Archive pour 'Les élus en Algérie'

Le P/APC de Zéralda condamné à 2 ans de prison avec sursis

maire.jpgComme annoncé le 29 mars au terme d’une audience publique, le président de la cour de Blida a prononcé un verdict condamnant le président d’APC de Zeralda M. Mohib à une peine de 2 ans de prison avec sursis.  Il est à rappeler que le P/APC, poursuivi pour, entre autres, menace, abus d’autorité et tentative de corruption par les gérants d’un hôtel situé au centre des affaires de Zéralda, a été acquitté par le tribunal de Boufarik. Un verdict qui n’a pas été du goût du procureur de la République qui avait requis une peine de 5 ans de prison ferme.  Ainsi, ce dernier a introduit un pourvoi en cassation à l’origine du transfert du dossier vers la cour de Blida. D.M

Communes bloquées de Béjaia: Explications dites vous !

mairiedesoukoufella.jpgOuina pour « Algérie Politique »

Au lendemain des élections locales du 29/11/2007, face à la stratégie visant à discréditer les mandataires du peuple, l’APC de Souk-Oufella à l’instar d’autres communes de la wilaya de Béjaia a vécu une période de (seize 16 mois de blocage) adroitement affublée du subterfuge «pouvoir de substitution». Cette situation de non gérance, à responsabilité indéfinie et sans contrôle, profitait plutôt aux pécheurs en «eaux troubles».

Après l’échec de l’alliance avortée, constituée dans le but d’exhorter le Wali à l’application de la loi régissant la commune, exaspéré par l’indifférence de ce haut responsable de l’Etat et déterminé à mettre un terme a cet ersatz, j’ai résolu de convenir un accord écrit et paraphé avec les instances politiques et les élus du RCD, afin de réhabiliter l’assemblée légitime par- delà restituer notre souveraineté confisquée. Transaction sanctionnée par délibération publique le 21Avril 2009.

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Béjaia: Les explications des élus des APC bloquées

wilaya.jpgBéni M’likèche: l’ex-président d’APC est suspendu en application de l’article 32 du Code communal. (La Cour suprême n’a pas encore examiné l’affaire). L’intérimaire désigné tarde à installer les commissions. L’opposition se trouve, de facto, exclue de l’assemblée.

Chemini: bien qu’un jugement définitif ait été rendu par la cour de Béjaïa après le renvoi de l’affaire par la Cour suprême, le président d’APC est toujours en poste. (En notre possession tous les documents qui l’attestent: N° de l’affaire, dates, peine prononcée…).

Tinebdar: sur les sept sièges que compte l’APC, la liste du maire en a obtenu 3. Par simple calcul arithmétique, les 4 restants ne constituant pas les 2/3, ils ne peuvent, à eux seuls, voter une motion de défiance. Quand le retrait de confiance vient, y compris de son «camp», il ne peut souffrir d’aucune ambiguïté. Quant aux «comités de village qui apportent implicitement leur soutien au maire actuel», comme rapporté par votre journaliste, il aurait dû vérifier leur emprise sociale réelle, quand bien même il ne s’agit là que de loi.

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Ali Belkhir, maire de Ouaguenoun: « Nous préférons prendre les risques, mais jamais abandonner la population »

photoalibelkhir.jpgEntretien réalisé par Mourad H. www.kabyle.com

Kabyle.com: Pouvez-vous nous présenter votre commune ?

La commune de Ouaguenoun est située à 15 kilomètres du chef lieu de la wilaya de Tizi-ouzou, elle est limitée au nord: par les communes de Boudjimaa et Timizart; à  l’est  par les communes de Timizart  et Freha ; au sud : par Acif de Sebaou; et enfin à l’ouest par la commune de Ait Aissa Mimoun. Sa population au dernier recensement du RGPH 2008 est de 17410 habitants et atteindra 40000  habitants à l’horizon 2015 en tenant comte de la population étudiante de Tamda (population non évolutive).

Elle s’étend sur une superficie de 3978,00 Ha. Notre commune comprend une agglomération chef lieu (ACL) et en  même temps chef lieu de la Daïra de Ouaguenoun  – Tikobain et 3 agglomérations secondaires (Djebla, Tamda,Azib Ouhaddad) ainsi  21 villages et hameaux. Le territoire de la commune est composé essentiellement de deux parties distinctes. Partie montagneuse situé au Nord (foret) et la partie agricole vers l’est et le sud (plaine). Parait-il, sur les 1541 communes que compte l’Algérie, plus de 1200 seraient pauvres et Ouaguenoun en fait partie. Vous vous rendez compte, dans un pays aussi riche, 80 % des communes sont pauvres.

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10 de prison requis contre l’ex-maire d’Iferhounene (Tizi-Ouzou)

corru.jpgJugé pour détournement et dilapidation de biens publics et leur usage au profit d’autrui, l’ex-P/APC d’Iferhounène d’obédience FLN (Aït Ali Ouhachimi). risque de subir une peine de dix ans de prison ferme. Cette peine, assortie d’une amende de 100 millions de centimes, est requise par le procureur de la République de Larbaâ-Nath-Irathène, dans son audience d’hier.
Les faits remontent à la période de 2005 – 2007, correspondant au mandat assuré par le prévenu qui ne s’est pas présenté à l’audience. L’objet de la plainte déposée par l’APC actuelle qui s’est constituée partie civile est relatif à la facturation des travaux de réalisation d’une canalisation d’AEP vers un village de la commune et dont le montant a été honoré par la trésorerie de l’APC au profit de l’entrepreneur ayant pris en charge la même opération et ayant perçu le même montant de la part du comité du village en question, rapporte Le Soir.

