- Accueil
- > Culte en Algérie
Archive pour 'Culte en Algérie'
Aghribs: Des jeunes démolissent une mosquée en présence d’un député
Une semaine après l’inauguration de la mosquée Sidi Djaafar dans la commune d’Aghribs, en présence du président du RCD, Said Sadi, des dizaines de jeunes ont procédé, hier, à la démolition de la nouvelle mosquée construite par une association religieuse. Les jeunes ont utilisé un engin appartenant à l’APC d’Aghribs, gérée par le RCD. Selon des témoignages, un député de la région aurait participé à la démolition. El Mouhtarem
SOS Libertés: Ouverture des cafés ou ouverture du champ politique ?
Une semaine après la répression des familles des disparus à Alger, le collectif «SOS Libertés» n’a rien trouvé à revendiquer que l’ouverture des cafés et des restaurants durant le mois de Ramadhan. «…Des lieux de consommation (cafés et restaurants) doivent être autorisés à ouvrir pour répondre aux besoins de ceux qui, pratiquant une religion autre que l’Islam ou n’en pratiquant aucune, ont choisi de ne pas jeûner», lit-on dans le communiqué. Wach khessek ya l3aryan, lekhwatem. El Mouhtarem
20 juillet, 2010
140 imams pour la Kabylie
Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira auront 140 nouveaux imams et morchidate, selon le ministre des Affaires religieuses et du wakf, Bouabdallah Ghlamallah qui a participé, hier, à la clôture des deux journées d’étude qui leur étaient consacrées. Ils sont nouvellement diplômés et doivent entamer leurs fonctions dans les wilayas désignées. Le ministre a indiqué que l’imam doit être conscient de la place qu’il occupe dans la société et être par conséquent proche de la culture de cette société. Les imams participant à ces journées d’étude, a-t-il ajouté, sont appelés à assumer leur fonctions dans les mosquées de la région de Kabylie car ils maîtrisent la langue amazigh, précisant que la région de Kabylie est une région de science et de culture.
Interdiction formelle de la prière dans les endroits publics
Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, vient de relancer l’interdiction de pratiquer la prière, celle du vendredi notamment, en des endroits publics, situés, pour être plus précis, à proximité des mosquées. Selon Le Temps, le ministre a indiqué: «Seul l’intérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles n’ont qu’à prier chez eux et non pas dehors». El Mouhtarem
16 février, 2010
La vérité sur le saccage de la mosquée d’Aghribs
K.A pour « Algérie Politique »
On compte à nouveau et une fois de plus, un atterrissage chaotique de la politique locale du RCD. Toujours dans le cadre de l’affaire de la fameuse mosquée d’Aghribs, les deux frères SADI ont préparé un coup démoniaque qui a fini à l’eau. Il s’agit d’une équation à 10 degrés avec plusieurs variables. Même le matheux (H. SADI) n’a pas eu l’intelligence suffisante pour la résoudre, c’est vraiment une affaire complexe.
Désespérément, les deux frères en question semblent ne pas être contents de leur défaite. Faut-il rappeler davantage qu’en date du 07/12/2009, la justice et après plusieurs mois d’attente, s’est prononcée en faveur de ces villageois (y compris les membres de l’association religieuse) qui réclamaient leur permis de construire. Ce permis qui leur a été ôté par le maire du RCD après l’avoir signé lui-même (bizarre !!!). La position de ces braves hommes est nette et précise. Autrement dit, il n’en est pas question de continuer à faire leurs prières dans une mosquée (tous mes respects à « Sidi Daafar») bâtie dans un cimetière et encore pire sur les tombes de leurs ancêtres.
