Archive pour 'Algérie Politique'

Ali Laskri nouveau premier secrétaire du FFS

laskri.jpgLe président du Front des Forces Socialistes, Hocine Aït-Ahmed a procédé aujourd’hui, à l’occasion de la réunion du conseil national du parti, à la nomination de M.Ali Laskri au poste de Premier secrétaire en remplacement de Karim Tabbou. 

« Je nomme le camarade Ali Laskri comme Premier secrétaire avec pour mission de rassembler les énergies du parti. J’ai pleinement confiance dans son aptitude à mener à bien cette mission », a déclaré Hocine Aït-Ahmed dans un message-vidéo.

Qui est Ali Laskri ?

Ali Laskri est né en 1955 à Chabet Lameur dans la wilaya de Boumerdes. Titulaire d’un diplôme de post-graduation spécialisée en sciences de gestion et administration, Ali Laskri est administrateur conseil à l’université de Boumerdes. Il a adhéré au FFS en janvier 1990. Durant son parcours militant, « Aami Ali », comme aiment l’appeler ses camarades, a été élu président du conseil communal de Boumerdes en 1990 puis membre du conseil national lors du premier congrès du parti en 1991.

Deux ans plus tard, en 1993, M. Laskri a été élu coordinateur de wilaya du parti, alors qu’il occupait déjà le poste de chargé de l’organique au niveau de cette instance. En 1997, il a été nommé secrétaire national chargé du monde du travail, un poste qu’il a quitté fin 1998. A l’occasion de l’élection présidentielle d’avril 1999, Ali Laskri a occupé le poste de directeur de campagne de Hocine Aït-Ahmed dans la wilaya de Boumerdes.

Lors du troisième congrès en 2000, il a été élu président de la commission organisation. Il était également premier secrétaire fédéral de Boumerdes. En 2002, il a conduit la liste APW du FFS à Boumerdes lors des élections locales. En 2003, il a été désigné secrétaire national chargé de la Solidarité avant d’être nommé premier secrétaire en 2004, un poste qu’il a occupé jusqu’en avril 2007. Il est président de la commission stratégie politique du conseil national et membre du comité éthique. El Mouhtarem

Belkhadem: «L’Algérie est aussi ciblée»

belkhadem.jpgCe qui s’est passé dans les pays arabes ou ce qu’on appelle le «Printemps arabe», va nous concerner aussi. «Nahnou Moustahdafoun», «Nous sommes ciblés», disait hier, Abdelaziz Belkhadem, SG du FLN, invité en tant qu’observateur à un débat organisé par le Centre de Recherches Stratégiques et Sécuritaires. Le chef de file du FLN n’a pas caché ses craintes. Pour cette raison et devant une telle menace, Belkhadem a appelé l’ensemble des Algériens à faire preuve de beaucoup de responsabilité et une prise de conscience digne de celle du «17 septembre», le jour où certaines mains étrangères avaient appelé les Algériens à manifester et faire une nouvelle Libye.  

Le SG du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui a participé au débat en tant que simple invité, en marge du débat organisé par le CRSS, sous le thème «L’Islam politique et les transformations politiques arabes» a relaté, en quelques dizaines de minutes, les véritables enjeux de ce qu’on appelle le «Printemps arabe».

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Belkhadem: « Bernard Henry Levy était l’initiateur du Qui tue qui ? »

sadi.jpgEn 1995, la période où le terrorisme barbare  en Algérie a planifié des massacres, des attentats terroristes quotidiens, des assassinats, une période où également un certain Bernard henry Levy se trouvait en Algérie. Il est le commanditaire de «Qui tue qui ?» à l’époque. C’est ce sioniste qui est derrière cette grande propagande qui avait tenté de pousser l’Algérie vers une impasse avec le reste du monde. «Cet homme avait séjourné en 1995 en Algérie. Une période où le terrorisme avait fait des ravages dans notre pays, il était même parmi les personnes qui posaient la question ‘’Qui tue qui ?’’. Il faut que nous soyons très vigilants à l’avenir», explique Belkhadem. (Le Jour d’Algérie)

Commentaire d’El Mouhtarem:Bernard Henri Levy n’a jamais été partisan de ce qu’on appelle « Qui tu qui ? » ou « Qui tue » en Algérie. Dans les années 90, BHL était invité et pris en charge par le DRS et les généraux eradicateurs. Il était chargé d’une mission spéciale: défendre la thèse selon laquelle les groupes islamiques étaient les seuls responsables des massacres en Algérie et contrecarrer la demande d’envoi d’une commission d’enquête internationale pour faire la lumière sur les assassinats. D’ailleurs, c’est dans ce cadre que BHL a fait la connaissance du chef du RCD, Said Sadi.

