Archive pour mars, 2009

Larbins, lièvres ou figurants ?

6candidats.jpgA quelques jours du scrutin de l’élection présidentielle qu’est ce qui pourrait faire courir les candidats-lièvres-figurants ? Ils savent bien qu’ils n’ont aucune chance, qu’ils sont écrasés, piétinés ou ignorés voire humiliés par le candidat-roi, qu’ils font rire même ceux qui sont payés pour brandir des banderoles à leurs «meetings» et qui obligent les journalistes à écrire des articles-bidons.

Alors pourquoi font-ils encore acte de candidature ? Il est évident que chacun d’entre eux est géré par un colonel (ou un lieutenant) du DRS qui leur dit ce qu’il faut faire (ou ne pas faire). Comme il est évident que chacun a sa place, sa fonction, sa mission dans le dispositif pour essayer de légitimer l’élection du roi. Même les innocents ricanent. Alors que cherchent- ils ?

DES MIETTES ! sans plus, ce que daignera leur laisser le pouvoir en place pour leur dire, s’ils ont bien fait leur boulot,  pour leur faire croire qu’ils  représentent 10%, ou 05%, ou 02% des électeurs et qu’ils pourront apparaître par la suite pour créer un nouveau parti (après avoir ainsi fait acte d’allégeance), ou bien continuer à vivoter au gré des circonstances ou bien à rêver comme Louiza qu’elle sera un jour …

Des MIETTES ! sans plus, histoire d’apparaître de temps en temps à la télé, ou aux réceptions officielles du 1er Novembre au milieu de la nomenclature, ou bien d’avoir quelques députés (qui n’hésiteront pas à changer de camp en cas d’avis de tempête). Ainsi va la vie des larbins du régime ! Triste spectacle offert aux Algériens. Par David Lemac

Les cadres supérieurs mieux payés au Maroc qu’en Algérie

salaire.jpgLes salaires des cadres supérieurs travaillant pour les multinationales sont plus élevés au Maroc qu’en Algérie selon le groupe Watson Wyatt. L’enquête 2008 sur les salaires et rémunérations pratiqués par les filiales étrangères en Algérie, réalisée par le groupe consultant américain en ressources humaines Watson Wyatt en partenariat avec la Chambre française de commerce et d’industrie en Algérie, a fait ressortir que la rémunération d’un cadre supérieur (grade 16) avoisine 200 000 DA/mois en Algérie, contre 600 000 DA au Maroc et 500 000 DA en Egypte.

« Meziane Belkacem était un islamiste »

belkacem.jpgL’ancien Maire de la commune d’Amizour (Béjaia) et actuel député indépendant, Meziane Belkcem, était un islamiste quand il était au lycée Ihaddaden de Béjaia !! Alors est-ce une surprise de le voir rallier le groupe de Oujda et le groupe des affairistes ? Un khobziste pur et simple comme beaucoup de nos politiciens d’ailleurs. C’est pour cela que Bouteflika va rester président à vie, ensuite ça va être un autre con du système qui va prendre le relais. La démocratie ne verra jamais le jour en Algérie, car la réalité est qu’on n’a pas suffisamment d’hommes de conviction. Ils sont faciles à acheter avec de l’argent. Par Djillali 

 

Chlef: Après la danse, la déception

boutef4.jpgBien avant l’arrivée de Bouteflika pour son meeting au CCI à Chlef, le coordinateur des cités en préfabriqué réalisées suite au séisme de 1980, s’est mis à danser dans la salle, croyant que le président candidat allait annoncer des mesures importantes concernant ce dossier, comme l’a laissé entendre la rumeur ayant circulé ces derniers jours. Il n’en a rien été puisqu’à aucun moment le président candidat n’a abordé ce sujet. A la sortie de la salle, les citoyens, qui attendaient l’engagement du président candidat sur la question du préfabriqué et d’autres préoccupations, ne cachaient pas leur déception. Ils n’ont pas eu droit « à une réponse concrète à leurs attentes ni à un quelconque geste du premier magistrat candidat à sa propre succession ». Et dire que le déplacement de Bouteflika à Chlef était placé sous le signe de la « réconciliation » après les violentes émeutes qui avaient secoué la région en avril 2008, rapporte El Watan.

