Archive pour 'Culte en Algérie'

Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris au service de qui et pourquoi ?

Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris au service de qui et pourquoi ? dans Culte en Algérie dalil-boubakeur-208x300Par Farid Mnebhi

Tout d’abord rappelons que la genèse de la construction de la Grande Mosquée de Paris  est intimement liée à la colonisation.

Dès 1842, un premier projet avait été déposé, mais aucune suite n’avait donnée, malgré les relances  d’intentions de l’ambassade marocaine en 1878 et 1885.

Finalement, et pour rendre hommage aux dizaines de milliers de musulmans morts pour la France durant la 1ère Guerre Mondiale, la décision de construction est prise et la 1ère pierre est posée en 1922. Elle sera inaugurée le 16 juillet 1926 par le Président Gaston Doumergue et le Sultan du Maroc, Moulay Youssef, arrière grand père du Roi Mohammed VI, qui a choisi le terrain et qui fut l’un des protagonistes majeurs dans sa réalisation.

Cette inauguration scellera à jamais l’amitié franco-musulmane. Une amitié acquise par le sang versé sur les champs de batailles européens que seul l’algérien Messali Haj, responsable de l’Etoile Nord Africaine, critiquera et taxera cette mosquée de « mosquée réclame ».

Durant la seconde guerre mondiale, et fidèle aux principes immuables  de la République et des religions révélées, la Mosquée de Paris servira de lieu de résistance pour secourir et protéger les soldats parachutés et porter assistance aux familles juives en les hébergeant et en les aidant à rejoindre la zone libre. Ainsi, sous l’égide du Recteur de la Grande Mosquée Paris des dizaines de familles juives ont pu échapper aux arrestations, à la déportation et fuir l’horreur de la Shoa.

Aussi, un appel à témoin de juifs sauvés par la Mosquée de Paris entre 1942 et 1944 avait été lancé en 2005 pour que la médaille des justes soit remise par le Mémorial de Yad Vashem aux descendants du Recteur de la Mosquée de Paris de l’époque Kaddour Benghabrit, un  ex-agent diplomatique français de grande envergure et ancien chambellan du Sultan du Maroc.

Ce geste de fraternité et de solidarité entre musulmans et juifs méritait d’être souligné et rappelé dans ce papier.

Ce bref rappel historique étant fait, je m’attacherais, dans ce papier, à démontrer que l’actuel  Recteur, Dalil Boubaker, a failli à sa fonction en dénaturant la mission première de la Grande Mosquée de Paris qui est celle de protéger et de défendre la communauté musulmane de France, de tisser des liens durables de solidarité, de tolérance et de fraternité avec toutes les religions présentes dans ce pays.

Ce manquement à sa mission résulte du fait que Monsieur Boubaker s’est échiné à endosser le costume d’un homme politique plutôt que celui d’un homme religieux écouté, neutre et respecté afin de défendre les intérêts, non pas des musulmans de France et des autres religions, mais ceux des autorités algériennes et de certains hommes politiques français, mais aussi ses propres intérêts et ceux de sa famille.

Si l’on se réfère aux statistiques publiées par l’Observatoire des actes islamophobes du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), les actes islamophobes ont augmenté de 22 % entre le 1er janvier et le 30 septembre 2011. L’islamophobie progresse en France. Ces chiffres qui concernent l’islam, l’islamophobie, les insultes et les actes raciste tels que la profanation de cimetières et de mosquées, les agressions, les insultes, les provocations, corans brûlés et jetés dans les poubelles.

Aujourd’hui donc, La Grande Mosquée de Paris et son Recteur Dalil Boubaker sont très critiqués au sein de la communauté musulmane française qui ne sent pas représentée sur des questions importantes la concernant le Halal, la formation des imams, l’interdiction du niqab, les prières de rue, la représentativité, l’humiliation dont ils sont l’objet. C’est ce qui explique que les musulmans de France ont divorcé avec les prises de positions de la mosquée de Paris et la fracture semble définitive.

