Archive pour 'Opposition politique en Algerie'

Il y a quarante-quatre ans naissait le FFS

aitahmed2.jpgC’est dans la douleur et le charivari de l’époque du président Ahmed Benbella que naissait le Front des Forces Socialistes, il y a de cela déjà quarante-quatre ans. Le FFS, un parti qui se voulait le continuateur de Novembre, et aussi le ferment d’une Algérie démocratique.Durant des années, les dignes fils de l’Algérie combattante luttèrent pour faire accéder le pays vers d’autres rives, plus calmes, plus prospères, plus respectueuses de l’homme et du droit alors que le pays était entre les mains d’un régime inféodé au Caire. La lutte sera longue, souvent sanglante, et des frères de combat aux destins croisés durent se combattre.La douleur dura longtemps et le peuple sorti exsangue d’une longue et douloureuse guerre d’indépendance, une guerre venue après une longue nuit coloniale entrecoupée de soubresauts tout aussi fulgurants que sanglants.Les maquis du FFS au départ étaient renforcés par une portion de l’ANP, en fait la Wilaya III alors reconvertie en 7e RM sous les ordres du Colonel Mohand Ou Lhadj, un sage qui a su faire la part des choses. Après plusieurs mois de maquis, les deux partis, le FLN d’un côté, et le FFS de l’autre, se rencontrent pour finaliser un accord historique.Le multipartisme naissait: le 16 juin 1965 le FLN reconnaissait le FFS qui s’apprêtait à entrer en scène pour une lutte politique. Mais le 19 juin était à nos portes. Ces moments de lutte intense et beaucoup d’autres étapes plus ou moins heureuses que le pays a vécus ont été aussi autant de haltes pour le FFS, cette force qui se veut le continuateur de Novembre.C’est tout cela avec l’espoir en plus, que les militants de la section de Tizi-Ouzou ont voulu commémorer par une semaine de festivités du 22 septembre au 29 septembre. Un riche programme fait d’expositions non-stop au siège de la section de Tizi Ouzou, exposition racontant une partie de l’itinéraire du parti avec des documents souvent d’époque à l’appui, une projection vidéo de films documentaires, de discours et de conférences.Le vendredi 28 septembre à 12h, un dépôt de gerbe de fleurs sur la stèle des martyrs du FFS à M’Douha sera suivi d’une conférence-débat publi-que au niveau du siège de la section et dans la nuit de vendredi vers 21h30, une retraite au flambeau sera ponctuée d’une collation en l’honneur des anciens du FFS et des invités. La déclaration de naissance du FFS le 29 septembre 1963 lue à Tizi Ouzou par Hocine Aït Ahmed et ailleurs également par d’autres responsables, tel le commandant Bouregaa, est saisissante de maturité politique. A. S

 

 

Le FFS fête aujourd’hui son 44e anniversaire

 

