Archive pour 'Les élus en Algérie'

Le maire de Zeralda sous mandat de dépôt

maire.jpgLe président d’APC de Zeralda (Alger), Mouhib KHATIR a été placé jeudi sous mandat de dépôt pour escroquerie et diffamation. Actuellement à la prison de Hadjout dans la wilaya de Tipaza, Mouhib Khatir, autoproclamé président du Forum des maires algériens a été poursuivi pour diffamation par les locataires du centre d’affaires de Zerlada. Pour rappel, le maire de Zeralda est très lié au général à la retraite Mohamed Atailia. El Mouhtarem

Mise au point de Hakim Addad

addad.jpgDans son édition d’hier, le quotidien El Watan  m’a attribué des propos que je n’ai pas tenus concernant les raisons de la participation du FFS aux élections locales.  Je n’ai à aucun moment expliquer la participation du parti aux élections locales par le rejet de la politique de la chaise vide.  J’ai  déclaré que les élus du FFS servent de porte voix aux préoccupations des citoyens tout en sachant que les assemblées ne jouissent pas de prérogatives permettant à l’élu de jouer pleinement son rôle.

Hakim Addad, élu du FFS à l’APW d’Alger

 

 

4 ans de prison requis contre le maire de Zeralda

mouhib.jpgLe procureur près le tribunal correctionnel de la cour de Blida a requis des peines allant de 4 à 6 ans de prison ferme et des amendes à l’encontre de l’ensemble des accusés dans le procès de l’Office du centre des affaires de Zéralda (Ocaz). Le plaignant, Mouhib Khatir, président de l’Assemblée populaire communale de Zéralda, s’est retrouvé, lui aussi, accusé dans cette affaire et risque d’écoper de 4 ans de prison ferme, selon le réquisitoire du procureur, pour les chefs d’inculpation: dilapidation des deniers publics et passation de contrats non conformes à la loi. Le procureur a fixé la date du verdict pour le 19 du mois en cours, rapporte Liberté.

OUAGUENOUN: Un conseil consultatif pour seconder les élus

photo01.jpgL’Expression du 13 avril 2011

Un exemple concret de démocratie participative dans une APC.

Le siège de la mairie de Ouaguenoun (Tizi-Ouzou) a abrité récemment une réunion d’apparence ordinaire, mais qui en fait, ne l’est pas. L’Assemblée élue s’est réunie avec des représentants de tous les villages de la commune. Au menu, les bilans de l’année en terme de projets réalisés et ceux en voie de l’être.
En effet, dans cette commune, la population participe effectivement à la gestion des affaires. Dès son installation aux commandes de la commune, le président de l’Assemblée (ALI BELKHIR) a pris la décision de sortir de l’ordinaire. Les membres, de toutes tendances politiques, ont fait appel aux citoyens afin de les associer à la gestion de leur commune.

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Sétif: Un maire sous les verrous pour détournement d’une mineure

Le président de l’Assemblée populaire de la commune de Aït Tizi, dans la daïra de Bouandas wilaya de Sétif, a été placé avant-hier sous mandat de dépôt par le parquet de Azazga pour détournement et incitation de mineure à la débauche et faux usage de faux. Selon Le Jour, le mis en cause a été interpellé le week-end dernier dans un hôtel à Azeffoune. Sa victime est une mineure de 16 ans à qui il a pris le soin de délivrer une pièce d’identité falsifiée, puisque selon la date de naissance mentionnée elle est âgée de 24 ans. Le maire aurait connu par Internet sa victime, originaire d’Oran, avant de se fixer rendez-vous dans la ville de Azeffoune.       

Algérie: 100 000 élus locaux mandatés depuis 1967 dont 10.000 poursuivis

codeprison1.jpgDepuis 1967, près de 100 000 élus locaux ont acquis des mandats électoraux qui leur ont permis d’exercer une fonction au sein d’une APC ou d’une APW. Durant ces dix mandats, certains ont cumulé trois procurations à la fois contrairement à la principale règle qui interdit le cumul des mandats électoraux au sein des Collectivités locales.  Selon Le Jour, près de dix mille élus locaux ont été poursuivis tout au long de ces dix mandats. La plupart sont accusés de détournements, d’autres sont directement impliqués dans la corruption, alors que certains sont en sursis. Plus de 1500 retraits de confiance ont été également recensés au cours de ces dix mandats.

FLN Annaba: Le sénateur Zitouni brandit son pistolet

zitounimoh.jpgJeudi dernier vers 1 heure, le mouhafed Mohamed-Salah Zitouni et sénateur, à la tête d’une centaine de militants, a violemment attaqué le siège de la représentation politique du FLN à Annaba, occupé depuis une semaine par des militants opposés à sa gestion de l’instance du parti. La tentative du sénateur Zitouni de reprendre la mouhafada par la force était attendue, après que le tribunal d’Annaba l’eut débouté mardi dernier suite à sa plainte «pour violation d’un siège de parti politique et destruction des moyens appartenant à celui-ci». Selon Le Jeune Indépendant, poussé à bout, Zitouni a brandi son arme à feu, un pistolet de gros calibre, pour faire peur aux jeunes militants qui gardaient jalousement le siège situé au cours de la Révolution, pour les forcer à lui ouvrir le portail. «Zitouni était prêt à nous tirer dessus», raconte un des jeunes militants barricadés à l’intérieur, indiquant qu’il les avait traités de tous les noms d’oiseaux.

L’ex-maire de Mascara écroué

maire.jpgL’ex-président de l’Assemblée populaire de la commune (APC) de Mascara, d’obédience FLN, et son ex-vice-président chargé de l’administration et des finances, d’obédience Islah, ont été écroués, dimanche 10 octobre, par le juge d’instruction près le tribunal de Mohammadia, à 43 km de Mascara, pour non respect de la loi des marchés publics. En effet, cette affaire qui remonte au précédent mandat fait suite à une très grave erreur commise par les deux ex-élus, mis en cause. 

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Tiaret/ APC de mellakou: 10 ans de prison requis contre des élus

prison1.jpgLe représentant du ministère public près le tribunal de Theniet El Had (Tissemsilt) a, avant hier soir à l’issue du procès dit de l’Assemblée populaire communale de Mellakou, requis dix années de prison ferme à l’encontre de cinq élus, dont l’actuel maire d’obédience FLN, trois employés et un entrepreneur. L’affaire concerne la régularisation d’une route au moment où le chef de daïra de Medroussa était en congé annuel.

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Ain Mlila: Le maire brandit son arme contre un citoyen

arme.jpgLe maire de la ville de Aïn M’lila n’avait pas trouvé mieux que de brandir, hier, son arme contre un citoyen. Selon Le Courrier, une parcelle de terrain est à l’origine d’un malentendu qui a dégénéré en une violente prise de bec entre l’élu du peuple et le citoyen à qui on a spolié les biens. Un acte répréhensible à plus d’un titre où le maire, officier de police judiciaire de par sa fonction «volant» ainsi cette qualité à ceux qui l’ont dans le sang pour avoir trimé sur les bancs des universités pendant de longues années, armé par l’État pourrait peutêtre un jour tuer et “coller” son acte «au commandement de la loi»…

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