Archive pour 'Libre débat'

Les reniements de Louiza Hanoune

hanoun.jpgLouisa Hanoune insulte est aussi une insulte. En politique, il y a le débat, la confrontation, les divergences, les convergences, les compromis, les luttes, les combats, mais il n’y a ni insultes, ni couteau, ni arme, ni autre chose. Louisa Hanoune n’a pas de politique étrangère. Ferhat M’henni veut donner une légitimité internationale à son projet d’autonomie, ou de futur Etat.Il se contredit, car l’autonomie exclut la diplomatie. Si louisa Hanoune avait lu le livre blanc de la défense française, rendu public par Sarkozy avant la naissance de l’UPM, elle aura peut-être une autre position. l’UMP est le nouveau bouclier de la défense française. Le pouvoir de Bouteflika a signé avec le pouvoir de Sarkozy des accords de défense que l’on connait pas, cela lors de la visite de Fillon. Personne n’a rien dit. Pourquoi Louisa Hannoune ne dénonce pas le pouvoir qui a offert l’Algérie à la France. Comme elle est une alliée de fait de ce pouvoir et son chef, elle insulte les personnes qui ne sont pas d’accord avec elle. N’a-t-elle pas renié l’Assemblée Constituante Souveraine? N’a-t-elle pas renié le contrat national? N’a-t-elle pas renié beaucoup d’engagments?
Parce qu’elle a renié ce qu’elle prétendait être, elle a été cooptée par ce pouvoir.
MAAMAR BOUDERSA qui veut que les Assemblées élues au niveau des wilayas élisent et choisissent leurs exécutifs qui restent responsables devant elles. Les élus locaux sont responsables devant l’exécutif. C’est la démocratie qu’aime peut-être Louisa. En tout cas, Ferhat M’henni n’a pas détaillé son projet. C’est une simple marque commercialo-politique.

Par Maamar Boudersa

Le titre est d’El Mouhtarem

Enorme scandale de corruption collective de la presse croupion

presse.jpgAssainissement des dettes des entreprises d’impression ALGER (APS)

-Le ministre de la Communication, M. Abderrachid Boukerzaza a annoncé mercredi à Alger l’assainissement des dettes, estimées à 1,5 milliard de DA, des entreprises d’impression ainsi que celles de certains éditeurs privés (1) de l’ordre de 2,5 milliards de DA. Dans une allocution prononcée au terme des travaux de la première journée d’une rencontre d’étude sur le redressement des entreprises de communication, le ministre a souligné la nécessité d’appliquer les règles commerciales dans les transactions (2) afin de limiter, à l’avenir, l’intervention de l’Etat. Réitérant la nécessité de favoriser « l’émergence d’une presse écrite porteuse des messages du développement de l’Etat algérien », M. Boukerzaza a précisé, chiffres à l’appui, que l’Etat soutient la presse nationale en général.

(1)admirez la formule: « certains éditeurs privés »

(2)admirez la contradiction:

Cet acte de corruption de masse inique de la presse algérienne lance le compte à rebours de l’intronisation d’Ouyahia comme président sans élection.Voici le scénario concocté par le pouvoir en trois temps:

1/ Révision de la Constitution par les deux chambres pour porter le mandat présidentiel à 2x7ans et la nomination d’un vice-président

2/ Nomination d’Ouyahia comme vice-président et pas d’élection en 2009 mais report en 2011.

3/ « Coup d’Etat » médical contre Bouteflika ou « décès prévisible suite à une longue maladie » pour le remplacer par le vice-président (comme le système amléricain). En janvier 1992, le pouvoir avait procédé de la même façon en effaçant les dettes des journaux pour le soutenir dans la répression qui allait s’abattre sur le peuple algérien.

Par Saad Lounes

Commentaire: En Algérie, comme vous le savez bien, la presse n’est pas un quatrième pouvoir, mais un quatrième instrument du pouvoir. El Mouhtarem

Prenez vos 30 millions, vos passeports touristiques et cassez-vous!

apn.jpgPendant que le petit peuple crève la dalle, respire un «sale…air», que les enseignants contractuels sont en grève de la faim pour dénoncer le mépris des pouvoirs publics à leur égard, pendant que des milliers de travailleurs sans salaires des mois durant souffrent en silence, pendant que les retraités guettent le versement de leur pension de retraite de misère, nos députés, eux, les «représentants» du peuple, se battent pour un salaire de 30 millions et un passeport diplomatique…

Au fond, ont-ils vraiment tort, eux qui traînent tel un boulet, un humiliant «12 % de légitimité», que de compenser ce déficit chronique par un grand nombre de zéros sur leur fiche de paie ? C’est légitime et on les comprend, près tout. Quant au passeport diplomatique, franchement, à quelle diplomatie peuvent-ils  prétendre ?  Qu’est-ce qui leur arrive ! Ils se trompent scandaleusement de revendication ! Un passeport touristique leur siérait mieux…

Par Rahim Zenati

A propos de la notion de « peuple kabyle »

Je réponds seulement à un propos tenu par Inass: Depuis quand les “Berbères en général” ont été AUTONOMES et souverains ?

