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Archive pour 'Presse et médias en Algérie'

L’entv prône le discours unique

entv.jpgLe 30 mai 2011, le Collectif des Familles de Disparus en Algérie et Sos Disparus ont envoyé une lettre à l’ENTV demandant un droit de réponse. Un mois et demi plus tard, cette lettre n’a toujours pas été suivie d’effet et aucune réponse n’a été donnée malgré toutes les tentatives de rentrer en contact avec les responsables de la chaîne. Face au silence de l’ENTV, les familles de disparus s’insurgent contre le refus de la chaîne de contribuer à l’instauration de débats contradictoires et démocratiques et souhaitent rendre publique la lettre ci-dessous adressée à l’ENTV.

Le 20 mai 2011, dans une émission télévisée diffusée en direct, intitulée « La rencontre de la semaine, Me Farouk Ksentini affirmait pour la énième fois que le dossier des disparus était clos Selon lui, le processus de réconciliation nationale aurait totalement réglé la question des disparus puisque l’Etat a indemnisé des familles. Me Ksentini justifiait la disparition de plusieurs milliers de disparus par la lutte antiterrorisme durant les années noires et affirmait. Il affirmait que 95% des objectifs de la réconciliation nationale seraient réalisés et le temps serait désormais venu de passer à autre chose.

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Article d’El-Watan: démenti de Mohamed Benchicou

benchicou.jpgL’ancien directeur du quotidien Le Matin a démenti l’information rapportée par El Watan dans l’article intitulé « La journaliste Nadia Kerboua arrêtée puis libérée ». selon laquelle il serait à l’origine des déboires judiciaires de Nadia Kerboua, arrêtée jeudi à l’aéroport de Annaba par la police algérienne des frontières.

« Je démens catégoriquement avoir intenté une quelconque «action judiciaire» contre qui que ce soit, et encore moins contre Nadia Kerboua. D’abord parce que je n’ai aucun reproche à faire à cette collègue que je n’ai pas vue depuis 10 ans. Ensuite parce que l’idée peu élogieuse que je me fais de la justice de mon pays m’empêche d’y recourir pour quelque contentieux que ce soit », a écrit Benchicou.

La journaliste Nadia Kerboua arrêtée à l’aéroport de Annaba puis libérée

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Nadia Kerboua, l’ex-correspondante à Montréal (Canada) du quotidien Le Matin, a été arrêtée, jeudi vers 14h, à l’aéroport international Rabah Bitat de Annaba par la police algérienne des frontières (PAF) alors qu’elle venait de débarquer du vol Paris-Annaba de la compagnie française Aigle Azur, apprend-on de sources policières.

Selon les premières informations, Mme Kerboua, qui avait quitté l’Algérie pour s’installer au Canada, ne savait pas qu’une action judiciaire avait été intentée à son encontre par Mohamed Benchicou, alors directeur de publication du quotidien Le Matin, suspendu définitivement en 2004. Selon toujours les mêmes sources, Mme Kerboua n’est pas la seule à être l’objet d’une action judiciaire; trois autres journalistes sont également concernés par cette mesure, dont le plaignant est toujours Mohamed Benchicou, l’ex-directeur de publication du Matin.

Après vérification de l’identité de la journaliste, les éléments de la PAF l’ont remise à la sûreté de daïra d’El Bouni, territorialement compétente, tel que prévu par la réglementation. Après son audition sur procès-verbal, Mme Kerboua a été libérée et a pu rentrer chez elle, à Constantine ; elle doit cependant comparaître devant le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, pour faire opposition.  El Watan

Maamar djebbour, de Khalifa TV à la direction de l’information de la chaîne 3 !

djebour.pngLa nomination de Maamar Djebour au poste de directeur de l’information de la chaîne 3 de la radio nationale est passée inaperçue. Frère de Ghalib Djebour, gendre du général à la retraite Mohamed Betchine, Maamar était l’animateur vedette du talk show de Khalifa TV appartenant au milliardaire déchu, Abdelmoumene Khalifa. Au procès de Khalifa à Blida, les Algériens ont appris que c’était Djebour qui distribuait la manne avec Mohamed Raouraoua aux clubs de football. El Mouhtarem

Algeria’s spring starts in the newsroom

mouammarkadhafiabdelazizbouteflika1.jpgBy Michael Martin | June 22, 2011 www.ibtimes.com

Algerians waged a roaring war against French imperialism in 1954. In 2011, it’s among the quietest nations in the MENA region.

If an Algerian democracy movement exists today, it lives in newsrooms, according to the journalists bargaining with President Abdelaziz Bouteflika’s administration for freedom of expression in emailed petitions and Facebook groups.

« My family members died for the self-determination of the Algerian people [in the revolution], and I am still fighting for self-determination, » said prominent Algerian journalist and free press activist Chafaâ Bouaiche.

