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Archive pour 'Droits de l’homme en Algérie'

OFFRE D’EMPLOI

femed.jpgPrésentation de
la FEMED :

 


La Fédération Euro-méditerranéenne contre les Disparitions Forcées (FEMED) a été créée à Beyrouth en 2007 et son siège est situé à Paris.
La FEMED regroupe 26 associations membres issues de 12 pays euro-méditerranéens. Elle s’est donnée pour objectif de mettre fin  aux disparitions forcées dans la région. A cet effet,
la FEMED mène diverses missions en allant à la rencontre des associations de familles de disparus sur le terrain, en favorisant les échanges d’expérience et en renforçant les capacités de ses associations membres. Parmi les activités mises en œuvre par
la FEMED figurent des missions de lobbying et de terrain, des formations, des rencontres euro-méditerranéennes des associations de familles de disparu, des campagnes de sensibilisation sur les disparitions forcées dans la région.  

Intitulé du poste à pourvoir : Chargé(e) de programme 

Mission du ou de la salarié(e) : 

 

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Rapport du REMDH sur la liberté d’association dans la région euro-méditerranéenne 2010

rapport.jpgLe nouveau Rapport du REMDH sur la liberté d’association dans la région euro-méditerranéenne – 2010 a été présenté au cours d’un séminaire organisé ce 30-31 octobre à Beyrouth, vise à la fois à documenter les évènements liés à la liberté d’association intervenus depuis la publication du dernier Rapport du REMDH sur le sujet, en décembre 2009, et à analyser les grandes tendances de progrès et de reculs de la liberté d’association depuis la publication du premier Rapport du REMDH sur cette question, en décembre 2007. Ce Rapport, dont une courte présentation est également jointe, est disponible en français, anglais et arabe sur notre site Internet http://fr.euromedrights.org/index.php/publications/emhrn_publications/62/4015.html.

www.euromedrights.org

La rapporteuse spéciale de l’ONU sur la violence contre les femmes en visite aujourd’hui en Algérie

rashidamanjoo.jpgLa rapporteuse spéciale des Nations unies sur la violence contre les femmes, Mme Rashida Manjoo (photo), effectuera une visite de travail en Algérie du 1er au 10 novembre, a annonce hier le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Cette visite intervient suite une invitation adressée par le gouvernement algérien lors de la 13ème session du Conseil des droits de l’homme tenue en mars 2010, à sept détenteurs de mandats thématiques relevant du Conseil des droits de l’homme, a indiqué le communiqué. Lors de cette visite, la rapporteuse spéciale de l’ONU s’entretiendra avec les représentants des différentes institutions gouvernementales en charge de la thématique de la violence contre la femme et de la société civile.

Familles de disparus: N’oublions PAS le rassemblement hebdomadaire interdit !

disparus.jpgLes familles de disparus continuent inlassablement de se donner rendez-vous tous les mercredis pour tenter d’exprimer leur douleur et réclamer haut et fort la vérité et la justice. Alors chaque semaine, elles se rejoignent non loin de la Commission Nationale pour la Promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), et affrontent la peur d’être encore une fois malmenées comme elles l’ont été à plusieurs reprises depuis le mois d’août 2010.

Et pourtant, ce 29 septembre 2010, le rassemblement national, organisé devant la Grande Poste en plein centre d’Alger pour dénoncer l’impunité instaurée par la Charte dite pour la paix et la réconciliation nationale, avait bel et bien eu lieu sans le moindre signe de répression. Devant cette accalmie, les familles avaient cru que les autorités finiraient par céder et allaient les laisser exercer leurs droits à la liberté d’expression et de manifestation. Mais ce n’était qu’une illusion.

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Algérie: Le statut de l’Institution nationale des droits de l’homme algérienne réexaminé

ksentini1.jpgAlkarama, 11 Octobre 2010
http://fr.alkarama.org/index.php?option=com_content&view=article&id=825
  

Lors de sa session, des 29 mars et 1er avril 2010, au cours de laquelle le statut de l’Institution nationale des droits de l’homme (INDH) algérienne,
la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH) devait être reconsidéré, le Sous-comité d’accréditation (CIC) a décidé de reporter l’examen à sa prochaine session qui doit se dérouler à partir du 11 octobre 2010. Alkarama a présenté
un nouveau rapport à cette institution dans lequel elle exprime ses dernières observations.

