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Archive pour 'Presse et médias en Algérie'

RSF: Malgré l’annulation de la peine de prison ferme, Fatma-Zohra Amara demeure condamnée pour “diffamation”

Le 7 juillet 2012, la cour d’Appel d’Annaba (Est) a annulé la peine de deux mois de prison ferme à laquelle avait été condamnée pour “diffamation” Fatma-Zohra Amara, journaliste au quotidien Akher Sâa, en juin dernier.

“Certes soulagés par l’annulation de la peine de prison ferme, nous déplorons ce nouveau jugement, qui maintient la condamnation pour diffamation, assortie d’une amende et de dommages et intérêts à l’encontre de la journaliste qui n’avait fait que remplir son devoir d’information. Nous considérons que les montants en question, qui atteignent un total de 120 000 dinars (environ 1 200 euros), sont disproportionnés”, a déclaré Reporters sans frontières. (Lire la suite)

Cérémonie en l’honneur de Merzouki: Hicham Aboud parle au nom des journalistes algériens !

Cérémonie en l'honneur de Merzouki: Hicham Aboud parle au nom des journalistes algériens ! dans Presse et médias en Algérie aboudL’ancien agent du DRS, Hicham Aboud, a pris la parole hier, à l’occasion de la cérémonie en l’honneur du président e Merzouki organisée par le quotidien Echourouk, au nom des journalistes algériens. Le directeur d’Echourouk, journal qui véhicule la haine et le racisme, a invité Hicham Aboud à prendre la parole au nom des journalistes algériens.

Tout cela s’est passé en présence de nombreux journalistes, mais surtout du secrétaire général par intérim du SNJ, signataire de la pétition de soutien au général Khaled Nezzar. El Mouhtarem

Al Magharibia TV cesse d’emettre

Al Magharibia TV cesse d'emettre  dans Presse et médias en Algérie magaribia-TV-300x225La chaîne satellitaire « Al Magharabia tv », informe ses fidèles téléspectateurs qu’en date du 30 Janvier 2012, la société britannique « British telecom », avec laquelle elle est liée par un contrat, consistant à assurer la diffusion de ses programmes, lui a fait savoir que des pressions ont été exercée sur la société intermédiaire, avec laquelle sous traite la société «British Telecom», pressions provenant d’un des pays du Maghreb, concernant le contenu des programmes de la chaîne «Al Magharibia Tv».

Cinq jours après cet appel, à savoir le dimanche 5 Février, l’arrêt de diffusion des programmes de la chaîne a prit effet, sur le satellite Atlantic bird 7 (sur Nilesat). La direction de la chaîne Al Magharabia tv a pu savoir, grâce à ses investigations, que la décision d’arrêter la diffusion de la chaîne « Al magharibia Tv » était en effet une décision prise par une des sociétés sous-traitantes avec la compagnie «British Telecom», basée au Moyen-Orient , par ailleurs il est à signalé que la direction d’ Al Maguaribia Tv est en possession d’informations précises, qui révèlent que cette société intermédiaire aurait pris la décision d’arrêter la diffusion en raison des pressions exercées sur elle par l’un des Etat du Maghreb. (Lire la suite)

Marche du 2 janvier 1992 et la désinformation d’El Watan Week-end

Marche du 2 janvier 1992 et la désinformation d'El Watan Week-end dans Presse et médias en Algérie hocineaitahmed1Faisant dans la désinformation, El Watan Week-end a affirmé dans sa dernière édition que la marche du 2 janvier 1992 à Alger a été organisée à l’appel de Hocine Aït-Ahmed et du Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie (CNSA), présidé par feu Abdelhak Benhamouda.

Tous les Algériens savent que cette marche qui a regroupé 1 million d’Algériennes et d’Algériens a été organisée à l’appel de Hocine Aït-Ahmed. Le CNSA n’a jamais été associé à cette manifestation, même si quelques personnes se réclamant de ce comité avaient pris part à la marche.  

Jeudi 2 janvier 1992, à l’Appel de Hocine Aït-Ahmed, des centaines de milliers de personnes venues d’Oran, de Relizane, de Kabylie, de Tindouf et d’ailleurs ont défilé quatre heures durant. La foule criait à en perdre la voix «Vive l’Algérie Libre et démocratique ». «Ni Etat policier, Ni Etat intégriste mais Etat Démocratique», rapportait Algérie Actualités. Hocine Aït-Ahmed ajoute «l’Algérie moderne existe si on lui donne les moyens de s’exprimer. Les mosquées étaient devenues le refuge des marginalisés et des exclus, donnons leur une autre alternative, ils la saisiront.»