La publication par  certains journaux français d’images du Prophète Mohammed n’a même pas fait l’objet d’une condamnation. Les profanations des cimetières musulmans, israélites et chrétiens n’ont pas suscité une quelconque réaction de sa part. Même la destruction par l’Etat algérien de plus d’un millier de tombes de marins français, tués au début des années 40 par la marine nazi, à Mers El Kebir en 2005. Un acte digne de la sinistre époque hitlérienne et qui n’a été jamais été perpétré dans un autre pays musulman. Un véritable scandale qui n’a fait l’objet d’aucun communiqué marquant son indignation, sa condamnation ou sa désapprobation, accentuant encore la fracture et le malentendu entre musulmans et chrétiens de France tout en attisant la xénophonie.

 Mieux encore, au mépris des valeurs de solidarité qu’il est censé véhiculer, la frange la plus précarisée vivant en France, les sans papiers, qui  a estimé à tort qu’elle pouvait trouver un soutien moral dans sa lutte pour obtenir gain de cause auprès du Recteur de la Grande Mosquée de Paris. Au contraire, il a fait procéder à l’évacuation des lieux par la Police. Une décision scandaleuse et contraire aux préceptes de l’Islam.

Je rappellerai à ce monsieur, que le Maroc a perdu son indépendance pour le simple faite d’avoir aider, protéger et refuser de livrer à la France l’Emir Abdelkader qui combattait pour l’indépendance de l’Algérie et ce, conformément aux principes du Saint Coran.

Autre ratage de monsieur Boubaker, l’interview accordée à un magazine israélien en mars 2012 dans laquelle il justifie les incursions militaires israéliennes sur Gaza. Bien que la réaction israélienne puisse être défendable sur le plan strictement sécuritaire, il aurait dû soulever la question des droits des palestiniens à vivre dans un Etat indépendant avec pour voisin un Etat d’Israël.

Cette démarche aurait servi à instaurer un début de dialogue entre les communautés israélites, chrétiennes et musulmanes en France et permis à renforcer la paix dans cette région du monde.

A noter que les autorités algériennes sont restées silencieuses face à cette déclaration. En 2000, la visite de plusieurs journalistes algériens en Israël avait été condamnée et la Présidence l’avait qualifiée de trahison.

C’est dire que le Recteur de la Grande Mosquée de Paris représente l’Algérie en France et que ses déclarations n’engagent que lui et son pays, et non les musulmans de France qu’il est supposé représenter.

En effet, il semblerait que Monsieur Dalil Boubaker soit l’œil et l’oreille  des autorités algériennes et à leur service.

Pour preuve, en juillet 2011 à Lille, il a participé à une rencontre où la restructuration des associations cultuelles algériennes en Europe était à l’ordre du jour. Une rencontre initiée par la Grande Mosquée de Paris.

Cette rencontre avait pour objectif  de provoquer un redéploiement des associations algériennes sur le terrain afin qu’elles puissent constituer une force cohérente qui aura son mot à dire sur toutes les affaires touchant le cultuel, mais aussi et surtout le politique.

Il y a nul doute que cette restructuration de la communauté algérienne en Europe, et tout particulièrement en France, répond à des urgences purement électoralistes. Encadrer les algériens vivant à l’extérieur pour les amener à voter en faveur des candidats choisis par Alger et élire le futur président coopté par les militaires et la DRS.

Cet embrigadement-caporalisation servira également comme outil efficace pour avantager tel ou tel candidat lors des prochaines échéances électorales françaises, sachant que la communauté musulmane en France représente un poids électoral de près de 7 millions de voix, dont 1 millions d’algériens. C’est tout dire sur leur importance stratégique sur la scène politique intérieure française mais aussi algérienne.

D’ailleurs, la Maire de Lille, Martine Aubry, ne s’est pas privée de tirer la sonnette d’alarme en déclarant, et je cite : « Comme c’est surprenant. A l’islamisation de notre pays, rajoutons désormais l’algérisation… Et acceptons tout cela au nom du devoir de repentance, c’est très en vogue… Pauvre France ».