ffs.jpgUn parti nommé opposition

Né au lendemain de ce que l’on appelle «la crise de l’été 1962», le Front des Forces Socialistes s’est insurgé contre la manière, fasciste et antidémocratique, dont la Constituante de 1963 a été bafouée. Dès 1963, et dans la clandestinité, des partis en opposition politique, dont le FFS, se sont insurgés contre la perversion des principes de Novembre et le piétinement des libertés, des droits de l’Homme et de la justice sociale dans leur jeune patrie. L’opposition politique au système dictatorial qui s’est imposé aux lendemains de l’indépendance s’est trouvée, par la force des choses, contrainte à la clandestinité, ses militants et sympathisants, torturés ou assassinés, pour certains d’entre eux, et le zaïm Hocine Aït Ahmed, emprisonné et condamné à mort avant son évasion. De l’étranger où il s’est exilé, Hocine Aït Ahmed garde des échanges étroits avec son parti et une relation permanente avec son pays dont il se constitue l’avocat international de la noble cause de son peuple en lutte pour les droits de l’Homme, la liberté, la justice sociale, l’identité et la démocratie. Dans ce but, il y signera un accord, en 1985, avec le premier président de la République destitué par le coup d’Etat du 19 juin 1965. Porte-flambeau de ces revendications fondamentales, le FFS sortira d’une clandestinité qui aura duré 26 années, et obtient son agrément, le 24 septembre 1989, à la faveur de l’ouverture démocratique d’octobre 1988. Le FFS s’implique à cette occasion dans les premières élections pluralistes de l’Assemblée nationale de décembre 1991 où il a réussi, malgré la très contestable loi électorale, à arracher 24 sièges. Un scrutin qui ne connaîtra pas de deuxième tour. L’interruption du processus électoral est dénoncée par le FFS, lequel met en garde contre un dérapage qui risque d’entraîner le pays dans une violence tous azimuts, écartant ainsi toute solution globale et politique et imposant à long terme des accords entre les militaires et les intégristes islamistes armés. Croyant pouvoir rompre le cercle vicieux de cette bipolarisation et impliquer toutes les parties nationales dans le traitement de la cause profonde du «mal algérien», le FFS a cosigné «l’offre de paix» portée par les propositions de la plate-forme de Sant’Egidio, en janvier 1995. Défenseur de la légitimité populaire et de la constituante, le FFS tente l’expérience de la mandature des législatives de 1997, au nom de la social-démocratie et de l’économie de marché sociale. Une expérience qu’il ne renouvellera pas et il ne s’impliquera par la suite que dans les élections locales. Une tactique qu’il continue à adopter, préférant, ainsi, s’opposer de l’intérieur, à travers les élections locales, et de l’extérieur, par la dissidence nationale citoyenne pacifique, pour promouvoir l’alternative démocratique pacifique, transparente et crédible. Le troisième congrès du parti tenu en 2000 a adopté dans ses statuts la logique d’ouverture. Une ouverture qui a été réaffirmée il y a trois semaines lors des assises du 4e congrès du parti. Un congrès que conteste encore aujourd’hui un groupuscule qui se dit porte-parole d’une protesta. Une protesta née le 20 août 2006 pour dénoncer «les agissements antistatutaires» de la direction du parti. Aujourd’hui, cette protestation, qui s’est éclipsée au dernier congrès et qui affirme sa fidélité aux idéaux du parti, déclare que «les instances et textes issus du congrès de la honte sont frappés du sceau de l’illégalité». Les protestataires dénoncent également la réunion de Aït Ahmed avec les anciens de 63 en affirmant que «le débat sur la situation du parti était le grand absent». Ils estiment par ailleurs que le parti ne doit pas participer aux prochaines élections locales.   G. H.

Rencontre-débat avec Karim Tabbou

A l’occasion du 44ème anniversaire de la création du Front des Forces Socialistes, la section FFS de Bir Mourad Raïs (Alger) a le plaisir de vous inviter à prendre part à la rencontre-débat sur la situation politique et sociale animée par le camarade Karim Tabbou, premier secrétaire du parti. La rencontre aura lieu le mercredi 26 septembre 2007 à partir de 21h00 à la salle des fêtes de Sidi-Yahia à Bir Mourad Raïs (ATERCC)

 

Elections locales: Karim Tabbou dénonce les entraves bureaucratiques

taboou.jpgLe Front des Forces Socialistes participera aux élections locales du 29 novembre prochain. «Cette décision n’est que le prolongement de notre stratégie politique adoptée depuis le 4ème congrès», a indiqué Karim Tabbou lors d’une conférence de presse animée ce matin au siège national du parti. «Il y va de l’intérêt politique du FFS de participer à ces élections», a déclarré Tabbou qui a expliqué que « la campagne électorale est une occasion pour le FFS de rencontrer les populations, leur montrer et montrer avec elles qu’il est possible de construire une autre alternative». Aussi, «du fait du verrouillage du champ politique, l’APC est devenue le seul lieu de l’existence d’une certaine démocratie et où la population dispose de moyens de contrôle direct», a déclaré le premier secrétaire du FFS.
 