Bouaiche’s popular blog Algérie-Politique has launched campaigns to free imprisoned journalists and lambast media outlets acting as mouthpieces for the government.

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Mouvement de grève des journalistes au quotidien El Ahdath

 

ahdath.jpgUn mouvement de grève de la rédaction du quotidien arabophone El Ahdath a été lancé aujourd’hui samedi à l’appel d’un groupe de journalistes et d’employés pour des revendications socioprofessionnelles.

A son lancement il y a 10 ans, le quotidien El Ahdath, dirigé à l’époque par Habet Hannachi, avait bénéficié pendant plusieurs années de 9 pages de publicité de l’ANEP quotidiennement. Ce journal, selon une source informée, a été crée, entres autres, par l’ancien DG de l’ENTV Hamraoui Habib Chawki et Hafid Derradji et Mohamed Sidi Moussa, conseiller de Khalida Toumi.

Le directeur du journal El Ahdath a décidé de faire paraître le journal avec deux agents de montage et les dépêches de l’APS. El Mouhtarem   

Que reste-t-il du SNJ ?

snj.jpgPar El Mouhtarem 

Le Syndicat national des journalistes (SNJ) n’a pas tenu son congrès depuis sa création en 1999. Pis, ce «syndicat» n’a pas réuni son conseil national depuis 2003 ! Son bureau national qui n’a jamais été renouvelé ne s’est pas réunit depuis 2007. Mais qui sont donc les membres du bureau du SNJ ? 

Kamel Amarni, journaliste au Soir d’Algérie, SG par intérim depuis la démission de Rabah Abdellah en 2006. La section du Soir d’Algérie du SNJ n’existe plus sachant que la responsable est aujourd’hui chef de bureau de Constantine du Temps d’Algérie.

Meziane Rabhi, journaliste à Liberté.

Mourad Aït Oufella, journaliste à Wakt El Djazair

Houari Bouhessoun, journaliste au Quotidien d’Oran

Zakaria Chabane a été élu membre du bureau national du SNJ en 1999 alors qu’il était journaliste au quotidien El Alem Essiassi. Depuis, Zakaria Chabane, militant du RND, a occupé le poste de directeur de A3 de la télévision nationale. Actuellement, il est en congé spécial.  

Nadir Benseba. Ancien journaliste du quotidien Le Matin. Actuellement, actionnaire dans l’hebdomadaire en langue arabe El Mihwar.

Idir Benyounes. Il a rejoint le SNJ en tant que chef de bureau du quotidien Le Matin dans la wilaya de Tizi Ouzou. Depuis, Idir Benyounes est directeur du quotidien
La Dépêche de Kabylie

Huit membres sur 14 ont démissionné du bureau 

Nouredine Azouz

Hocine Belaloufi

Lazhari Labter

N. Zrarka

Mohand Redaoui

Zine Cherfaoui

Rabah Abdellah

Mourad Slimani

Mustapha Aït Mouhoub*: «Les syndicats de journalistes ont déserté le terrain des luttes syndicales»

snj.jpg* Journaliste à l’APS, animateur de l’«Initiative pour la dignité du journaliste»   Les syndicats des «journalistes-maison» ne ruent pas dans les brancards : ils tombent dans les bras du pouvoir, font la courte échelle à l’Instance Bensalah, en mal d’interlocuteurs crédibles pour conduire ses consultations politiques. Samedi dernier, une délégation «représentant»

la Fédération nationale des journalistes algériens (FNJA), syndicat affiliée à l’UGTA et du Syndicat national de journalistes (SNJ), structures syndicales arrimées au pouvoir et souffrant d’un déficit chronique en légitimité et en représentativité, a pris part au «Bensalah show». Sur la table des «consultations», que des sujets sérieux engageant l’avenir des journalistes et le devenir de la liberté de la presse : statut particulier du journaliste, loi sur l’information, conseil de l’éthique et de la déontologie, régulation du champs médiatique…. 

- Des syndicats de journalistes, le SNJ et et la FNJA en l’occurrence, ont été reçus samedi dernier par la «commission Bensalah». En dépit d’un déficit en légitimité et en représentativité, ces deux structures syndicales siègent également dans la commission ministérielle chargée de se pencher sur la question des salaires des journalistes. Que vous inspire cette usurpation continue de la qualité de représentant de journalistes et ce compagnonnage inopportun du régime ?    

