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Archive pour 'Hommage'
30 janvier, 2012
Abdelhamid Mehri est décédé
25 décembre, 2011
Recueillement à la mémoire du camarade Dahmane Aissat
Les militants du FFS se recueilleront à la mémoire du camarade Abderrahmane Aissat dit Dahmane, décédé il y a trois ans des suites d’une maladie. Une gerbe de fleurs sera déposée sur la tombe du défunt le mardi 27 décembre 2011 à 13h00 au cimetière de Boudjelil dans la wilaya de Béjaia, en présence d’une délégation du secrétariat national du FFS, conduite par le Premier secrétaire, Ali Laskri.
Dahmane était membre du premier Comité directeur du parti installé au lendemain du retour de Hocine Aït-Ahmed en Algérie en 1990. Il était responsable de la fédération FFS de la wilaya de Constantine. Deux ans avant son décès, Dahmane était membre de la commission nationale d’anticipation du parti et membre de la commission nationale de préparation du 4ème Congrès du FFS, tenu en septembre 2007.
Le 8 mars 2008, Dahmane participait à l’animation d’une conférence sur les droits de la femme en compagnie des membres de l’association SOS disparus…Lors du 4ème congrès, Dahmane Aïssat dira au quotidien El Watan: «La force du FFS est dans sa dynamique populaire», entendre «contre une politique d’apparat ou d’appareil».
Le Secrétaire national à la communication du FFS
Chafaâ Bouaiche
13 novembre, 2011
Photo souvenir…
Le journaliste Ali Bey Boudoukha avec Hocine Aït-Ahmed et le journaliste Said Djafar (K. Selim…) et Karim Baloul (derrière) Année 2007
De gauche à droite: Kamel Yasser, Youcef Zirem, Hocine Aït-Ahmed, Ali Bey Boudoukha et Said Djafar (Année 1999)
Ali Boudoukha, à la cérémonie organisée en hommage à Baya Gacemi
10 novembre, 2011
Je t’aime Ali, plus que tout au monde…
Par Blek la mousse…
Qu’est-ce tu veux que je dise de plus que ça, plus que les mots des pauvres gens: je t’aime Ali, plus que tout au monde…
Je savais que tout le monde allait rivaliser de talent et de sincérité pour parler de tes engagements syndicaux, journalistiques et politiques dont je me fous royalement. Et quand bien même cela m’aurait intéressé, tu sais très bien que je n’y ai jamais rien compris, que le peu de fois où je me suis résigné à faire un choix, je l’ai fait à pile ou face…. espérant pile tomber sur Dieu, face tomber sur l’amour…
Oh Ali… mon frére… J’ai prié… Mon Dieu, laissez le nous… Encore un peu… Laissez le vivre, encore un peu… J’aurais aimé que tu restes encore avec nous un peu, j’aurais aimé t’avoir perdu il y a longtemps quand le Canada t’avait accordé son visa, j’aurais aimé que tu partes t’installer à Paris où beaucoup d’amis t’attendaient, j’aurais aimé que tu vives un peu pour toi, que tu prennes enfin les choses à la légère, j’aurais aimé construire une annexe à ma cabane où tu te serais installé avec ton épouse et où tu aurais appris à respirer à nouveau, à prendre du recul, de la hauteur, du bonheur…
Oh Ali, j’ai toujours cru que tu appreciais grandement les moments où tu venais me retrouver. Peut-être que je me trompe. En revanche, sache le, j’adorais tes visites, tes silences, ta compagnie et ta conversation…
Blek la mousse… (et oui, là, depuis ce matin, je suis aussi pathétique qu’une biscotte qui s’effrite entre les mains d’un enfant… Je ne vais donc pas signer Blek le roc !) Je t’aime grand frère… C’est tout.