Il n’est pas donc interdit d’affirmer que la Grande Mosquée de Paris et son recteur sont très proches de l’Algérie et que Boubaker  défend plus ses intérêts politiques et ceux de sa marraine en France. N’a-t-il pas soutenu activement la candidature de Bouteflika ? Depuis quand un ressortissant français, responsable d’une organisation islamiste puisse t’il être partie prenante dans les affaires internes d’un autre pays ? Ce n’est ni son rôle, ni sa mission, ni légal.

Autre élément qui atteste de son opportunisme et de la défense de ses intérêts  personnels et familiaux, son intervention auprès d’un ministre de l’intérieur, son ministre de tutelle, pour que ce dernier embauche son fils.

Quant à la mauvaise gestion de la chose pour laquelle il a été désigné, je citerai simplement ceci : un industriel et sénateur français très connu avait gratifié la fondation de la Grande Mosquée de Paris de deux millions d’euros pour financer la construction de mosquées. Face à l’impassibilité de Boubaker  pour faire avancer les projets qu’il était censé promouvoir, ce donateur réclama son argent. Il n’en récupérera que la moitié. C’est tout dire !

Autre loupé de Monsieur Dalil Boubaker, sa réponse à la proposition d’Eva Joly d’instaurer un jour férié pour les israélites et les musulmans de France.

Alors que le Grand Rabbin de France, Gille Bernheilm a pris une position sage et pleine de bon sens en affirmant qu’il ne prendrait position que lorsque « les choses seront plus  claires, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, et que si cette question intervient à l’occasion d’un grand débat général ». Ce, qui en terme diplomatique veut dire, nous sommes d’accord, mais nous devons prendre le temps d’y réfléchir et de dialoguer avant de prendre une position nette.

De son côté Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, bien qu’il ait loué cette déclaration, il a rejeté en affirmant qu’il était impossible que cette proposition puisse trouver une traduction dans le cadre législatif français. Il aurait du adopter la même attitude que le Grand Rabin de France, et non prendre une position aussi tranchée et définitive de refus.

Enfin,  dans une invitation conjointe adressée à la presse, une 1ère rencontre historique et officielle se tiendra le 17 janvier courant à la Grande Mosquée de Paris entre les délégations du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) et de la Grande Mosquée de Paris.

Cette initiative est louable et à multiplier car elle favorisera l’émergence de relations renforcées  et confiantes entre les deux communautés religieuses ainsi qu’une meilleure connaissance mutuelle. Elle permettra aussi de débattre des relations judéo-islamiques et de définir les voies et moyens pour lutter  contre la xénophobie, le racisme, l’antisémitisme et d’exprimer leur rejet de la violence et des extrémismes.

Elle démontre également la pauvreté du dialogue judéo-musulman en France, qui est la conséquence directe du conflit au Proche-Orient. Ceci est d’autant plus regrettable que lorsque Juifs et Arabes s’unissent, ils font un travail merveilleux.

Cet état de chose est de la seule responsabilité de la Grande Mosquée de Paris que Dalil Boubaker dirige depuis plus de 20 ans. Attendre tant d’années pour afin instaurer un dialogue officiel entre ces deux communautés, c’est vraiment irresponsable et triste.

N’y aurait pas aussi dans cette invitation la recherche d’un gain politique en faveur de ses marraines que sont les autorités françaises et algériennes ? Je laisse les lecteurs en juger.

Je conclurais mon propos en affirmant que Monsieur Dalil Boubaker à fait son temps et qu’il devrait quitter le rectorat de la Grande Mosquée de Paris.

Il n’est plus crédible aux yeux des millions de musulmans de France. Il ne représente plus les fonctions de responsabilité qu’il occupe (il fait énormément de politique alors qu’il devrait s’occuper de ses fidèles).

Ces actions sous son égide n’ont fait que diviser la communauté musulmane de France et son départ permettra un retour au consensus au sein de cette communauté. Les réponses à mon titre se trouvent dans ce papier.