Pensez-vous que la définition de notion de peuple est condamnée par le passé?? Cette notion est relative et dépend du temps et de l’évolution des idées sociales et organisatrices. Si la notion de « peuple kabyle » n’a pas encore existé, cela n’interdit pas son introduction dans le présent. Cette partie de la population algérienne veut se distinguer de part ses ambitions et voeux, et pas seulement historiques, mais la cause principale, maintenant, est le projet que veut réaliser cette population. Je m’explique: Ferhat Mhenni et d’autres, parlent de « peuple kabyle » qui veut s’assumer, et c’est là où repose toute la force et la légitimité de cette revendication qu’est l’autonomie. C’est dans le mot « s’assumer »! On n’est pas condamné à etre sous une forme particulière par l’histoire, ni par quelques gens qui prétendent être les DEFINISSEURS des identités.

L’identité est une notion relative, comme le temps, et toutes les autres mesures physiques et non physiques. Elles changent du moment qu’un soulèvement a lieu, et une revendication et un desire y ai t! Et vous êtes juste un peu intelligent, vous allez vous rendre compte que la démocratie et la liberté ont ça comme principe et fondement: La volonté de s’auto-définir. Une autre raison qui pousse les gens comme Ferhat à reclamer l’autonomie, c’est cette fausse image qui est envoyée par le monde entier, qui exclut catégoriquement la berbèrité algérienne. Regardez les discours officiels dans le monde: quand je vois Sarkozy parler de son projet (que je trouve ambitieux biensur), l’UPM, je ne vois pas de reconnaissance de notre identité dedans, pourtant les traits principaux sont le dialogue culturel (une idée de Chirac). Quand on parle de réconciliation entre l’Occident et LES PAYS ARABES, je me demande depuis quand j’étais Arabe moi ???!!! Alors ne vous cachez pas sous le tamis, et regardez ce qui se passe dans le monde, tout le monde se fout de vous et de votre identité dans la globalité algérienne. Par contre si vous vous définissez comme étant un peuple, là je pense que vous aurez au moins le mérite d’exister, non seulement à vos yeux, mais aussi aux yeux du monde. Voilà, donc je vous demande seulement de réfléchir un peu gentiment et sans prise de tête, ni d’amalgame ni autre forme de confrontation inutile.

Merci mes amis. Ar tufat. IDIR

N/B: Le contenu de la contribution n’exprime nullement l’avis du modérateur du blog.

Maamar Boudersa au sujet de l’autonomie de la Kabylie

La crise du pouvoir centralisateur et monopoliste qui ne laisse aucun pouvoir aux collectivités locales (APC-APW) pousse les gens à chercher des solutions qui leur paraissent les meilleures pour régler les problèmes de ses habitants. L’autonomie peut être interprétée de plusieurs manières. La réduire à la seule Kabylie est une question sujective qui regarde l’auteur. Les actuels codes de l’APC et de l’APW sont en contradiction flagrante avec l’esprit et les lettres des articles 14,15 et 16 de la consititution qui parlent déjà de décentralisation et de participation des citoyens à la gestion des affaires publiques. Pour celà, il faut que l’exécutif de wilaya soit élu par l’APW et responsable devant elle. Actuellement, c’est l’APW et l’APC qui sont responsables devant le wali, représentant de l’exécutif. Il faut proposer de nouvelles lois relatives à la commune et à la wilaya, où les exécutifs seront élus et responsables devant les élus. Le pouvoir veut créer des wilayas-déléguées, alors que la consitution actuelle limite les collectivités aux seules communes et wilayas. Au lieu de s’attaquer à Ferhat M’henni, il faut s’attaquer au système de pouvoir qui a permis l’émergence de ce monsieur qui est connu de tous. L’échec et l’amertume sont suicidaires. On n’a pas le droit moral de juger un homme qui vit un état suicidaire, politiquement, culturellment s’entend. Il a ce courage de déranger les âmes mortes qui se réveillent quans les autres proposent. Les âmes mortes n’ont pas de propositions. Ils savent dénigrer les autres qui inventent les idées qui leur parait nouvelles. La décentralisation du pouvoir est une revendication nationale du Sud au Nord, d’Est en Ouest. Pourquoi avoir l’autorisation d’Alger pour creuser un puit au Sud, à Adrar. Pourquoi demander un crédit à Alger, alors que l’agence locale peut l’accorder. Il faut connaitre le véritable fonctionnment des administrations et de l’économie pour connaitre les souffrances du peuple algérien. Tout se décide à Alger. Il faut laisser l’autonomie aux collectivités locales dans tous les domaines qui ne relèvent pas de la souveraineté nationale (défense, affaires étrangères, monnaie, etc..). Les Algériens se sont autodéterminés en 1962. Ils ne peuvent pas s’autoadministrer en 2008. Les APC et APW n’ont pas le droit de prélever les taxes locales. Le pouvoir central les prélève à leur place et les leur donne comme il veut quand il veut. Il a endetté beaucoup de communes. La fiscalité prétrolère est mal répartie entre les communes. Ce sont les communes et wilayas pauvres qui se sont appauvries par ce système de répartition des ressources fiscales. Il faut proposer l’alternative à ce système de pouvoir par la fondation de la république algérienne démocratique et sociale, telle que voulue par les héros légendaires du 1er novembre 1954 par l’élection d’une Assemblée Nationale Constituante qui aura le pouvoir d’élaborer et de voter la consitution de la république voulue par nos aînés qui se sont sacrifiés par leurs vie. Aujourd’hui, le seul sacrifice demandée est une vertue: du courage, de la lucidité, de l’intelligence et l’avenir de l’Algérie avant l’avenir du pouvoir. Le choix s’opère vite. Le pouvoir est provisoire, l’Algérie est éternelle. Elle a appartenu à nos ancêtres et elle appartiendra aux générations futures. Elle n’est pas la propriété du pouvoir.
Merci.
Par MAAMAR BOUDERSA pour www.ffs1963.unblog.fr