Il y a 10 ans les inondations de Bab El Oued
Il y a 10 ans, le 10 novembre 2001, des pluies diluviennes se sont abattues sur Bab El Oued, un quartier populaire de la capitale. Le bilan de la catastrophe est effarant et il l’est d’autant plus que les causes de la tragédie ayant fait, selon le dernier bilan rendu public, 757 morts à l’échelle nationale dont 706 pour la seule capitale, sont loin d’être d’origine pluviométrique mais bien plus, aggravées par un cumul de déficits et de laisser-faire dans les pratiques anarchiques de la gestion de l’espace urbain.
La maffia du foncier, l’attribution anarchique de terrains à bâtir, la destruction des zones boisées, la détresse des populations ayant fui le terrorisme et élu domicile sur les berges des oueds quand ce n’est pas sur leur lit, l’absence de toute réglementation en matière de planification de l’espace urbain sont autant de facteurs ayant été propices à l’hécatombe de Bab El Oued. La responsabilité de l’Etat est entière…
3 novembre, 2011
Il y a 16 ans, M’barek Mahiou était assassiné
En pleine campagne électorale des présidentielles de 1995, le 4 novembre, M’barek Mahiou, 46 ans, secrétaire national du Front des Forces Socialistes, et son neveu Farid (26ans) étaient assassinés prés de leur domicile à Jolie-Vue (Kouba-Alger). Les «zones d’ombre» qui ont entouré cet assassinat politique n’ont jamais été levées. Son parti boycottait cette élection «jouée d’avance».
M. Mahiou qui avait été secrétaire général par intérim du parti était une de ses chevilles ouvrières. Partisan d’une solution politique à la crise nationale, il était fondamentalement opposé à l’option sécuritaire du pouvoir. «La sortie de l’impasse, nous la voyons à travers un compromis démocratique qui exige que les forces politiques tant dans l’opposition qu’au sein du pouvoir se rassemblent autour d’un Contrat national pour la démocratie », disait-il. Ce type de position suscitait alors les foudres du pouvoir et de leurs différents relais. «Ce n’est pas parce que quelqu’un a des idées fondées sur la religion qu’il est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on prétend être moderniste ou démocrate qu’on n’est pas terroriste», disait M’barak Mahiou.
19 octobre, 2011
Inaugurée il y a 10 jours à Alger, la stèle de Zapata enlevée !
Inaugurée le 10 octobre dernier à Hussein Dey, en présence de Yazid Zerhouni, Daho Ould Kablia, Mourad Medelci, le wali d’Alger, ainsi que des ambassadeurs accrédités en Algérie, la stèle commémorative en l’honneur du révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata, a été enlevée, constate un journaliste d’El Watan. Emiliano Zapata Salazar dit El Caudillo del Sur fut l’un des principaux acteurs de la révolution mexicaine de 1910 contre le président Porfirio Diaz. El Mouhtarem
12 octobre, 2011
Recueillement à Ain Zaouia : En hommage à Rabah Aissat
De nombreux militants du FFS et des citoyens se sont rendus, ce mercredi 12 octobre, au cimetière d’Ain Zaouia pour rendre hommage à l’ancien Président de l’APW de Tizi-Ouzou, Rabah AISSAT, assassiné il y a cinq ans dans un café de son village.
C’est Mustapha Amrani, militant de la section d’Ain Zaouia qui a pris la parole en premier pour souhaiter la bienvenue aux compagnons de Rabah Aissat. Après avoir déposé de la gerbe de fleurs sur la tombe du défunt, Farid BOUAZIZ, 1er secrétaire fédéral de Tizi-Ouzou, Mohand Ouramdane TEMZI et Belkacem BENBELKACEM, respectivement secrétaire national à la solidarité et aux anciens de 1963 et secrétaire national à l’organique ont rappelé chacun de son côté les qualités humaines, le militantisme de Dda Rabah, son courage politique ainsi que sa clairvoyance durant son parcours.
Après la lecture de la Fatiha , Rachid AISSAT, fils de Rabah, a pris la parole pour remercier le FFS, ses militants et les citoyens d’avoir répondu fortement à l’appel et d’avoir accompli le devoir de mémoire.