Bernard Henri Lévy à propos du livre « Qui a tué à Bentalha? »
dans « bloc-notes » du 27 octobre 2000, Le point n° 1467

« Qui a tué à Bentalha, ce village de la banlieue d’Alger où, le 22 septembre 1997, en une nuit, on égorgea 417 hommes, femmes et enfants? Les islamistes affirment les uns, et c’est la conclusion à laquelle j’étais moi-même parvenu dans la série d’articles que j’avais , quelques mois plus tard, donnés au Monde. L’armée, répond un survivant, Nesroulah Yous, au terme d’une minutieuse contre-enquête que publient les éditions La Découverte et que préface François Gèze. Troublant. Mais pas convaincant. J’y reviendrai. »

Ould Kablia: « Aucun nouveau parti ne sera agréé… »

ouldkablia.jpgAucun nouveau parti n’a été agréé. Le gouvernement ne pense pas le faire pour l’instant. C’est ce qu’a précisé le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales Daho Ould Kablia. «Aucun parti n’a reçu d’agrément et nous ne le ferons pas avant que le nouveau projet de loi organique sur les partis ne soit définitivement adopté et promulgué», a annoncé hier à Boudouaou, Ould Kablia. Pour le ministre, ces informations sont une pure invention de la presse qu’il refuse de prendre en considération. «C’est une information inventée par la presse et je ne peux pas constamment prendre en considération ce que la presse publie et me faire dire ce que je n’ai pas dit», a-t-il apporté dans sa mise au point.

Le ministre précise également que la création de nouvelles formations politiques va se faire dans le cadre de la nouvelle loi organique relative aux partis. «Le gouvernement a pris l’initiative de proposer une nouvelle loi organique sur les partis, il faut attendre d’abord que cette loi soit promulguée, parce que c’est cette loi qui contient tous les éléments d’appréciation pour accorder ou refuser la création de nouveaux partis politiques», a-t-il précisé encore.
Et d’ajouter un autre élément de cette nouvelle loi. «Pourquoi je parle de cette loi et non pas d’une autre? Parce qu’elle donne plus de droit à ceux qui souhaitent créer de nouveaux partis dans la mesure où elle offre la possibilité de tenter une action de recours contre la décision du ministère de l’Intérieur», a-t-il répondu. L’Expression

Positions antérieures du RCD: Quelques rappels utiles

saadi.jpgA propos de la Tunisie Le RCD algérien entretenait d’excellentes relations avec le RCD tunisien 

«Notre parti n’a pas eu de relations avec le RCD tunisien depuis plus de 10 ans…», a déclaré le député du RCD Nouredinne Aït-Hamouda. (Le Soir d’Algérie du jeudi 17 mars 2011). http://bit.ly/urMmiW Mensonge ! Lors du dernier congrès du RCD tenu en février 2007 à la coupole Mohamed Boudiaf d’Alger, le RCD Tunisien était invité à prendre part aux travaux. Le représentant du parti de Benali a prononcé un discours où il soulignait la bonne santé des relations entre les deux partis (Le Soir d’Algérie, Page 5, édition du 09-10 février 2007). http://bit.ly/v8iEke

A propos de la Libye 

Nouredine Aït-Hamouda s’est rendu en Libye en 2007 à l’invitation des autorités 

Le député du RCD, Nouredine Aït-Hamouda a effectué une visite du 1 au 5 mars 2007, en Libye en réponse à l’invitation des autorités de
la Djamahirya du Moumar Kadhafi.

A propos de la Syrie

Said Sadi à l’enterrement de Hafez Assad (Syrie) 

Qui peut oublier le recueillement du président du RCD, Said Sadi, sur la dépouille du dictateur Syrien, Hafez al Assad ? Said Sadi avait accompagné le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika en Syrie en juin 2000 pour dire Adieu au despote Al Assad.

Les régimes de dictatures prédatrices sont devenus des agents de la recolonisation

qatar.jpgPar El Mouhtarem

La boucle est bouclée. Ce régime, à force d’agir contre sa propre population et de chercher des soutiens extérieurs, a fragilisé l’Algérie; au point où un ministre d’un pays-confetti comme le Qatar se permet de proférer des menaces contre notre pays. http://bit.ly/ssvkpJ On peut effectivement dire que le gros ministre du Qatar, pays assis sur des champs de gaz, sur Al Jazira et surtout «hôte» bienveillant du commandement de l’armée américaine, connait bien la situation algérienne. Il menace le régime et exige de lui de se plier… Devant cette grossièreté qatarie, il ne faut pas se tromper d’analyse. Le Qatar est dans l’agenda américain…. Le ministre algérien des affaires étrangères, cet homme si «intelligent» comme on l’a vu au procès spectacle de Khalifa, s’est tu.