Lettre à Ferhat Mhenni

fer.jpgLes Algériens se soucient de la démocratie et non des questions éthniques

A travers la demande qu’il a adressée à messieurs le président de la République et le chef du gouvernenent ainsi qu’au parlement et aux instances internationales, Ferhat Mehenni considère que l’on a affaire à un problème d’oppression farouche entre le pouvoir en Algérie et la région de Kabylie accusant dans son élan les partis fortement implantés dans la région et le mouvement citoyen des «arouch» de ne pas mener le vrai combat. A travers une telle vision, il apparaît clairement que l’activisme de Ferhat Mehenni vise à ébranler l’unité du peuple et de la nation.
Ferhat Mehenni est convaincu que la question de l’identité berbère (tamazight) empoisonne le climat politique dans le pays depuis que la Kabylie a revendiqué son droit à l’autonomie et fait en guise d’argumentaire un rappel des principaux évènements qu’à vécus la région.
Il commence son rappel des évènements par «l’opposition armée de 1963» visant en cela l’insurrection armée dirigée par Hocine Ait Ahmed contre le régime de Benbella oubliant ou feignant d’oublier que cette insurrection revêtait un caractère politique en ce sens qu’elle défendit la légitimité du gouvernement provisoire et l’ouverture du multipartisme et de la liberté d’expression.
Il poursuit en évoquant «printemps berbère de 1980» et enfin le «printemps noir 2001-2003» qui a vu également se réaliser des confrontations sanglantes.
Pour convaincre de la faible représentativité des partis implantés en Kabylie, Ferhat Mehenni évoque le dialogue que les pouvoirs publics ont mené avec des associations amazighes non officielles à l’occasion du boycott de l’école en 1994 puis avec le mouvement citoyen des «arouch» lors de la crise issue du «printemps noir».
Et monsieur Ferhat Mehenni conclut en affirmant qu’entre la région de Kabylie et le gouvernement, la relation ne se limite pas à un simple malentendu, mais qu’il existe bel et bien une crise profonde qui se caractérise par une oppression de la part du pouvoir et un souhait d’autonomie de la part des kabyles.
Devant une telle vision, nous tenons à rétorquer à Ferhat Mehenni et à ses adeptes que le mouvement citoyen de kabylie issu du printemps noir n’a jamais revendiqué ni de près ni de loin la question de l’autonomie de la région et que la plateforme en 14 ponts dénommée plateforme d’El-Keur contient essentiellement des revendications à caractère politique et social allant dans le sens de la défense des acquis arrachés par le peuple algérien grâce au combat incessant qu’il a livré pour libérer le pays du joug colonial puis pour instaurer la liberté d’expression et la démocratie.
Et lorsque le mouvement des arouch a tenté de s’étendre hors du territoire de la Kabylie, considérant qu’il s’agit d’un mouvement citoyen à caractère national, il s’est heurté à la pression qu’a exercé sur lui pouvoir politique qui n’avait pas analysé correctement la situation, ce qui avait constitué une grave erreur politique qui a été exploitée par les adeptes de l’autonomie qui n’ont pas hésité à diffuser leurs idéaux sans jamais être inquiétés par les pouvoirs publics ce qui n’a pas manqué de susciter de questionnements chez nombre d’observateurs.
Il y a lieu de souligner également que le phénomène d’évangélisation dans cette région a constitué un élément nouveau qui est venu renforcer le particularisme de la Kabylie par rapport aux autres régions du pays.
Cependant, nous voudrions rappeler à notre frère, fils de chahid Ferhat Mehenni, que les Algériens ont dépassé les questions ethniques grâce à l’islam et sa portée universelle et que depuis que nos grands-pères amazigh l’ont adopté, il sont arrivés à perfectionner la langue arabe et à contribuer à l’essor de la civilisation musulmane au Maghreb en Andalousie et en Afrique.
La preuve de l’inexistence de la question ethnique nous vient des berbères eux-mêmes qui ont choisi la langue arabe comme langue officielle dans les Etats qu’ils ont créées après leur adoption de l’islam et l’histoire nous a livré, à cet égard, l’exemple de Youcef  Ibn Tachfine, le créateur de la dynastie des «mourabitine» et qui, bien que ne connaissant aucunement la langue arabe, n’a pas manqué d’imposer cette dernière comme langue officielle de son Etat. 
Et si la région était la citadelle de la culture amazighe, elle était également une citadelle de la culture arabo-musulmane grâce à l’activité des dizaines de zaouïas et des centaines d’écoles coraniques qui ont été fréquentées par des savants de toutes les contrées et durant de nombreux siècles.
Et ne lui suffit elle pas la fierté d’avoir accueilli le savant Abderrahmane Ibn Khaldoun qui y a étudié et enseigné et dont un de ses plus prestigieux professeurs fut le savant Abou El-Abbas Ahmed Idriss qui s’était retiré de Béjaïa vers le pays profond des zouaouas pour y créer sa propre zaouïa à Illoula, le douar d’origine de Ferhat Mehenni !
Nous pouvons affirmer que contrairement aux allégations de monsieur Ferhat Mehenni, les zouaouas ont démontré, à travers l’histoire, leur amour et leur fidélité à la partie ; et nous n’en voulons pour preuve que leur participation à toutes les actions menées pour la défendre ainsi que leur contribution avec leurs frères des autres régions d’Algérie à tout effort de développement économique, politique, culturel et social.