Concours du meilleur article sur: «Le Dialogue entre les Religions»

Dans le cadre des programmes culturels de l’ambassade des Etats-Unis à Alger, un concours d’écriture destiné aux jeunes algériens est lancé en collaboration avec les Scouts Musulmans Algériens.  

Les candidats intéressés sont invités à rédiger un article sur le dialogue entre les religions: le texte peut porter sur des questions internationales ou nationales liées au sujet, sur des perspectives historiques ou sur une expérience personnelle à travers laquelle les participants décrivent le concept, le rôle, la forme, et le but du dialogue entre les religions dans le monde moderne.  

Un jury composé de personnalités religieuses et de membres de la presse sélectionnera les trois meilleurs articles et les auteurs seront récompensés à l’occasion d’une cérémonie de remise des prix qui se tiendra à la résidence de l’ambassadeur des Etats-Unis à Alger.    

Les trois meilleurs textes seront publiés dans la presse nationale; et le premier prix est un ordinateur portable, le second et le troisième sont des lots de livres (en anglais et en arabe) ainsi qu’une année de cours d’anglais.    

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Fermeture des églises à Béjaia: une mesure « préventive » selon le ministère de l’Intérieur

La mesure d’interdiction d’exercice d’activités de cultes autres que musulman prise par le wali de Béjaïa est une mesure « à caractère préventif », a précisé mardi le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales dans un communiqué.

Les autorités algériennes vivent au moyen-âge en matière de théocratie

boutef2.jpgAnonyme pour « Algérie Politique »

Bonjour, Je passais par hasard par là et je découvre en lisant les commentaires, que les autorités algériennes vivent encore au moyen âge en matière de pouvoir théocratique … C’est d’autant plus insensé pour des musulmans qu’il est clairement affirmé dans le coran que la foi ne peut pas faire l’objet de contrainte. Les persécutions sur la base de la pratique religieuse sont donc une violation des commandements de l’islam. A quoi il faut ajouter que ça ressemble beaucoup à la chasse aux musulmans dans des pays de plus en plus nombreux en Europe.

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Larbaâ Nath Irathen: 2 à 3 mois de prison avec sursis à l’encontre des quatre chrétiens

eglise.jpgLe juge du tribunal correctionnel de larbaâ nath irathen a rendu, dimanche, son verdict dans l’affaire des quatre chrétiens du village Ait Atteli de la même localité. Ainsi, les trois prévenus: Abdenour Raid, Nacer Mokrani et Idir Haoudj ont écopé de 2 mois de prison avec sursis pour le chef d’inculpation «d’ouverture de lieu de culte sans autorisation de la Commission nationale des cultes autre que musulman».

Dans la même affaire, M. Yahou Mahmoud, poursuivit pour le même grief et pour avoir hébergé illicitement une personne de nationalité étrangère, a écopé de 3 mois de prison avec sursis assortie de 10 000 DA d’amende. Le procès des quatre citoyens, de confession chrétienne, a eu lieu le 28 novembre dernier au tribunal de Larbaâ Nath Irathen (27 km de Tizi Ouzou), après trois reports successifs.

Rappelons, enfin, que le représentant du ministère public,  avait requis une année de prison ferme à l’encontre des prévenus pour le premier chef d’inculpation et une amende de 20 000 DA à l’encontre du prévenu, le pasteur , M. Yahou, dans le second dossier. Source El Watan.

Pour rappel, le lieu de culte chrétien a été fermé sur ordre du Maire (RCD) de la commune de Larbaa Nath Irathen. El Mouhtarem

Droit de réponse de l’association « France Maghreb »

cimetierejuifalgerie.jpgStephane Durbec est conseiller Front national et non pas sans étiquette. Son intervention s’est faite au lendemain de la première du Film « Hors la loi » que nous avons largement soutenu. C’est lui qui avait organisé la manifestation de racistes excités devant le cinéma.