La commission Bensalah a fait du remplissage avec ces deux organisations. Elle a meublé sa journée tant elle n’avait pas grand monde à recevoir ce samedi. Il se trouve que la corporation de journalistes est la moins organisée du pays. Le problème de la représentativité et de la légitimité de ces deux syndicats se pose avec acuité. Le SNJ n’a pas renouvelé ses instances depuis cinq ans et la FNJA dont le bureau fédéral est dissous depuis plus de deux mois, fonctionne par cooptation (de l’UGTA). Désavoués, délégitimés, les animateurs de ces syndicats veulent se réhabiliter en s’inscrivant dans cette démarche de consultations politiques, alors qu’en réalité ils ne font que s’enfoncer davantage.

Concernant l’objet de ces consultations: nouveau code de l’information, régulation du champs médiatique, conseil d’éthique, etc., il se trouve qu’au niveau du ministère (de la Communication) un processus est déjà en cours pour, entre autres, la révision de cette loi et dont le projet, d’après le ministre, sera présenté en Conseil des ministres avant la fin juin. Alors pourquoi se rendre chez l’instance de Bensalah tout en sachant que celle-ci ne terminera pas son travail en juin, et que l’essentiel des préoccupations sérieuses des journalistes est traité à un autre niveau ? A mon sens, cette rencontre tient du simple protocole. Pas plus. Pour ce qui nous concerne, nous animateurs de «l’Initiative pour la dignité du journaliste», nous n’avons pas été invités ni à ce processus, ni associés au travail de la commission ministérielle.
Nous ne sommes pas une organisation corporatiste et notre seul objectif est de susciter un débat autour des préoccupations réelles des journalistes en partant du constat que les organisations existantes, instrumentalisées politiquement, ont déserté depuis longtemps le terrain des luttes syndicales.

- Misère d’une corporation ouverte aux quatre vents,  la FNJA a plaidé, entre autres, pour un plan de carrière en faveur des journalistes, la révision du statut particulier du journaliste (statut non encore promulgué) et surtout pour la révision à la baisse de l’amende infligée au journaliste coupable de diffamation. Le FNJA trouve excessive les 750 000 DA d’amende prévue par le code pénal. Un commentaire ? 

Les journalistes qui se sont exprimés au nom de la FNJA n’avaient pas de mandat légitime pour ce faire. Ils ont été désignés, comme au bon vieux temps, cooptés par le secrétariat de l’UGTA. Qu’on se le dise ! S’agissant du projet de loi sur l’information qui sera présenté au gouvernement fin juin, nous n’en connaissons pas la teneur exacte. Hormis ce que le ministre, qui n’a pas donné lecture publique de ce projet, a bien voulu dire, à savoir que les articles prévoyant des peines d’emprisonnement du journaliste allaient être supprimées et que des dispositions nouvelles allant dans le sens de la protection du journaliste, de l’accès garanti à l’information y seront consacrées. Maintenant, pour cette histoire d’amende «excessive», par principe, je suis contre toute peine infligée à un journaliste en exercice. Je m’interroge toutefois si une dépénalisation complète du délit de presse opérée dans le contexte actuel, avec le niveau d’indigence, de désorganisation, de déliquescence de la profession, d’absence d’un conseil d’éthique, ne va pas nous plomber davantage !

Mohand Aziri 

Le Syndicat National des Journalistes ( SNJ) ira chez Bensalah

snj.jpgRadio Kalima a appris, de source sûre, que le représentant du SNJ (Syndicat National des Journalistes) Kamel Amarni, journaliste au quotidien « Le Soir d’Algérie », a donné son accord pour participer aux consultations politiques sur les réformes menées par la commission Bensalah. Selon notre source, le SNJ sera reçu en début de semaine prochaine à la présidence de la République.

Tous ceux qui avaient des «doutes» sur ce syndicat qui n’a jamais dénoncé la moindre censure envers l’opposition et les médias indépendants, ni les violations répétées de la liberté d’expression dans notre pays, savent maintenant à quoi s’en tenir.
Un autre syndicat de journaliste, la FNJA (Fédération Nationale des Journalistes Algériens), relevant de l’UGTA, une coquille vide, est également invité et participera, bien entendu, aux consultations politiques. R.K

Sifaoui s’attaque à Bouteflika, mais se met à genoux devant le général Toufik !

presse.jpgDans un entretien accordé à El Watan Week-end, Mohamed Sifaoui a fait l’éloge du général major Mohamed Mediene dit Toufik.

 

S’agissant du général de corps d’armée Mohamed Mediène, je l’ai clairement, à tout le moins, désigné comme coresponsable de la situation politique actuelle. Où l’ai-je dédouané ? Dans les affaires de corruption. Et là, je dis les choses clairement en les assumant publiquement, si Mohamed Mediène est aussi propre qu’il a été décrit, y compris par plusieurs de ses détracteurs, il faut lui rendre hommage, car, dans ce climat de corruption quasi généralisé, il ferait partie, toujours selon les témoignages très crédibles que j’ai recueillis, des cadres les plus honnêtes de la nation.

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