Archive pour 'Harraga algériens'

Mort de Hamza Ikram: La LADDH se saisit du dossier

laddh.gifLa mort d’Ikram n’a pas laissé indifférent le professeur Kamel Daoud, membre du comité directeur et représentant régional de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) de la wilaya.

Dans un entretien téléphonique, le Pr Daoud dit être ému par ce drame qui a encore une fois touché la jeunesse algérienne. «Nous allons étudier le dossier de cette tragédie», a annoncé le défenseur des droits de l’homme à Annaba. Pour rappel, la LADDH a été à chaque fois sollicitée par les familles de harraga, notamment celles des disparus. En mars 2008, les familles de jeunes harraga disparus de Annaba avaient remis au Pr Daoud un appel d’intervention et de solidarité accompagné d’un volumineux dossier composé de documents officiels et comptes rendus qui, selon les parents des disparus, impliquent les autorités tunisiennes dans la mort de plusieurs jeunes, dont Hadef Riad (32 ans).

Beaucoup plus qu’un réquisitoire, cet appel remettait en cause les autorités tunisiennes, notamment en ce qui concerne le sort réservé aux jeunes harraga disparus après avoir échoué sur les côtes tunisiennes. «Nous avons toutes les preuves écrites et enregistrées qui consolident le fondement de nos accusations. Les autorités tunisiennes nous cachent le sort de nos enfants disparus ou morts sur leur territoire », accusaient fermement dans leur appel les familles de harraga disparus avant de tirer à boulets rouges sur les autorités algériennes qui, selon elles, sont restées indifférentes devant la tragédie qui ronge la jeunesse algérienne. El Watan

Mort d’un harrag: Ikram devait rejoindre Christelle via la Sardaigne

ikram.jpg«Il était prévu que Christelle vienne au mois de juillet dernier pour se marier avec Ikram en Algérie. Elle n’a pas pu obtenir le visa. Puis ça a été reporté à la fin du Ramadhan. Elle comptait venir avec sa famille pour concrétiser son union avec mon frère», nous raconte, en pleurs, Hicham, son frère aîné. Rejoindre sa bien-aimée Christelle, une Française de 20 ans qu’il connaissait depuis quatre ans, était le rêve d’Ikram. Malheureusement, le destin en a décidé autrement. Cet amour est né d’un chat sur un site de rencontres. Au fil des années, les dialogues anodins se sont transformés en un grand amour. Ikram voulait coûte que coûte exaucer son rêve, celui d’être auprès de la femme qu’il avait choisie. Ses tentatives d’obtenir un visa sont restées vaines; c’était le refus à chaque fois. L’idée de la harga a alors commencé à germer dans la tête d’Ikram, qui était un génie de l’informatique, un technicien de dessin en bâtiment des plus avertis. «Il était prévu que Christelle vienne au mois de juillet dernier pour se marier avec Ikram en Algérie. Elle n’a pas pu obtenir le visa. Puis ça été reporté à la fin du Ramadhan. Elle comptait venir avec sa famille pour concrétiser son union avec mon frère», nous raconte, en pleurs, Hicham, son frère aîné et son confident, un gardien de parking, père de la petite Anfal (Fifi).

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Italie: l’immigration clandestine est désormais un délit

haraga.jpgLa loi italienne durcissant la lutte contre la criminalité et l’immigration clandestine, qui est désormais passible d’une   amende de 5.000 à 10.000 euros, est entrée officiellement en vigueur samedi avec la publication dans le Journal officiel des décrets d’application. La loi, adoptée définitivement par le Parlement italien début juillet, prévoit ainsi que l’entrée ou le séjour illégaux sur le territoire italien deviennent un délit et soient passibles d’une amende de 5.000 à 10.000 euros. Le séjour des immigrés clandestins dans les centres d’identification et d’expulsion passe de deux à six mois tandis que les personnes louant un logement aux clandestins ou les hébergeant risquent jusqu’à trois ans de prison. Les autres mesures de cette loi controversée prévoient également un   « registre des sans-abri » qui seront fichés par le ministère de l’Intérieur ou l’introduction de rondes de citoyens pour assurer la sécurité dans certains quartiers de grandes villes, rapporte l’AFP.

Espagne: 36 haragas interceptés au large des côtes d’Almeria

haraga.jpgUne embarcation qui transportait 36 immigrés clandestins a été interceptée mardi soir au large des côtes d’Almeria (Sud de l’Espagne). Six femmes, dont deux enceintes, figureraient parmi ces immigrés qui ont été conduits au port de cette ville où ils ont été pris en charge par des volontaires de la Croix-Rouge. Deux autres embarcations avec à bord 14 clandestins ont été interceptées  mardi par la Garde civile espagnole, au large de Tarifa (Sud), avait indiqué  la Délégation du gouvernement central à Cadix, dans un communiqué.  Lundi, cinq candidats à l’immigration clandestine ont été sauvés par la  Garde civile au large de Cadix, au moment où ils tentaient de gagner les côtes  espagnoles à bord d’une embarcation de fortune, a-t-on également indiqué, rapporte l’APS.