Il semble que la défaite n’est pas aussi facile à digérer puisque depuis que l’on a reçu le verdict de la justice, les deux frères SADI activent farouchement dans ce dossier. Le temps passe et l’affaire prend de l’ampleur, désormais on parle d’une association terroristes, salafistes ou je ne sais pas quoi encore. Bref, tous les moyens sont bon pour arrêter la construction de cette nouvelles mosquée tant réclamait
8 février, 2010
Mosquée d’Aghribs: Les explications du Maire
Le projet de construction d’une nouvelle mosquée à Aghribs, dans la daïra d’Azeffoun, à une quarantaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou, est au centre d’un litige dans le village. Lors d’un point de presse animé hier à Tizi Ouzou, le maire de cette localité a souligné qu’en 2006, «deux membres de l’ancien comité du village sont venus à l’APC pour demander un permis de construire que j’ai signé pour la réalisation d’une salle de prière. Quelques jours après, ces deux membres démissionnent du comité pour créer, en catimini, une association religieuse. Puis, j’ai reçu plus de 200 citoyens du village au siège de l’APC venus demander l’annulation de ce projet étant donné qu’ils sont toujours attachés à l’ancienne mosquée traditionnelle de Sidi Djaffar», a-t-il précisé.
30 janvier, 2010
Affaire de la mosquée d’Aghribs: une dizaine de blessés dans des affrontements
La tension est montée d’un cran hier à Aghribs (Tizou-Ouzou) lorsque les partisans de la construction d’une mosquée, saccagée il y a une semaine, et les opposants au projet se sont affrontés. En effet, vers 10h30, les opposants à la construction du lieu de culte musulman, réunis en assemblée générale, qui ont décidé de démolir ce qui reste de l’édifice, se sont heurtés à la résistance des membres de l’association religieuse du village. Ces affrontements violents ont fait une dizaine de blessés parmi les «belligérants» et accentué la haine entre des habitants du village. Un fait étonnant : les services de sécurité ne sont pas intervenus pour mettre fin aux scènes de violences. El Mouhtarem
Algérie: « Grande peine » des évêques après le saccage d’un lieu de culte protestant
Les évêques d’Algérie ont exprimé leur « grande peine » après le saccage d’un temple protestant début janvier à Tizi Ouzou, et se disent « très inquiets des entraves mises à la pratique du culte chrétien dans le pays », a indiqué un communiqué vendredi. Réunis les 24 et 25 janvier à Alger, « les évêques d’Algérie ont partagé leur grande peine à la suite du saccage et de l’incendie du lieu de culte de la communauté protestante Tafat, à Tizi-Ouzou », lit-on dans le texte. Les évêques ont à « pris le temps d’analyser ensemble la situation préoccupante que vivent certains chrétiens algériens » et se disent « très inquiets des entraves mises, ici ou là, à la pratique du culte chrétien » en Algérie. Ils « sont profondément attristés et ne peuvent cacher leur indignation devant la profanation de signes chrétiens, comme ils sont indignés lorsqu’ils apprennent que des signes de la religion musulmane sont profanés dans tel ou tel pays du monde », ajoutent-ils.
25 janvier, 2010
« Le RCD manipule des jeunes pour empêcher la contruction d’une mosquée »
Selon Mohamed Saâdi, membre de l’Association religieuse du village Aghribs dans la wilaya de Tizi Ouzou, l’affaire du saccage de la mosquée est bel est bien «politique». «C’est le RCD qui avait manipulé certains jeunes du village pour saboter les travaux» a-t-il asséné. Selon nos sources, Saïd Sadi, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie, est natif du village Aghribs et son parti craignait une montée des Salafistes dans la région, d’où l’opposition de l’APC à l’idée de la construction de cette nouvelle mosquée. Mohamed Saâdi, qui est l’un des initiateurs de ce projet, se défend en déclarant que «cette mosquée n’est pas conçue pour former des intégristes ou des terroristes, nous voulions y faire un lieu de culte et de croyance pour les habitants», avant de lancer: «Ceux qui sont derrière cet acte de sabotage ce sont eux les intégristes de la démocratie.» Le Jour