Cela avec le témoignage de l’officier français Josef Neil Rouban qui a évoqué cette épopée en 1830 en précisant que les zouaouas avaient participé au combat à raison de 50% des forces qu’avait réunies le Dey Hussein, de même que Hadj Mohamed Ben Zamoum fût un des héros de la résistance dans l’Atlas de la Mitidja lors de l’occupation d’Alger par les forces coloniales françaises.
Il nous vient à l’esprit que lors de la famine de 1868, les habitants des autres régions d’Algérie qui avaient sollicité l’aide des zouaouas ont pu éviter le pire grâce à l’accueil et à la prise en charge dont ils ont bénéficié de la part de ces derniers.
Tout comme ont bénéficié du même accueil, les fidèles de l’Emir Abdelkader lorsqu’ils se rendirent dans la région. Et bien plus que tout cela, les zouaouas de Kabylie pousseront le sens de la bienveillance et de l’hospitalité jusqu’à offrir le commandement de l’une de leurs insurrections au moudjahid surnommé Boubaghla qui les avait rejoint à partir de l’ouest du pays.
Dans le courant du XIXe siècle, de nombreuses personnalités ont brillé dans le domaine du savoir parmi lesquelles les plus illustres furent cheikh Tahar El-Djazaïri (décédé en 1919 en Syrie) qui a grandement contribué à la renaissance de la pensée en Syrie et cheikh El-Mehdi Seklaoui (1785-1861) qui devint le maître des savants et des gouvernants après qu’il se soit expatrié en Syrie en 1847.
Durant l’occupation coloniale, le colonialisme français a tenté de désunir les composantes du peuple algérien à travers, notamment la politique abjecte du «diviser pour régner» et a élaboré, un traitement spécial pour la Kabylie en exploitant son particularisme et ce, en mettant en œuvre un arsenal d’actions :
– encouragement de la pratique des coutumes régionales kabyles au détriment du droit musulman (Sidi Khelil).
– encouragement de la politique d’évangélisation et de la diffusion du christianisme par les pères blancs.
– Ouverture d’écoles françaises à grande échelle.
– Mise sous pression et surveillance des zaouias en leur qualité d’institution de défense de l’islam.
Malgré les actions et les mesures prises par le colonisateur, les habitants de la région ont résisté grâce à leur grande foi dans l’islam.
Et lorsque le mouvement national à caractère politique a pris naissance, les populations kabyles y ont joué un rôle de premier plan. Tout comme elles ont participé avec force à la révolution de novembre 1954 et nous n’en voulons pour preuve que la tenue de son premier congrès dans les maquis de Kabylie (congrès de la Soummam en août 1956).
Cependant, cet élan a été freiné dès le recouvrement de l’indépendance nationale et ce, pour une double cause : l’absence de démocratie, d’une part et l’exclusion de la question identitaire berbère, d’autre part.
Cette politique a fait naitre chez les jeunes de la région un sentiment de frustration qu’ils ont retourné contre la langue arabe et qu’ils ont fini par considérer comme étant l’adversaire de tamazight.
Cette prise de position a donné naissance au mouvement culturel berbère qui a pris à cœur de militer pour la réhabilitation de l’identité berbère comme composante de la personnalité algérienne.
Et devant l’obstination du pouvoir à ignorer la légitime revendication berbère, d’une part et l’avènement des partis politiques, d’autre part, le MCB a fini par se scinder en deux tendances, l’une proche du FFS et la seconde inféodée au RCD.
C’est dans ce contexte particulier qu’est apparu l’extrémisme de Ferhat Mehenni ainsi que son idée d’autonomie, en parfaite coïncidence avec les évènements tragiques qui ont suivi (la disparition) le décès du jeune Massinissa dans le courant du printemps 2001.
Que dire de vos pensés, monsieur Ferhat Mehenni sinon qu’elles sont ségrégationnistes  et étrangères à la culture de la région et que vous vous faite le tambourin d’une machination politique étrangère, menée par la France, les etats-Unis d’Amérique et le Sionisme international.
Nous vous disons également que nous sommes désabusés par le fait que vous violiez les lois de la république et sa constitution et que le gouvernement vous laisse faire.
Malgré les différentes crises et les déchirements internes qu’il a vécus, malgré les complots impérialistes ourdis contre lui, le peuple algérien a pu sauvegarder les principes essentiels qui sont les siens, ainsi que les convictions nécessaires qui lui ont permis d’arracher son indépendance et sa souveraineté.
L’instauration d’un Etat algérien souverain a coûté des millions de martyrs durant 132 années de colonisation. Mais il est désolant de constater aujourd’hui que notre ambition s’amoindrit qu’ont à l’émergence de l’Algérie dont ont rêvé les martyrs et pour laquelle ils se sont sacrifiés.
Le peuple algérien dans son ensemble aspire à la stabilité dans le cadre d’un système démocratique et social, comme l’avaient souhaité des caravanes de chouhada.
Lorsque nous donnons le meilleur de nous-mêmes à notre partie, nous la sauvegardons de tous les maux ! Cela exige de nous une négation de soi de tous les instants.
Et si nous voulons vivre dans le bien-être et réussi sur tout les plans, nous devons donner la parole au peuple…. L’honneur de l’humanité.
 