Oran: 844 sans-papiers arrêtés en cinq mois

immigrationclandestinemellilia.jpgDurant les cinq premiers mois de l’année en cours, 844 immigrants clandestins ont été arrêtés selon un bilan communiqué par les gardes-frontières de la région ouest dont 757 ont été arrêtés par les services de sécurité et 87 par les gardes-frontières. Avec 611 arrestations, les Marocains viennent en tête de liste, suivis des Maliens avec 92 arrestations en cinq mois. En 2008, le nombre des personnes sans papiers arrêtées au niveau de la région ouest était de 2.520 personnes, rapporte le Quotidien d’Oran.  En quinze ans, le nombre d’étrangers en situation irrégulière ayant tenté de séjourner en Algérie a été multiplié par 10. Ils sont issus de 48 nationalités africaines, dont la plupart venus des pays limitrophes – Niger (33%), Mali (13%), Nigeria (10%) et Maroc (10%). Des statistiques menées par les gardes-frontières algériens donnent ce chiffre effarant: au moins 35.000 immigrants clandestins ont été reconduits chez eux depuis l’année 2002.

Plus de 1.500 Harraga sont parvenus aux Canaries en 2009

haraga1.jpgLe nombre total des clandestins qui sont parvenus aux Iles Canaries est de 1.531 depuis le début de l’année 2009,  a annoncé lundi la Délégation du gouvernement des Canaries. Ce chiffre est cependant nettement en baisse par rapport à celui enregistré  en 2006 où 31.678 immigrants clandestins étaient interceptés près des côtes  des îles Canaries à bord dÆembarcations de fortune. 

Annaba: 25 harraga interceptés ce matin

haraga1.jpgVingt-cinq candidats à l’émigration clandestine vers l’Europe ont été interceptés, ce matin au large d’Annaba. Ces émigrants clandestins, âgés de 17 à 35 ans, ont été arrêtés à bord d’une embarcation artisanale alors qu’ils tentaient de traverser la Méditerranée. Les gardes-côtes d’Annaba ont mis en échec, depuis juin, huit tentatives d’émigration clandestine, vers le littoral italien notamment, interceptant pas   moins de 140 personnes à bord d’embarcations artisanales, rapporte l’AFP.

Annaba: Trois mois de prison ferme requis contre 23 harraga

haraga1.jpgTrois mois de prison ferme assortis d’une amende de 20 000 DA est la peine requise hier par le procureur près le tribunal de Annaba, pour tentative d’émigration clandestine, à l’encontre de 23 harraga dont 3 sont en prison depuis le 15 juin, date de leur arrestation, rapporte El Watan. Les 23 harraga âgés entre 17 et 33 ans– dont 16 sont de Annaba, 2 de Constantine, 2 d’Alger, 2 d’El Tarf et 1 de Batna – avaient été interceptés au nord de Ras El Hamra (Annaba).

Annaba: 54 harraga interceptés

haraga1.jpgCinquante quatre haraga dont un mineur ont été interceptés, tôt dimanche, à deux miles marins de Ras El-Hamra, à Annaba ville, rapporte Le Courrier.  Le premier groupe arrêté à bord d’une embarcation artisanale était parti de la plage Seybouse aux environs de minuit avant son interception vers trois heures du matin par une patrouille relevant des unités des gardes côtes de Annaba. Leurs âges oscillaient entre 17 et 33 ans et dont 16 sont issus de Annaba, deux d’Alger, deux de Constantine, deux d’El-Tarf et un de Batna.

Annaba : 69 harraga arrêtés en moins de 24 heures

haraga1.jpgTrente-neuf jeunes candidats à l’immigration clandestine, dont deux mineurs, ont été interceptés, hier, à bord de deux embarcations de fortune par les éléments du Groupement territorial des garde-côtes (GTGC) de la wilaya de Annaba, alors qu’ils tentaient la traversée à destination de la rive européenne. Agés entre 16 et 38 ans, ces jeunes harraga sont originaires de Annaba, Oum El Bouaghi, Constantine, El Tarf, Skikda et Tébessa. La première embarcation artisanale qui a appareillé de la plage de Seybouse contenait 19 jeunes harraga lorsqu’elle a été aperçue à 3h30 par l’unité 360 d’intervention rapide des garde-côtes. Vendredi dernier, soit la veille, ce sont 30 autres harraga, dont 2 filles, qui ont été interceptés et arrêtés par les éléments du GTGC de la wilaya de Oran. Ce qui porte le compte au nombre de 69 harraga arrêtés en moins de 24 heures. Synthèse/ El Watan

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