Dalila Hélilou, une « ancienne sénatrice » connue sur la place d’Alger comme étant proche du cercle présidentiel. Dans ce mémo, les Américains essaient de collecter plusieurs lectures sur le devenir de la présidence en Algérie dans l’état actuel de la maladie d’Abdelaziz Bouteflika.

 LE MEMO

Abdelkader Bensalah a été réélu,  en tant que Président du Conseil de la Nation (Sénat) le 12 Janvier. Bensalah reste en première ligne pour succéder au président Bouteflika dans le cas où il serait incapable de remplir ses fonctions actuelles. La réélection de Bensalah, est devenue une évidence lorsque aucun autre sénateur ne lui a contesté le poste.

Une journaliste du quotidien Liberté, Nadia Mellal, qui a couvert tous les aspects de l’élection, nous a dit que le résultat était connu d’avance, et que le Président Bouteflika désigne les sénateurs qu’il voulait, et il a voulu que Bensalah conserve son poste. Mellal dit que les sénateurs ont admis en privé, que par respect pour Bouteflika, il n’y a pas eu d’autres candidats qui s’étaient présentés. Beaucoup lui ont dit que l’élection est devenue une formalité plutôt qu’un exercice de la démocratie, que ça a été une honte dans leur point de vue.

Bouteflika nomme les sénateurs de sa génération

Le jour de l’élection, huit nouveaux sénateurs ont rejoint le Conseil de la Nation dans le cadre du tiers des membres nommés directement par le président Bouteflika. Tous ont une caractéristique en commun: ils sont anciens «moudjahidine»,  des anciens combattants (comme Bouteflika) de la guerre d’indépendance contre la France. Selon Mellal, ces sénateurs nouvellement nommés, en tant que membres de la «famille révolutionnaire» sont dans un sens «frères et sœurs du président Bouteflika, » et ils lui seront très fidèle. Certains sénateurs ont exprimé leur frustration que le président n’ait pas tendu la main aux membres de la jeune génération qui devra diriger le pays après Bouteflika.

Sièges vacants

Bouteflika a nommé seulement huit sénateurs sur les 24 sièges qui lui sont attribués cette année. Dalila Helilou, une ancienne sénatrice du quota présidentiel, nous a dit Bouteflika a pris une décision consciente de laisser 16 sièges vacants pour les rendez-vous ultérieurs. Bien qu’il soit vrai que Bouteflika n’ait pas encore pris sa décision, Helilou pense qu’il est plus probable qu’il a voulu garder quelques sièges au Sénat en réserve pour les ministres qui devraient être prochainement  rdmis. Helilou dit que le nombre de sièges à pourvoir est un bon indicateur qu’un remaniement ministériel était à venir.

Commentaire:

Même si la maladie de Bouteflika est en recul dans l’esprit du public (grâce aux images télévisées d’un président actif), le très respecté Bensalah est jugé capable de gérer le processus de succession à la présidence dans le cas ou Bouteflika ne pourrait pas terminer son mandat. L’analyse de Helilou des sièges vacants du Sénat nous surprend et est à retenir.

Signé : FORD

Traduction lematindz.

Du plagiat à 30 millions chez Khalida Toumi

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Missoum Sbih, « l’ambassadeur de France à Paris » va rester une année de plus

missoum.jpgMissoum Sbih, ambassadeur d’Algérie en France, vient de voir sa mission dans la capitale français prolongée d’une année malgré son âge très avancé – 85 ans-, officiellement pour préparer la visite de Bouteflika en France qui pourrait avoir lieu début 2011, selon les dernières prévisions optimistes à Alger. Le 3 décembre, il recevra tous les correspondants de la presse algérienne à Paris. Ces journalistes ont été convoqués pour un nouveau récital de langue de bois sur le thème « tout va bien entre l’Algérie et la France ». A Alger, les diplomates le surnomment « l’ambassadeur de France à Paris » à cause de ses tendances à défendre une normalisation avec Paris même au détriment des intérêts de l’Algérie. El Mouhtarem

Liberté, Ouali et la « fille du traître »

bougrab.jpgLe quotidien Liberté a présenté dans son édition d’aujourd’hui (page 2) ses excuses à ses lecteurs après avoir traité Jeanette Bougrab, la nouvelle secrétaire d’Etat française à la jeunesse, de « fille de traître » en référence au passé de harki de son père. Or, l’auteur de l’article (publié jeudi), Ameur Ouali, a obtenu lui-même la nationalité française en 2003, six mois seulement après son arrivée sur le territoire français où il travaille comme collaborateur de l’AFP et correspondant de Liberté en France.

Comment a-t-il pu obtenir la nationalité alors qu’en France une telle demande ne peut être introduite qu’après cinq ans de résidence dans ce pays ?

Ameur Ouali a été aidé par un certain Dahmane Abderrahmane, ex- »conseiller » de Sarkozy à l’Elysée. En 2003 et 2004, M. Dahmane avait bénéficié de nombreux articles de complaisance dans Liberté. Ce même Dahmane est actionnaire, avec le député RCD de l’immigration Rafik Hassani, dans le site Viva l’Algérie lancé par Ameur Ouali et Ghania Khelifi, également ancienne journalistes de Liberté.  

Sortie de piste d’un avion militaire algérien au Bourget

Un avion militaire algérien est sorti de la piste à l’aéroport parisien du Bourget (Seine-Saint-Denis) sans faire aucun blessé. L’avion, qui transportait 9 personnes, arrivait de Boufarik, en Algérie. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de l’accident, qui a entraîné quelques perturbations dans le trafic de l’aéroport du Bourget.  Maville.com

Nacer Boudiaf: « Ghozali a refusé de témoigner dans l’affaire de l’assassinat de Boudiaf »

ghozali1.jpgEn 2001, j’avais interpellé par voie de presse Sid Ahmed Ghozali lui demandant de m’accompagner au Tribunal pénal international pour un témoignage sur le lâche assassinat de Mohamed BOUDIAF, du moment qu’il était à l’époque chef du gouvernement. Ghozali m’a répondu dans un journal paraissant à Londres,  »Que je faisais du commerce avec le sang de mon père et que c’est Bouteflika qui me manipule ». Sans commentaire.

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