Par Ahmed Lakhdar Bensaïd, membre fondateur de l’Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC).

NB: Le contenu de la contribution n’exprime pas l’avis du modérateur du blog sur la question de l’autonomie de la Kabylie. Vos contributions à ce sujet sont les bienvenues.

Mes vérités sur Bessalah !*

C’est une réaction puérile et infondée, empreinte de non sens, venant de monsieur «Lumière» ! S’adonnant ainsi, abjectement, à des commentaires diffamatoires et injurieux… cela s’appelle de la diffamation. 

Ses propos calomnieux n’apportent absolument aucune lumière sur les faits qui sont reprochés à Bessalah, ex-directeur du CDTA et ministre de la Poste et des TIC. 

Et pourtant, cette lettre ouverte au président de la République, d’ailleurs très claire même pour celui qui se cache dans le noir, démontre de façon décisive qu’il s’agit bien d’exactions, d’abus de pouvoir et des faits bien établis reprochés à ce monsieur. Plutôt que de se lancer dans une campagne de dénigrement et de désinformation par une autre tentative assez basse de s’en prendre à la personne de Mr. Belaroussi, monsieur « Lumière », comme il semble bien imprégné de ce genre d’ésotérisme, aurait du apporter des éléments constitutifs du dossier, objet de cet antagonisme et de répondre de façon précise aux faits bien établis reprochés à M. Bessalah. Comme par exemple, à travers ce nouvel éclairage, que M. Bessalah a mené la négociation des tractations financières du projet avec le PDG de M+W Zander, en solo, sans que le chef et les membres du projet puissent participer, et cela sans parler de ses déplacements douteux. Ceci renseigne sur ses intentions déjà arrêtées élucidant ainsi, par la suite, son attitude obscure.

C’est aussi calomnieux de remettre en cause la notoriété du LAAS du CNRS, qui s’appelle également le LAAS des AS pour ceux qui connaissent. C’est également calomnieux de nuire à la réputation scientifique de M. Belaroussi, alors que quiconque tapera M.T. Belaroussi sur le Web, se rendra compte que les contributions scientifiques ne sont jamais arrêtées jusqu’à la date d’aujourd’hui. Essayez le, Monsieur « Lumière », pour voir! 

Par contre Mr. Bessalah est diplômé de l’ex-URSS, il n’a jamais fait ses preuves sur le plan scientifique puisqu’il s’est résigné à son grade “maison” de Maître de recherche, attribué administrativement, en n’osant même pas déposer son dossier de promotion au grade de directeur de recherche à la CNEC. Il a quitté le CDTA, malheureux qu’il est, sans aucune promotion scientifique depuis vingt ans, d’ailleurs il le publie lui-même sur le site web du ministère de la poste et des TIC. Le comble pour M. Bessalah est qu’il veut faire valoir perfidement, dans sa biographie officielle de ministre sur ce même site, son court passage (8mois) de stagiaire étranger à l’université de Lyon en tant que grade de Directeur de recherche. C’est vraiment le comble pour un ministre de vouloir tromper l’Etat algérien ! Le titre de Directeur de recherche est attribué aux chercheurs permanents du CNRS, pas aux stagiaires, voyons ! par une commission plus sévère que la Commission nationale d’évaluation des chercheurs du MESRS à laquelle, en fait, il n’avait pas quoi lui soumettre en vérité! Ce n’est pas digne d’un ministre de vivre de la prétention. Pour qui nous prend-t-il? Nous ne sommes pas des aveugles.

Alors bravo Mr le ministre; ils indiquent ainsi aux suivants, le chemin de la réussite et de la gloire ! 