« La participation aux élections du 29 novembre prochain est un moyen de traduire les idées du congrès du FFS», a-t-il expliqué. Tabbou a ajouté que « la démarche du FFS consiste à démontrer qu’avec les citoyens il est possible de construire une alternative démocratique. » Dans ce sens, Tabbou a indiqué que « les listes du FFS sont ouvertes à tous les militants et acteurs sociaux qui remplissent les conditions contenues dans la charte de l’élu établie lors du dernier congrès»

 Au chapitre des préparatifs du parti aux prochaines élections, Karim Tabbou a fait état de multiples entraves administratives et judiciaires à l’encontre des militants du FFS. Le premier secrétaire du FFS a fait état de nombre d’aberrations dans la constitution de dossiers de candidature, en ce sens que plusieurs pièces administratives exigées ont la même signification, notamment la carte nationale d’identité et le certificat de nationalité. «Il faut un parcours du combattant pour qu’un candidat puisse réunir toutes les pièces nécessaires à même d’établir son dossier de candidature, mais cela n’influe en rien sur la détermination des militants du FFS qui sont en train de tout faire pour réunir les pièces exigées dans le dossier », dira Karim Tabbou qui considère que « le but recherché est d’empêcher les leaders politiques du parti de se présenter aux élections, sous prétexte qu’ils ont des procès en justice ». En dépit de tout, «nous allons vous faire la promesse que cette fois-ci le FFS créera la surprise en prouvant qu’il n’est pas un parti régionaliste», a indiqué Karim Tabbou qui s’est dit très satisfait quant à l’état des préparatifs des listes électorales, en précisant que « le parti a fait le choix de présenter des listes politiques aux APW constituées de leaders politiques du parti ».

Au sujet de l’initiative des trois personnalités, Hocine Aït Ahmed, Mouloud Hamrouche et Abdelhamid Mehri, Karim a déclaré que « loin de certains commentaires qu’elle a suscités, celle-ci n’est pas le retour du contrat de Rome et est loin d’être une offre de service au pouvoir, mais vise à rassembler tous ceux qui pensent que la situation actuelle doit être dépassée». Pour le premier secrétaire du FFS, la déclaration rendu publique par les trois personnalités est «la réponse à la crise et à l’immobilisme et les risques de dérapages que comporte la situation du pays et à la façon de gérer les affaires du pays». A-t-elle eu l’impact nécessaire ? «Cette initiative a eu un impact très positif de la part du milieu militant et de l’environnement du parti», a noté le premier secrétaire du FFS. «Nous n’avons jamais dit que cette initiative vise à se mettre autour de la même table avec le pouvoir, ni de revenir au contrat de Rome, mais il s’agit de réunir toute la population pour discuter de la crise qui secoue l’Algérie et d’en trouver des solutions», a expliqué Karim Tabbou.

Enfin, et concernant la formation de son secrétariat, il indiqua que celui-ci «sera mis sur place une fois les listes électorales du parti finalisées». « Cette fois, j’ai fait le choix de mettre sur pied un état-major politique capable d’intervenir et d’agir au niveau national».