A propos des déclarations réclamant l’annulation du second tour des élections législatives du 26 décembre 1991, le secrétaire général du Front des Forces Socialistes (FFS),  Hocine Aït-Ahmed a affirmé, au lendemain du premier tour, «Nous sommes des légalistes avant tout. Nous voulons donner sa chance au processus électoral tout en sauvegardant la paix civile (…) Une intervention de l’armée réclamée par des personnalités politiques risquerait d’entraîner le pays dans un interminable cycle de violences. Intervenir ce serait, par ailleurs, désespérer et démobiliser davantage les Algériens: Une crise de la démocratie ne peut être réglée que par plus démocratie(…) Les cadres civils et militaires n’ont pas envie de voir l’Algérie donner l’image d’une république bananière dans laquelle les échéances électorales sont retardées, reprogrammées et annulés à mi-parcours quand elles ont lieu, car c’est le peuple qui paiera le prix de l’aventurisme des STRATEGES EN CHAMBRES qui prennent en compte tous les paramètres sauf ses ASPIRATIONS… » El Mouhtarem

Il briefait des journalistes dans les années 90, le colonel Hadj Zoubir est décédé

L’homme qui briefait des journalistes algériens, durant les années 90, le colonel Hadj Zoubir est décédé hier à 22h00 à l’hôpital militaire de Ain Naadja des suites d’une longue maladie. Hadj Zoubir était chargé du Service de l’action psychologique du DRS avant de céder sa place au colonel Fouzi. De nombreux journalistes obéissaient aux ordres de Hadj Zoubir à l’instar de Mohamed Sifaoui qui a été chargé de faire un reportage sur la milice de Hadj Makhfi à Lakhdaria dans la wilaya de Bouira.  Après son départ du DRS, Hadj Zoubir a été recruté par le patron de Cevital comme conseiller à la communication. El Mouhtarem

Kamel Amarni, flic ou journaliste ?

kamelamarni.gifLe pseudo journaliste, ancien « militant » du RCD, secrétaire général par intérim du SNJ, ami de Djamel Ould Abbes et de Khaled Bounedjma, journaliste au service de Ali Benflis, Kamel Amarni crache encore son venin sur le FFS. Alors que son journal, Le Soir d’Algérie n’a pas jugé utile de couvrir les travaux du conseil national du FFS, tenu vendredi dernier à Alger, Amarni évoque aujourd’hui, dans un article commandé, « un mystérieux séjour algérois d’Aït Ahmed en mai dernier ». « S’étant appuyé, depuis quelques années sur le PT de Louisa Hanoune, le régime de Bouteflika veut adjoindre un nouveau client: le FFS de Hocine Aït Ahmed. «Ce qui intéresse le pouvoir, c’est l’image qu’il donnera de lui pour l’étranger. D’où le choix du FFS», a écrit Amarni, le client numéro de l’ancien ministre de la Solidarité Djamel Ould Abbes.

« Le deal aurait été scellé depuis quelques mois, à l’occasion d’un séjour qu’aurait effectué dans le plus grand secret Hocine Aït Ahmed en mai dernier à Alger». «Aït Ahmed aurait rencontré de hauts responsables lors de ce voyage et la participation du FFS aux prochaines législatives ne ferait aucun doute. C’est ce qui explique peut être la médiatisation dont jouit le parti, dans les médias publics. Mais aussi son attitude passive lors des protestations qui ont secoué le pays durant les premiers mois de l’année 2011″.

Kamel Amarni qui a usurpé la fonction de secrétaire général du SNJ, ferait mieux de convoquer le Conseil national du syndicat qui ne s’est pas réuni depuis 2000.

El Mouhtarem

Commentaire de Axenfus: «Ce qui intéresse le pouvoir, c’est l’image qu’il donnera de lui pour l’étranger. D’où le choix du FFS» Amarni reconnaît (sans le vouloir peut-être) que le FFS a une image propre, une bonne image à montrer à l’étranger. Il ne faut surtout pas lui en vouloir, il est analphabète trilingue et c’est dans ce milieu que le pouvoir préfère recruter !!

Kamel Amarni doit succéder à Ould Kablia !

kamelamarni.gifLe secrétaire général par intérim (depuis plusieurs années) du Syndicat national des journalistes (SNJ), Kamel Amarni, a écrit aujourd’hui dans Le Soir d’Algérie que le FFS «est le seul parti légal au monde à être géré par un président résidant à l’étranger ! Et ce, en parfaite violation de la loi sur les partis politiques».