Vouloir remettre la notoriété de Mr. Belaroussi par des mensonges est un acte vil. Il y a lieu de rappeler que Mr. Belaroussi a décliné l’offre de poste chercheur que lui a été faite par un laboratoire belge alors chercheur visiteur. Les témoins peuvent se reconnaître à travers ce message. Il suffit d’interroger les chercheurs du CDTA entre autres notre éminent chercheur Mr. A. Bellaouar – à qui, pour mémoire, le directeur du Centre lui a signifié que nul n’est indispensable avant son départ en 1994 au Canada – ainsi que les universitaires, pour mesurer la vigueur et le bien-fondé des motivations et des convictions de Mr. Belaroussi.

Et il n’avait nullement la prétention de diriger le Centre, d’ailleurs il l’aurait diriger mille fois mieux que cet opportuniste, ni utilisé son statut de fils de Chahid pour se faire valoir et il n’a pas de relations comme le laisse entendre mensongèrement monsieur « Lumière ». 

Sa gestion du CDTA, pendant prés de 23ans, est un très lourd et énigmatique dossier…. 

Celui qui a des relations, c’est M. Bessalah, qui n’a fait que travailler à les développer pour assurer sa propre carrière de l’avis de ceux qui le connaissent de près et également de son avis, lui-même, puisque il reconnaît dans sa biographie sur le site web du MPTIC. C’est ce qui explique pourquoi il est aujourd’hui ministre. 

Selon les informations recueillies et d’après la lettre ouverte, M. Belaroussi n’a pas été président de la commission comme le dit monsieur « Lumière ». Par contre, il ne nie pas, dans sa lettre au président, avoir réceptionné la première phase du contrat et d’ailleurs il en fait allusion d’une façon franche dans cette lettre, en parlant des coûts de référence des équipements remis à neuf “objets de manipulation occulte. 

On se pose déjà la question de savoir à quel point ce détracteur, monsieur « Lumière », ne se projette pas à sa propre chute. 

Concernant le projet de salle blanche, pour le politique et l’économique, la question qu’on devrait se la poser est la suivante : Quels sont les termes de références pour la réalisation d’un tel projet ? Si on réussit à répondre à cette question, il en découlera un éclairage sur toutes les dérives délirantes de la gestion et de l’ésotérisme de M. Bessalah, dont le langage abscons entretient la confusion des esprits et le repli dans l’illusionnisme plus que le rationnel. L’exemple le plus éloquent de ses dérives délirantes est la salle blanche construite dans l’ancien bâtiment du CDTA à El Madania, jamais utilisé depuis qui est devenue ruine ? Est-ce qu’il a rendu des comptes par rapport à cette opération? Et voilà qu’il recommence à nouveau avec le projet de la centrale technologique de Baba Hassen.

Il profite à chaque fois de l’absence de contrôle et du laxisme des services d’inspection de l’Etat.  Pour rappel, et comme il a été signalé dans la première lettre ouverte de Mr. Belaroussi, parue dans Le Quotidien d’Oran le 6 décembre 2006, sur le projet de centrale de technologie du CDTA, que «ce projet n’a même pas fait l’objet d’études préalables de faisabilité économique et l’on peut se demander sur quelles bases, ces opérations ont été financées, alors que rien ne garantit les retours sur des investissements de ce type. D’autant plus que le financement initial de 500 000 US$ dont bénéficiait le projet de la part du FADES (Fonds Arabe pour le Développement Economique et Social) était destiné à ces études. Celles-ci étaient prévues dans la convention FADES- Ministère de l’économie en date du 27/06/1990, et devaient être menées en collaboration avec l’entreprise ENIE, la principale bénéficiaire, puisqu’elle était co-organisatrice de la conférence conjointe sur le développement de l’électronique dans les pays arabes CEN-ENIE-ONUDI (organisée à Sidi Bel Abbès en janvier 1986 avec la présence du FADES). Nous tenons à signaler que nous n’avons pris connaissance du contenu de la dite convention qu’en juillet 2002, celle-ci stipulait clairement dans son premier article : l’étude de faisabilité technico-économique, une démarche que nous avons toujours défendue, comme le dictait le bon sens ». 

Finalement, sachez monsieur « Lumière » que cette affaire est très sérieuse pour la faire tourner en dérision, et que la vérité finira par jaillir de la lumière, mais cette fois-ci la vraie, comme le dit l’Emir Abdelkader «Ce n’est pas par les hommes que l’on connaît la vérité mais par la vérité que l’ont apprend à connaître les hommes. 

Par Abd Ennour.

*Le titre est d’El Mouhtarem

La mystérieuse sale besogne de Ahmed ouyahia*

Les Algériens le savaient : le retour d’Ouyahia aux affaires annonçait forcément la mise en oeuvre imminente de quelque sale besogne, encore une. Certains ont vite établi un lien entre ce retour et le projet cher à Bouteflika, la révision de la Constitution. Il se trouve que le même Ouyahia déclarait au lendemain du congrès de son parti, moins d’une semaine après son rappel, que le principe de l’amendement du texte constitutionnel était acquis. Il laissait donc entendre que la messe était dite avant son retour au poste de chef du gouvernement. 