Synthèse El Mouhtarem

Le conseil national du FFS peaufine sa stratégie électorale

En prévision des élections locales du 29 novembre prochain, le Front des forces socialistes (FFS), un des derniers partis à avoir annoncé sa participation aux locales prochaines a réuni jeudi en son siège, à Alger, son conseil national en séance de travail consacrée à l’examen de la stratégie électorale. Le conseil national du FFS, au cours de cette réunion de travail dont la session ordinaire est restée ouverte depuis son installation au lendemain du congrès, planche sur le dispositif électoral à mettre en place. Des dispositifs qui constituent l’essentiel des débats, a précisé le premier secrétaire national du parti, M. Karim Tabbou. A ce sujet, il a ajouté que les débats seront axés sur «l’élaboration des listes électorales, leur tri, le classement des candidats dans les listes et le choix des candidats qui peuvent être issus du mouvement syndical, des milieux scientifiques, culturels sportifs à condition qu’ils s’engagent à respecter le contrat moral contenu dans la charte de l’élu envers le parti et la population». En outre, le conseil national désignera, comme annoncé au lendemain du congrès du millénaire, une commission qui se penchera sur la rédaction du règlement intérieur du parti, en tenant compte des décisions adoptées à ce sujet par le 4e congrès du FFS, qui s’est tenu les 6 et 7 septembre derniers, a rappelé le premier secrétaire du parti. A noter que le FFS a «accusé un retard» dans l’installation de sa commission électorale nationale à cause de l’organisation de son dernier congrès. Le parti planche actuellement sur le parachèvement de la première opération de collecte des candidatures avant de sélectionner celles qui répondent aux exigences du parti. Pour rappel, le premier secrétaire avait souligné que les élections locales constituent un «axe stratégique» pour le parti. «Un parti, expliquera M. Tabbou à maintes reprises, qui a choisi d’accompagner la population dans ses choix et dans ses luttes quotidiennes. Le FFS rappellera qu’il a boudé les urnes lors des dernières législatives en raison du désintérêt que leur portent les Algériens. Un désintérêt qui est renforcé par la conviction du parti quant à la nécessité de boycotter l’échéance électorale du 17 mai. Affirmant la conviction de son parti que le changement politique passe par les instances locales élues, M. Tabbou a fait part de l’intention du FFS de peser de tout son poids dans la prochaine bataille électorale.  G. H.

Réunion du Conseil national du FFS

Le Conseil national du Front des Forces Socialistes se réunira le jeudi 20 septembre 2007 à 10h00 au siège national du parti sis au 56 avenue Souidani Boudjemaa, Alger.

Karim Tabbou désigné premier secrétaire du FFS

Le président du FFS, Hocine Aït-Ahmed a procédé ce matin, lors de la session ordinaire du conseil national, à la désignation de Karim Tabbou au poste de premier secrétaire du FFS pour un mandat de deux ans.

Congrès du FFS: PAS DE VISA POUR LES SOCIALISTES SUISSES

Invité à se faire représenter au Congrès du Front des Forces Socialistes (FFS) d’Algérie, c’est-à-dire au Parti socialiste algérien, membre comme PSS de l’Internationale Socialiste, le Parti socialiste suisse a eu la surprise d’apprendre que son représentant n’a pas obtenu le visa nécessaire pour pouvoir se rendre à Alger. Le PSS s’interroge sur les raisons de ce refus.

Le PSS rappelle que le Front des Forces Socialistes est le plus ancien parti d’opposition et le plus ancien parti démocratique algérien; que ce parti est né en 1963 dans la clandestinité et la lutte contre l’écrasement par un pouvoir militaire des espoirs nés de la révolution algérienne, mais qu’il est depuis un quart de siècle reconnu comme un parti légal, qu’il participe régulièrement à des élections lors même que les conditions dans lesquelles se déroulent ces élections ne sont jamais conformes aux critères d’élections démocratiques, et que malgré cela, il gère en Algérie des dizaines de communes, dont plusieurs grandes villes.

Le PSS entretient depuis longtemps des relations fraternelles avec le FFS, dont le président, M. Hocine Aït Ahmed, réfugié en Suisse après avoir été condamné à mort, successivement, par le pouvoir colonial français et le régime militaire algérien, est un ami de la Suisse. La Suisse officielle a par ailleurs avec l’Algérie officielle (et certains de ses plus hauts représentants) des relations que n’entachent aucun contentieux historique.

Les socialistes suisses seraient néanmoins heureux de connaître les raisons pour lesquelles les autorités algériennes, représentantes d’un régime dont les intentions affichées de « démocratisation » ne sont suivies que d’effets ténus, ont décidé de les empêcher d’être représentés au congrès des socialistes algériens.