Dans son rapport, le CIC, qui avait parmi ses recommandations précédentes, conseillé de modifier l’assise légale de
la Commission, note que celle-ci a effectivement modifié « sa loi d’habilitation, afin de renforcer sa conformité avec les principes de Paris », tout en exprimant néanmoins une série préoccupations qui seront examinées lors de cette session.

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La LADDH s’est dotée d’un bureau à Constantine


bouchachi.jpgLa Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) a procédé hier à l’ouverture d’un bureau au boulevard Zighoud Youcef (Constantine), en présence de son président, Mostefa Bouchachi. Ce dernier, rapporte El Watan, n’a pas manqué de regretter les obstacles auxquels se heurte
la Ligue pour l’ouverture de bureaux de wilaya, soutenant, malgré cela, que le militantisme se joue sur le terrain.

LADDH: Kamel Jendoubi interdit de séjour au Maghreb

laddh.gifLes autorités marocaines viennent de refouler M. Kamel Jendoubi, président du Réseau euroméditerranéen des droits de l’Homme sans aucun motif officiel. Militant tunisien des droits de l’homme de longue date, Kamel Jendoubi, ancien réfugié politique en France est déjà interdit de séjour dans son pays natal. 

  

Tout laisse croire que le gouvernement marocain a  répondu à des injonctions du régime  tunisien pour interdire l’entrée au Maroc de Kamel Jendoubi. 

La LADDH exprime son indignation face à une mesure injustifiée et injustifiable  qui démontre les liens policiers qui existent entre les gouvernements du Maghreb au mépris des droits les plus fondamentaux. Elle estime que Kamel Jendoubi a droit à  des excuses  de la part des autorités marocaines qui doivent revenir sur cette mesure arbitraire.

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Ksentini: « La FIDH était du côté des terroristes »

ksentini1.jpgDésormais rien ne peut arrêter le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini, dans sa campagne contre la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH). Après l’avoir traité, tout comme le professeur Madjid Benchikh, d’énnemi de l’Algérie, Farouk Ksentini, a indiqué, lors de son passage jeudi dans une émission de la chaîne II de la radio nationale, que la FIDH, durant les années noires du terrorisme était clairement du côté des terroristes. 

Durant les années roses de la paix Ksentini s’est-il rangé du côté des terroristes ? Lors de l’émission, Ksentini a salué l’appel lancé par l’ancien « émir » du groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), Hassen Hattab, aux terroristes encore en activité à se repentir. No comment. El Mouhtarem

Solidarité avec Kamel Jendoubi expulsé de Rabat

kamel.jpgLes associations de l’immigration soussignées, dénoncent avec force le refoulement par les autorités marocaines de Kamel Jendoubi, président du Réseau Euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) et du Comité pour le respect des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT).

Kamel Jendoubi est arrivé hier soir à l’aéroport de Rabat sur invitation de l’Organisation Marocaine des Droits Humains. Les autorités marocaines l’ont empêché de fouler le sol marocain en l’obligeant de passer toute la nuit à bord de l’avion. Il a été expulsé ce matin vers la France.
 
Kamel Jendoubi est militant de l’immigration et des droits de l’Homme depuis de nombreuse années. Son expulsion de Rabat démontre la complicité entre le pouvoir marocain et le régime tunisien. 

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Disparus et Réconciliation nationale: la démarche suivie n’est ni sincère ni viable*

disparus.jpgPar Lila Iril, présidente de l’Association nationale des familles de disparus (ANFD)

 

Dans tous les pays autoritaristes, singulièrement dans les pays latino-américains, les processus de démocratisation, là où ils ont eu lieu,  ont requis la fin de la ’’policisation ’’ de la vie politique et l’impunité quasi-institutionnelle dont jouissaient les hiérarchies militaires et les polices politiques des régimes.

 

Cela s’est traduit, précisément en termes institutionnels, par une subordination, dans la transparence, des militaires à une autorité civile responsable –c’est-à-dire tenue de rendre des comptes à la seule entité souveraine dans un régime démocratique : le peuple.

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