Il fallait en prendre acte… 

D’autres ont cru que Ouyahia était chargé d’organiser la prochaine fraude électorale sachant qu’il s’y connaît autant que les dirigeants du FLN mais qu’il est capable, en plus, d’assumer l’ignominie qui en découlera…en toute fierté. Une aubaine pour le parti de Boutef qui s’en lavera les mains. Comme des fraudes de juin et d’octobre 1997. Ou encore, celle plus récente d’avril 2004. Le chef du RND ayant largement acquis et mérité la réputation de fraudeur en chef, pourquoi encombrer le FLN d’une mission si immorale, si infamante ? Pourquoi ne pas laisser Ouyahia salir un peu plus son CV? Après tout, cela pourrait servir un jour…  Mais si telle était la seule arrière pensée de Boutef, le FLN aurait applaudi. Il se trouve que le remplacement de Belkhadem par Ouyahia a mis en émoi la maison FLN. A tel point que certains dirigeants de ce parti, à l’exemple de Si Affif dont on connaît le caractère aussi impulsif que prétentieux, veulent la tête de Belkhadem, pas moins. 

Que cache donc le retour d’Ouyahia à la tête de l’Exécutif, lui qui, en 2006, avait été éjecté sans ménagement ni égard aux “services rendus” antérieurs? Comment comprendre que, dans le cadre du dernier remaniement opéré dans le corps des walis, Boutef ait nommé 29 walis (sur les 48) originaires de Tlemcen et que, quasiment en même temps, il ait préféré un Kabyle à un homme de l’ouest dont la fidélité au clan est indiscutable ?
C’est que la mise à exécution de la mission secrète, la mystérieuse sale besogne inscrite sur l’agenda du régime requiert, par sa nature et surtout par l’identité des protagonistes qu’elle se doit de mettre en scène, qu’elle soit confiée à un Kabyle.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour identifier ladite mission: la réouverture du procès de l’assassinat de Matoub Lounès et la liste des témoins requis par Malika Matoub (où l’on trouve, pêle-mêle, Said sadi, Djeddai, Abrika, Ferhat M’henni, Benchicou, Amara Benyounès, Khalida Toumi, etc…) laissent supposer la décision de réinstaller à nouveau la Kabylie dans un climat délétère, voire même d’y susciter de nouvelles violences. Cela fait dix ans que Malika, (…) demande une nouvelle enquête, un nouveau procès. Ce n’est qu’aujourd’hui qu’on décide de la “prendre au sérieux”. C’est ainsi que cela se passe chaque fois que le régime fait face à des difficultés d’ordre clanique ou encore lorsque le besoin de discréditer l’opposition démocratique se fait pressant. Il se trouve que Said Sadi se fait plus gênant depuis quelques mois et que Ait Ahmed envisage une initiative en septembre. C’est beaucoup trop de choses pour ne pas imaginer une riposte.
Il faut savoir que la connexion entre Malika Matoub et Ouyahia a été établie immédiatement après l’assassinat de Lounès. C’est un certain Allel, établi à Paris en tant que responsable du RND émigration mais surtout agent des services secrets algériens, qui a toujours servi d’intermédiaire entre la soeur de Lounès et Ahmed Ouyahia, décrit comme un traître de la pire espèce dans le dernier album du chanteur. A l’époque, Malika craignait de voir la veuve de Lounès bénéficier de l’héritage et que sa mère et elle même en soient exclues. Il était important qu’elle pût compter sur une ponte du régime pour spolier Nadia Matoub de ses droits. Ce “soutien” promis par le fameux Allel impliquait une contrepartie: Malika devait soupçonner publiquement les amis de Lounès d’avoir organisé son assassinat. Rien de mieux pour écarter la piste qui mène à la vérité. Si la justice est instruite de réveiller le dossier Matoub, c’est qu’Ahmed Ouyahia va réveiller le réseau dormant dont il dispose en Kabylie. Un réseau constitué de clients plus ou moins voyous dont le critère commun est qu’ils se sont enrichis à vue d’oeil depuis 2001.
Malika applaudit, Benchicou jubile, Abrika se frotte les mains: la Kabylie est en danger, ses dignes fils sont interpellés.
On dit qu’un criminel revient toujours sur les lieux de son crime. Et si, grâce à ce nouveau procès, Malika et Ouyahia nous menaient à la vérité sans le vouloir. 

Par Moha

* Le titre est d’El Mouhtarem

Kara répond à Ait Hamouda et accuse !