Encore des maires emprisonnés

codeprison.jpgLe maire de Blida ainsi que quatre autres personnes, dont un responsable de l’urbanisme à l’APC de Blida et un entrepreneur, ont été placés, dans la soirée de lundi dernier, sous mandat de dépôt par le juge d’instruction du tribunal de Chéraga qui a retenu contre eux le chef d’inculpation de passation de marché non conforme à la réglementation.
Par ailleurs, le tribunal prés la cour de Boumerdès a prononcé, durant l’audience d’hier, la peine de six mois de prison ferme, assortie d’une amende de dix millions de centimes, à l’encontre du président d’APC de la commune de Hammadi. Il était poursuivi dans une affaire relevant de délit de diffamation. La poursuite du maire en justice fait suite à une plainte déposée par deux membres de ladite APC. Dans leur plainte, ces derniers ont accusé le président d’APC d’avoir tenu des propos diffamatoires à leur encontre lorsque ce dernier, dans une correspondance adressée au wali de Boumerdès, il aurait accusé, les deux élus de trafic de drogue. El Mouhtarem


Après son échec aux sénatoriales, le P/APC d’Akbou démissionne

akbou3.jpgLe P/APC d’Akbou,  Abderahmane Bensbaâ, a calqué la porte de l’Assemblée populaire de la communale, hier, au cours d’une session extraordinaire qui s’est déroulée dans un climat électrique avant d’être écourtée, rapporte Le Jour d’Algérie. En effet, en disgrâce auprès de ses collègues qui lui reprochent une gestion «unilatérale» des affaires de l’APC depuis son élection, le maire d’Akbou n’avait trouvé que la démission comme sortie honorable tant la crise qui l’oppose à la majorité est importante vu la détermination de l’opposition de le faire partir.  Pour rappel, Abderahmane Bensebaa était maire du FFS, puis « indépendant » avant de rejoindre le RND. Lors des élections sénatoriales du 29 décembre, Bensebaa était candidat malheureux du RND dans la wilaya de Béjaia. Par ailleurs, le P/APC de la communde de Timizar dans la wilaya de Tizi-Ouzou, Mehala Lounis, radié du FFS après avoir participé à la rencontre des maires avec les président Bouteflika, a démissionné de son poste il y a quelques jours.

Dilapidation du foncier à Tizi-Ouzou: l’affaire de l’ancien maire (FFS) reportée

foncier.jpgL’affaire de dilapidation du foncier dans la commune de Tizi-Ouzou a été reportée hier pour la prochaine session criminelle en raison de l’absence des principaux accusés. Quarante personnes sont concernées par l’affaire, parmi elles l’ex-maire d’obedience FFS, Ahmed Taleb, actuellement en fuite (sa radiation du FFS a été annoncée par l’ancien Premier secrétaire Ahmed Djeddai lors d’un meeting populaire au stade de Tizi-Ouzou). L’ancien maire de Tizi-Ouzou est poursuivi notamment pour falsification de documents officiels. Selon l’arrêt du renvoi, l’affaire a éclaté en 2002, lorsque le wali de Tizi-Ouzou de l’époque qui aura certainement détenait des informations sur «l’accaparement soupçonné de lot de terrain» avait avisé la police. Une enquête avait été ordonnée, celle-ci avait permis de découvrir la dilapidation et l’octroi de manière «illégale» de pas moins 500 lots de terrain notamment au niveau de la Nouvelle-Ville de Tizi-Ouzou. L’ancien P/APC s’est enfui, selon toujours l’arrêt du renvoi. El Mouhtarem d’après La DDK

Le P/APC FFS de Ouaguenoun: «C’est une obstruction à l’expression»

zerhouni1.jpgLe président de l’APC de Ouaguenoun (Tizi Ouzou), Ali Belkhir, d’obédience FFS, ne pourra pas participer au 7e forum de l’Alliance mondiale des villes qui se tiendra du 24 au 26 février prochain à Rotterdam (Pays-Bas), sous l’égide du PNUD. Et pour cause, sa demande de sortie du territoire national a été rejetée par le wali de Tizi Ouzou pour des raisons injustifiées, selon le concerné.

 

Le wali de Tizi Ouzou a émis un avis défavorable à votre demande de sortie pour prendre part au forum de l’Alliance mondiale des villes contre la pauvreté, prévu en février prochain à Rotterdam. Quel est l’argument avancé par l’administration pour motiver cette interdiction ?

Pour commencer, je tiens à préciser qu’il ne s’agit pas d’une interdiction mais du rejet d’une demande que j’avais adressée, à temps, au ministère de l’Intérieur sous couvert du wali de Tizi Ouzou. Ce dernier a effectivement émis un avis défavorable à ma demande, en dépit du fait que je me suis conformé aux démarches nécessaires. Aucun motif n’est avancé dans le télégramme du wali, qui m’a été remis par le chef de daïra de Ouaguenoun. Sur invitation des organisateurs, je devais prendre part au forum de l’Alliance mondiale des villes contre la pauvreté, ayant pour thème « La collectivité face à la crise : collaborer pour éradiquer la pauvreté ». L’objectif de cette rencontre est de dialoguer, de débattre et de réfléchir à des stratégies et de soutenir des solutions aux défis mondiaux aux niveaux local et régional.

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Annaba: Le maire de Sidi Ammar démissionne !

dmission.gifLe président de l’APC de Sidi Ammar dans la wilaya de Annaba, Djellab Salah (FLN),  a démissionné hier de son poste en guise de protestation contre sa mise à l’écart lors de la visite d’inspection, dans sa localité, du ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal. En effet, l’Algérie est le seul pays où un ministre peut visiter une commune sans la présence du Maire ! El Mouhtarem 

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