Au lieu de dénoncer les services du ministère des Affaires étrangères qui ont empêché les journalistes de couvrir le retour de nos marins, Kamel Amarni, à la tête d’un pseudo syndicat, préfère s’attaquer à une personnalité propre comme Hocine Aït-Ahmed. Ni l’ancien ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, ni l’actuel, Dahou Ould Kablia, n’ont déclaré un jour que l’absence de Hocine Aït-Ahmed du territoire algérien est en violation de la loi sur les partis politiques. El Mouhtarem 

Algérie: Le porte-parole des AE chasse les journalistes de l’aéroport de Boufarik

medelci.jpgLe Syndicat national des journalistes (SNJ) qui a réagi à l’agression d’un journaliste par un joueur de football réagira-t-il à l’attitude de Amar Bellani (TBELLANI), porte-parole du ministère des Affaires étrangères, à l’égard de nos journalistes hier à l’aéroport militaire de Boufarik ? En effet, le « porte-parole » de Mourad Medelci a chassé les journalistes du salon d’honneur de l’aéroport alors qu’ils attendaient avec les familles le retour de nos marins après une prise d’otage qui a duré huit mois. Amar Bellani (Tbellani) a demandé aux journalistes, à l’exception de ceux de l’ENTV et de l’APS, de quitter les lieux. « Vous n’êtes pas invités à la couverture de l’événementé », a déclaré aux journalistes Amar Bellani (Tbellani). El Mouhtarem 

Ali Boudoukha rapatrié vendredi après midi à Alger

Ali bey Boudoukha décédé à Paris bab.jpgsera rapatrié à Alger le vendredi après midi sur un vol Air Algérie, et probablement inhumé le samedi 12 novembre au cimetière de Zeralda. Ali Bey Boudoukha s’est éteint mercredi matin à la clinique du Plateau, à Meudon en couronne parisienne, après avoir lutté durant plus de 04 mois contre une rechute de cancer des poumons. Il était âgé de 60 ans, et père de 3 enfants. La presse et la radio algérienne lui ont rendu un hommage unanime. www.maghrebemergent.info

 

 

 

 

La traçabilité du mort

bab.jpgPar Cherif AISSAT

Des Ali, beaucoup sont partis. Sacré nom de je ne sais quoi: ce qu’il n’était pas élégant quand il travaillait, quand il parlait, quand il marchait…

Naître, vivre et partir ! Le départ n’a pas de sens si  le parcours vécu a été inutile après être né. S’il vous plaît, épargnez-vous l’effort de vous rappeler les rebuts de la mangeoire et les ravages de son irrésistible attrait. C’est une paraphrase à la limite de l’original titre d’un article qu’aurait signé Mabrouk Hamena.

Entre ces deux dates, ces deux instants «t» dans les sciences pures, dans la pensée pure, si la fonction utilité, non pas avec des variables mais avec des constantes ou constance c’est mieux, n’est pas croissante alors la courbe aura un coefficient directeur négatif et la mort en tant que point d’inflexion sera une dérivation vers l’oubli. Dans le cas contraire, la mémoire en tant que fonction historienne sera continue et strictement positive. Dans cette tendance, la traçabilité de la mort sera aisée et heureux, aimants seront toujours ceux qui la feront.

Céder aux sirènes de la mangeoire et cupidité, c’est plus qu’une forfaiture, c’est une trahison. Casser après avoir résisté, c’est du courage. La résistance pourrait être ou c’est du patriotisme; ce dernier s’il est porté par la paix ou participe de sa construction alors elle relève de l’universalisme, de l’humanisme.

Péroraison ou soliloque, peu importe. Il s’agit simplement de mots pour parler d’un Homme qui a tant fait et donné pour l’Algérie. Dans l’un des derniers tête-à-tête ensemble, dans un jeu de rôles, nous avons délibéré sur le procès de criminels, d’assassins alors que nos intimes convictions nous disaient qu’ils étaient innocents, il a donné son verdict après moins de dix minutes de délibérations. Son motif était tout simple: la vérité n’a pas besoin de longs discours et le temps lui a donné raison et la lui donne toujours.

Dans une autre action d’opposition à un viol, son dégoût de la scène publique le mettait souvent hors de lui.

Ce n’est pas grave, en partant, il rejoindra d’autres braves. Repose-toi Boudoukha Ali Bey, tu le mérites ! Tu t’appelais aussi Mabrouk Hamena, n’est-ce pas ? Nous t’appellerons toujours BAB et nous t’aimerons à jamais.

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