Le bureau de l’Assemblée populaire nationale, a délégué aujourd’hui Mohamed Seghir Kara, vice-président de l’institution législative, chargé de la communication, de la culture, de l’édition et de la formation pour répondre aux propos tenus par Noureddine Aït Hamouda lors de la conférence de presse au cours de laquelle il a fait part de ce qu’il a qualifié de dysfonctionnements de l’APN et de la discrimination dont serait l’objet le groupe parlementaire du parti de Saïd Sadi. M.Kara n’hésitera pas à accuser le député du RCD  de faire diversion en invoquant les dysfonctionnements de l’APN pour masquer une autre affaire (l’allusion faite au procès des assassins de Matoub Lounes et dans lequel la sœur du défunt demande à citer Saïd Sadi, Noureddine Aït Hamouda et Amara Benyounes ne trompait pas les journalistes présents à la conférence animée par M. Kara). Sources La Tribune 

M. Bessalah utilisait le CDTA comme base arrière dans sa stratégie de conquête*

hamidbessalah.jpgA Monsieur « Lumière » 

Les informations attendues de vos «projecteurs», puisque qu’apparemment vous êtes aux secrets de Dieu, devraient nous éclairer, nous les internautes, sur les faits reprochés à l’ancien directeur promu Ministre de la Poste et des TIC. Dans la lettre au président, ça parle d’exaction et d’abus de pouvoir. L’exaction est en rapport avec la conduite financière exagérée, pour ne pas dire magouille, du projet de 21 millions d’euros de centrale de technologie construite par la firme M+W Zander, branche libanaise qui est à son premier projet de salle blanche, et l’abus de pouvoir constaté par rapport à une réglementation régissant le fonctionnement interne d’une EPST. C’est ce genre d’informations qui intéressent les internautes. Avez-vous des informations sur ces sujets ? Car en évidence, vous êtes très bien informée, ce qui laisse à penser que vous êtes partie prenante dans ce dossier. Ce n’est pas grave puisque vous vous cachez derrière le pseudonyme de «Lumière». Et bien ayez le courage de faire toute la lumière, la vraie, et non de verser dans les jugements subjectifs de dénigrements de psychologue, de médecin et que sais-je encore ! 

Vous voulez informer en colportant et en ramassant des informations malveillantes ça et là !! 

D’après les documents sur Internet, les deux antagonistes de cette rubrique sont Mr. M.T. Belaroussi, Docteur en microélectronique du LAAS, Laboratoire d’architecture et d’analyse des systèmes du CNRS, France, et Mr. Hamid Bessalah, Docteur en systèmes informatiques et traitement du signal de l’institut de Cybernétique auprès de l’Académie des Sciences d’Ukraine ex URSS, ancien directeur du CDTA et ministre de la Poste et des TIC. Quand on veut bien informer, il faut donner l’information exacte, Monsieur « Lumière ». 

L’information exacte concerne le parcours scientifique de Mr. Bessalah, qui au bout de 23 ans à la tête du CDTA, n’a produit aucune publication sur les thèmes qui prétend avoir initiés. Sa biographie sur le site www.mptic.dz est éloquente. Uniquement, sept (07) publications réalisées entre 2006 et 2008 dont une seule en second auteur (les autres appartiennent à d’autres auteurs consacrés à d’autres thèmes) sur l’un des thèmes qu’il annonce avoir initié sur ce même site, autrement dit de 1985 à 2008, il était occupé à faire autre chose. Monsieur Bessalah travaillait pour sa carrière autre que scientifique. Il passait tout son temps dans des conseils d’administration et commissions (membre dans 15 conseils en même temps, record jamais égalé qui mérite son entrée au Guinness). Pour lui, le CDTA passait au second plan, et d’ailleurs, il l’utilisait comme base arrière dans sa stratégie de conquête. D’ailleurs, comment pouvait disposer du temps pour assurer une bonne gestion du CDTA avec toutes ses occupations extérieurs, voir biographie sur le site www.mptic.dz

Le message de Mohammed, qui fait référence aux rapports de gestion des cinq dernières années, appuie ce constat amer. En conclusion par rapport à ce fait inédit, la faute n’est pas uniquement du ressort de Mr. Bessalah mais également et surtout de la tutelle (MESRS) qui par négligence a permis l’existence de ce genre de situation inédite. La norme dit qu’un directeur doit se consacrer exclusivement à la gestion de son établissement et être au service de l’activité qui y menée. 

C’est bien, même très bien, de ressortir du néant des chercheurs talentueux comme Mr. Bellaouar, qui d’ailleurs a fait sa thèse de doctorat de 3° cycle au LAAS du CNRS avec Mr. Belaroussi, pour se rappeler de lui alors que Mr. Bessalah lui signifiait dans les années 85-88 que nul n’était indispensable. Il est sur le Net, et il peut témoigner. 

Vous dites que Mr. Belaroussi, en dix ans, a changé de position par rapport à la filière technologique en microélectronique, sachez que la technologie évolue tous les jours et nous assistons à des péremptions de segments entiers en dix ans de temps. Il me semble que vous êtes en déphasage par rapport au cours d’évolution des process et des techniques dans ce domaine. Il a changé d’avis pour qu’il ne soit comptabilisé parmi les imbéciles. Les accusations que vous portez sur sa production scientifique sont contredites.

Finalement, les ergotages que vous colprotez sont très loin d’être objectifs pour être verser dans ce débat pour la vérité que vous voulez transformer en vous proposant comme l’avocat du Diable.

Par Ahmed de Paris

* Le titre est d’El Mouhtarem

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