Archive pour 'Répression en Algérie'

El Bayadh: Un citoyen torturé dans un commissariat de police !

hamel1.jpgLe Bureau de la LADDH de la Wilaya d’El-Bayadh a reçu la plainte de la famille Djelaili habitant le quartier de Ouled Yahia, dans la ville de l’El-Bayadh, au sujet de la torture subit par l’un de ses membres de fait des agents de la police.

En effet, le vendredi 13 août 2010 correspondant au troisième jour de Ramadhan, et au moment de la rupture du jeûne, huit policiers sans uniformes ont investi la maison familiale en fracassant la porte d’entrée à la recherche d’une drogue qui n’ont pu trouver sur les lieux. Les policiers n’ont pas présenté de mandat de perquisition, ni la nature de leur opération.

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Constantine: Un policier tire sur un chauffeur de taxi

Un policier en civil a tiré deux coups de feu blessant gravement un chauffeur de taxi dans la nouvelle ville Ali Mendjelli. Alors que le policier a pris la fuite, la victime a été transférée en urgence vers le CHU de Constantine où elle a été placée sous surveillance.

Une amende de 10.000 à l’encontre de l’étudiant qui a écrit «police minable»

hamel.jpgLe tribunal d’El Harrach a requis 10.000 DA d’amende à l’encontre d’un étudiant pour avoir écrit  «police minable» dans le registre des doléances mis à la disposition des citoyens au niveau du commissariat de police de Baraki (Alger). Le jeune édudiant en sciences politiques (21 ans) a expliqué son acte par le comportement des policiers qui l’ont maintenu en « détention » durant deux heures alors qu’il était en compagnie d’une personne handicapée. El Mouhtarem 

 

 

Algérie: Après avoir tué des Kabyles, les gendarmes veulent tuer la Kabylie

gendarmes.jpgEl Mouhtarem « Algérie Politique » 

La gendarmerie nationale a choisi la saison estivale pour faire une descente à Béjaia. En effet, 400 gendarmes ont, selon Liberté, inspecté les zones urbaines et suburbaines, les routes, les plages, les bars, les discothèques, les forêts… Tout cela, ajoute le quotidien de Rebrab, s’est soldé par l’arrestation de 22 personnes (seulement 22) dans des affaires liées à la consommation de drogue, de détention d’armes blanches et de boissons alcoolisées.

Quelle est cette loi qui autorise les gendarmes et les journalistes, choisis par le colonel Ayoub, à «inspecter», armes à la main, des bars et des discothèques ? Pourquoi choisir la période estivale pour effectuer cette «inspection» si ce n’est pour ternir l’image d’une belle région comme Béjaia ? L’objectif des gendarmes du général Boustilla n’est-il pas de présenter aux yeux des Algériens cette région touristique comme «une zone rongée par la drogue et la prostitution ? «Dans les discothèques de Tichy, les clients sont déplumés tels des pigeons», a écrit un journaliste. Et puis après, comme disent les Algériens ! Wach dekhlek si des clients sont déplumés par des prostituées  ?  

Une journaliste de Liberté écrit: «Des plages se transforment en dortoirs la nuit». Tout le monde sait que dizaines de jeunes venant d’autres régions (M’sila, BBA, Setif, Biskra…) passent la nuit à la belle étoile en raison de leur situation sociale qui ne leur permet pas de réserver dans les hôtels que se permettent les officiers de la gendarmerie ! Jusqu’à quand nos journalistes continueront-ils à servir d’attachés de presse de la Gendarmerie nationale ?

Algérie: La DGSN veut acquérir 5000 protège-tibias


tibia.jpgPour faire face à la colère citoyenne, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) n’a pas trouvé mieux que de lancer un avis d’appel d’offres national et international restreint N°21/210 pour acquisition des équipements antiémeutes répartis en deux lots distincs: 1400 gilets par coup modulable avec manchettes et 5000 protège-tibias.
El Mouhtarem

Algérie: Un jeune étudiant arrêté pour avoir écrit «police minable»

po.jpgNous apprenons d’une source sûre qu’un jeune algérois de 21 ans, étudiant en sciences politiques, a été arrêté et présenté devant le procureur de
la République pour avoir écrit «police minable» dans le registre des doléances mis à la disposition des citoyens au niveau du commissariat de police de Baraki (Alger). Le mis en cause a été poursuivi pour injure contre un corp constitué. El Mouhtarem 

Béjaia: Des policiers se défoulent sur un jeune

police.jpgHier (vendredi) à minuit, lors de la clôture du festival de la chanson kabyle en hommage au cheikh Ali Kherraz, un jeune un peu éméché a essayé de danser dans le « cercle réservé aux familles ». Les policiers, au lieu de le faire évacuer gentiment, n’ont rien trouvé d’autre que le battre  avec rage. Le jeune est tombé par terre. Huit policiers s’acharnèrent sur lui à coup de godasses. Ce jeune courageux se releva et rendit coups pour coups.

Les autres jeunes, hélas trop loin de la scène car « parqués sur les tribune » se mirent à siffler et jeter toute sorte d’objets pour aider le jeune encerclé. Le chef de ces policiers mit mine d’entraîner le jeune vers la sortie (car l’embrasement était inévitable pour nos jeunes désoeuvrés). Un internaute de Béjaia

La police saisi les exemplaires de Poutakhine

pouta.jpgPlusieurs libraires d’Alger ont été convoqués hier, par la brigade de recherche et d’investigation (BRI) du commissariat central, où ils ont été sommés de restituer le reste du quota du livre Poutakhine, sorti il y a quelques jours et dont l’auteur, Mehdi El Djezaïri, fait l’objet d’une grave persécution par les services de police. «Nous sommes vraiment pris en otage. Quel est le tort d’un libraire qui accepte de vendre un livre autorisé, frappé d’un ISBN, dont l’auteur a organisé une conférence de presse et procédé à une vente-dédicace au moins deux semaines avant qu’il ne le reçoive ? Il y a un an, nous avons fait l’objet du même déni avec le livre de Mohamed Benchicou, que les services de police ont saisi des librairies alors qu’il avait obtenu son ISBN. Jusqu’à quand allons-nous subir ces décisions répressives ? Comment se fait-il qu’un livre autorisé à paraître puisse être saisi sans décision d’interdiction du juge ? », s’exclame un libraire.  Source El Watan/ Synthèse d’El Mouhtarem

Algérie: «Un policier pour 300 habitants»

poli.jpgL’objectif de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) est d’atteindre «à court terme» une couverture moyenne de: «un policier pour 300 habitants», a indiqué hier à Tébessa Ali Tounsi. Le responsable de la DGSN a souligné que la concrétisation de cet objectif «contribuera à garantir la sécurité publique dans tous les recoins du pays.» Ali Tounsi a rappelé que la police algérienne forme actuellement «environ 15 000 policiers par an» pour atteindre, à la fin de l’année de 2010, le nombre de 200 000 policiers formés en cinq ans.

Zerhouni ne veut plus entendre parler de nouveaux partis politiques !

zer.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a rappelé aujourd’hui, en marge de la visite du président Bouteflika au Jardin d’essais à Alger, qu’il avait déjà expliqué à l’APN les raisons du refus de son département d’accorder des agréments aux nouveaux partis politiques. Sans plus de précision. El Mouhtarem

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