 

Nous ne connaissons pas d’autre entrepreneur à Alger que celui qui travaille avec le Consulat de France, qui a effectué les travaux pour notre association, et qui a bien entendu été réglé. Le Monsieur des soi disant chocolat a eu cinq années de patience avant de réclamer un soi disant du, ses chocolats avaient du fondre. Ma fille a acheté sa maison en 1996 et effectué la même année quelques aménagements, soi 7 ans avant la création de France-Maghreb.

 

Dernier point et pas des moindres, je sors un livre ‘bienvenus chez vous’ en début d’année, qui raconte la formidable histoire de France-Maghreb, les retrouvailles chaleureuses entre les communautés après quarante ans. Je raconte aussi dans ce livre des choses étonnants sur la perversion des collaborateurs du Conseil Régional PACA et les voyages impayés du Conseil Général 06. Cette cabale a pour but d’entâcher les vérités à paraître.

 

Pierre-Henri PAPPALARDO
France Maghreb

Larbaâ Nath Irathen: C’est le maire du RCD qui ordonné la fermeture du lieu de culte chrétien !

eglise.jpg«Le procès s’inscrit dans une logique d’inquisition pour laquelle la justice est instrumentalisée et
la Constitution bafouée», a affirmé le RCD (lire El Watan).
L’instruction du procès des quatre citoyens de confession chrétiennea a été ouverte suite à une pétition signée par un groupe de citoyens de Larbaa Nath Irathen. « Une démarche sur la base de laquelle le maire de la localité avait notifié un ordre de fermeture du lieu de culte », a déclaré à El Watan, M. Yahou, poursuivi également pour «hébergement illégal d’une personne de nationalité étrangère». Poursuivis pour « ouverture de lieu de culte sans l’autorisation de la commission nationale des cultes autres que musulman », le procureur de la République, selon EL Watan, a requis une année de prison assortie d’une amende de 20 mille DA  à l’encontre des prévenus, originaires du village d’Ath Atteli. El Mouhtarem

Les huit non-jeûneurs relaxés par le tribunal d’ Akbou

ramdan.jpgPoursuivis pour atteinte à l’un des préceptes de l’Islam, les 8 jeunes prévenus, arrêtés le 31 août dernier dans la localité d’Ighzer Amokrane, 60 km à l’ouest de Béjaïa, ont bénéficié d’une relaxe au terme d’un procès qui s’est tenu hier au tribunal correctionnel d’Akbou. C’est en vertu de l’article 144 bis 2 du code pénal qu’ils ont été poursuivis mais, selon leurs avocats, la cour, ayant constaté le défaut d’infraction et l’absence d’éléments légaux, a estimé qu’elle ne pouvait condamner des citoyens pour non-observation du jeûne, car cela relève de la conviction intime, rapporte El Watan.

Algérie: Les besoins des mosquées en imams évalués à 40.000

ghlam.jpgDans une déclaration faite à l’APS, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a indiqué que les besoins des mosquées en imams sont évalués à 40.000, en Algérie, sachant que le nombre des imams disponibles est de 26.000 répartis sur 15.000 mosquées. Ghlamallah a, en outre, indiqué que le secteur prévoit 1.000 postes budgétaires par an pour le recrutement des imams.

Larbaâ Nath Irathen: Le procès des chrétiens reporté au 28 novembre

culte.jpgLe procès des chrétiens de Larbaâ Nath Iathen (Tizi Ouzou), qui devait se tenir, dimanche 10 octobre au tribunal correctionnel de l’ex-Fort national est reporté par le représentant du ministère public au 28 novembre prochain. Ce troisième report est motivé, selon la partie plaignante, par l’absence du troisième témoin. Dans cette affaire quatre citoyens, de confession chrétienne, originaires du village Ait Atteli, dans la même localité, sont poursuivis pour «pratique de culte non musulman sans autorisation des pouvoirs publics». Il s’agit, des accusés Mrs Yahou Mahmoud, Raïd Abdenour, Mokrani Nacer et Haouedj Idir. Dans la même affaire, l’un des accusés, M. Yahou Mahmoud, propriétaire du lieu de culte est également poursuivit pour « hébergement de personnes de nationalités étrangères ». Source El Watan

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