Aussi simple que cela. Le petit plouc du Qatar se permet de faire taire le représentant d’un pays libéré par le combat de plus d’un million de chouhada ! Que l’Algérie soit représentée par de tels hommes d’un tel régime est un outrage aux martyrs. Il faut le redire. Le Qatar n’est rien. Ce qui pose problème, c’est le régime algérien. Comme ses «frères» syrien et libyen, il est devenu une menace pour la sécurité de l’Algérie. L’équation est désormais connue: ces régimes sans soutien de leurs peuples doivent se plier au désidérata américain «arabisé» via le sac à merde… qatari ou bien être «dégagé».

Nous savons qu’ils se plient et se rendent et remettent en cause les intérêts et la dignité de ce pays de résistants. C’est cette raison qui explique qu’un minus comme le Qatar ose le traiter, sans crainte, de cette manière. Il peut le faire car il sait que c’est une dictature composée de prédateurs fragile et sans soutien. Le message humiliant du Qatar nous confirme une fois de plus que les régimes de dictatures prédatrices sont devenus des menaces à la sécurité nationale, des agents de la recolonisation.

L’Algérie ne rappellera pas son ambassadeur en Syrie

L’Algérie ne rappellera pas son ambassadeur en Syrie, a déclaré dimanche à Alger le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, au lendemain de la décision de la Ligue arabe de suspendre temporairement la Libye en raison de la répression dans le sang des manifestations.

En marge d’une rencontre avec son homologue égyptien Mohamed Kamel Amr, Medelci a indiqué: « Il n’est pas question pour l’Algérie de mettre en oeuvre la disposition de la Ligue arabe, qui permet d’ailleurs à chaque pays de prendre sa décision de manière souveraine ».

« Bien au contraire », a-t-il poursuivi, « plus que jamais le moment est aujourd’hui au renforcement de la relation avec le gouvernement syrien pour mettre en oeuvre plus concrètement encore le plan que nous avons adopté le 2 novembre dernier au niveau de la Ligue arabe ». AP

L’Algérie cède Tindouf au Front Polisario !

ouldkablia.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Dahou Ould Kablia a fait une déclaration surprenante à l’AFP au sujet de l’enlèvement des trois coopérants européens à Hassi Rabuni, près de Tindouf. Selon Ould Kablia, les  deux Espagnols et l’Italienne, membres d’une ONG, ont été pris dans une zone qui n’était pas sous contrôle d’Alger.  « L’enlèvement s’est produit dans une zone qui n’était pas sous le système de surveillance algérien, du moins dans le camp lui-même », a reconnu le ministre dans une déclaration à l’AFP en marge de l’inauguration du métro dans la capitale algérienne. L’Algérie a-t-elle cédé son territoire au Front Polisario ?  El Mouhtarem

Communiqué du FFS

ffs.jpgA l’occasion du 57ème anniversaire du déclenchement de
la Révolution algérienne, le Front des Forces Socialistes organise deux conférences-débat, le mardi 1er novembre 2011.
A Tébessa, le premier secrétaire du Parti, Karim Tabbou animera une conférence à 14h00 au niveau de la salle des conférences de l’hôtel «Ben Osmane», sis à Tébessa centre. A Alger, des membres du secrétariat national animeront une conférence à 14h30 au centre culturel de Cheraga.

ATT en visite à Alger : De quoi a peur Abdelaziz Bouteflika?

www.maliweb.net 

Jusqu’à ces dernières semaines, Alger traitait comme un ennemi son voisin du sud, accusé de pactiser avec le terrorisme.  Changement de style depuis l’arrivée des ex-combattants kadhafistes dans la zone de Ten Zawatten.

La visite qu’effectue, depuis lundi dernier, le président Amadou Toumani  Touré en Algérie, à l’invitation de son homologue Abdelaziz Bouteflika, est à mettre au compte de ce qu’on pourrait appeler « l’effet Soumeylou Boubèye Maïga ». Jusqu’à la nomination de celui-ci, en mars 2011, au poste de ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, les relations entre les deux pays étaient au plus bas. En juillet précédant, elles avaient même frôlé la rupture lorsque Alger et Nouakchott, dans une parfaite synchronisation, ont rappelé leurs ambassadeurs à Bamako pour montrer leur indignation devant l’élargissement par le Mali de quatre activistes d’AQMI qu’il avait fait prisonniers (dont deux Algériens et un Mauritanien réclamés par leurs gouvernements) pour sauver la vie et faire remettre en liberté le Français Pierre Camatte aux mains de l’organisation terroriste.

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