Les socialistes suisses adressent à leurs camarades algériens tous leurs voeux pour leur congrès, leur expriment leur entière solidarité, ainsi qu’aux syndicalistes libres algériens, dans leur combat pour la renaissance d’une Algérie véritablement républicaine, démocratique et populaire, et leur admiration pour la constance et l’opiniâtreté de ce combat. Ils expriment également au président du Front des Forces Socialistes, Hocine Aït Ahmed, figure historique de la révolution algérienne et incarnation de la volonté démocratique du peuple algérien, leur amitié fraternelle, et lui souhaite, ainsi qu’à son parti, tout ce que des socialistes d’un vieux pays démocratique peuvent souhaiter pour des socialistes d’un jeune pays construisant sa propre démocratie, contre son propre pouvoir et contre les diktats des puissances économiques mondiales.

Pour le PSS : Hans-Jürg Fehr, président du PS Suisse

Le 4ème Congrès du FFS aujourd’hui et demain

Le 4ème congrès du Front des Forces Socialistes s’est ouvert ce matin à Zeralda. Présidées par Hocine Aït Ahmed, ces assises, très attendues par les militants du parti, s’étaleront sur deux jours. Depuis son arrivée à Alger samedi dernier, M. Aït Ahmed a multiplié les réunions avec les militants et les responsables de son parti. Des entretiens seraient également prévus avec d’autres personnalités de l’opposition, à l’image de Mouloud Hamrouche et Abdelhamdi Mehri.

Le FFS fin prêt pour le congrès du millénaire

Par Ghada Hamrouche

A quelques jours de la tenue de son quatrième congrès national, les préparatifs battent leur plein au sein du FFS. Ce dernier, qui compte organiser «le congrès du millénaire», veut que ce rendez-vous soit un grand tournant dans l’histoire du parti.
Après la tenue de la conférence nationale de l’audit et celle des élus, le FFS a organisé trois pré-congrès régionaux, avant de passer aux dernières touches avant la convention thématique prévue pour la veille du congrès. Un congrès qui verra la participation de M. Hocine Aït Ahmed, leader du parti, rentré samedi dernier de Genève. Selon la communication du parti, le choix de la direction s’est porté sur le centre familial de la mutuelle des travailleurs des matériaux de construction de Zéralda.
Pour donner un maximum de consistance à son rendez-vous, le FFS a invité plusieurs personnalités, notamment Abdelahmid Mehri et Mouloud Hamrouche, qu’il compte associer à ses différents ateliers. Il mise également sur une large représentation sociale et politique grâce à l’ouverture du parti à la société civile et à tous ceux qui s’y identifient. Le prochain congrès du FFS, a déjà déclaré le premier secrétaire du parti M. Karim Tabbou, s’inscrit dans le prolongement du combat de Novembre 1954 et du Congrès de la Soummam. «Nous sommes les héritiers des congressistes du 20 Août 1956», a-t-il martelé à maintes reprises. Le congrès du plus vieux parti d’opposition algérienne vise également la réconciliation entre tous les militants. «Le FFS a, certes, traversé une zone de turbulences mais ce n’est qu’une transition dans la vie du parti», a affirmé Tabbou. Tout en reconnaissant que la conjoncture a fait naître des dysfonctionnements locaux et des déceptions personnelles, Tabbou avait qualifié ce qui arrive au FFS de «décantation positive».
Pour lui, la crise fait partie du passé et le FFS a retrouvé ses militants, sa cohérence et sa sérénité. Le retour du «zaïm» ne fera que resserrer les rangs. Pour les militants, le «zaïm» trouvera les bons mots pour guérir les maux dont souffre le parti. Les contestataires reviendront, affirment-ils, à de meilleurs sentiments lorsqu’ils entendront les arguments de leur père spirituel. Tout porte à croire que la formation d’Aït Ahmed n’a omis aucun détail pour réussir son congrès.

G. H.

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