« La presse est libre de nous qualifier de lièvres »

lievre2.jpgLes représentants des candidats au scrurin présidentiel, Mohamed Said, Ali-Fewzi Rebaïne et Mohamed Djahid Younsi ont critiqué, hier lors de la conférence de presse, les propos du président de la CPNSEP, Mohamed Teguia, pour avoir menacé de poursuite les journalistes qui qualifieraient un des candidats de «lièvre». «Il faut savoir que Teguia a fait ses déclarations à la presse en totale violation du règlement intérieur de la commission puisqu’il n’a pas consulté les membres de la CPNSEP. Le règlement stipule que le coordinateur qui est le porte-parole de la commission, doit consulter les membres de ladite commission avant d’émettre une déclaration. Toute déclaration du coordinateur doit être soumise à l’accord des membres de la commission », indique Abdesselam Kessal, représentant de Djahid Younsi. Et à Mohamed Seddiki, représentant de Fawzi Rebaïne de dire: «La presse est libre de nous qualifier de lièvres et de critiquer. Au lieu de menacer la presse, Teguia ferait mieux de s’occuper des problèmes sérieux qui entravent la campagne des candidat », rapporte EL Watan.

Allah Ghaleb !

drapeaualgerie1f25a9.jpgRachid Lourari, représentant du candidat au scrutin présidentiel, Mohamed Said, a affirmé hier lors d’une conférence de presse aimée au siège du parti Ahd 54, que «la commission nationale politique pour la surveillance de l’élection présidentielle a atteint une situation de blocage, et son président, Mohamed Teguia,  joue à gagner du temps. A chaque fois que nous faisons état des dépassements au président de cette commission pour qu’il réagisse, il se contente de nous dire Allah Ghaleb», a souligné le représentant de Mohand Oussaïd qui a noté que la Commission de surveillance s’est transformée en « un comité de soutien » pour le président candidat.

Maître Bouchachi à El Watan:«Les Algériens veulent la justice»

bouchachi3.jpgLe président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a évoqué à maintes reprises dans ses discours le thème de l’amnistie générale. Prépare-t-on, d’après vous, un projet dans ce sens ?

« L’amnistie générale n’est pour l’heure qu’un thème de campagne électorale. On ignore encore s’il se traduira à l’avenir par un projet concret. Mais avant de pardonner, les Algériens ont le droit de connaître les responsables des actes nombreux d’atteinte aux droits de l’homme. Pour un pays qui a connu une tragédie comme la nôtre, avec plus de 200 000 morts et des dizaines de milliers de disparus, nous sommes en droit de réclamer la justice. Plus que l’amnistie, nous demandons la justice. En tant que membres de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme, nous pensons qu’on n’a pas le droit d’amnistier avant de faire toute la lumière sur ce qui s’est passé chez nous. La vérité d’abord. »

Samraoui dérange l’hydre algérienne !

sam2.bmpSi vous ne voyez pas un taureau dans l’arène c’est qu’il est en train de prendre son souffle et son élan dans son toril. Le voilà, les yeux voient rouge et surgis en trombe avec la ferme volonté d’encorner les blogueurs qui doutent de sa cause. Il fallait s’y attendre donc. Le compte y est. Les pics du trident du diable sont au complet. Ils se relayent dans la mission. L’autre, le supplétif qui fait les siennes, est réapparu pour amuser la galerie après un lifting du style imposé par les circonstances.

Si j’interviens encore ce n’est pas pour défendre tant Samraoui que pour contrer des attaques gratuites méchantes barbares qui se cachent derrière des plumes serviles mielleuses, perverses, calomniatrices, dédaigneuses et injurieuses. Personne ne doute dans quelle encre elles se trempent. J’aime les gens qui affirment et assument leur paranoïa. Au moins, ils sont cohérents d’une certaine manière. Prendre un homme qui trahit la meute comme cible et le traquer comme une proie est un exercice digne des sadiques et des cannibales. Il doit être battu pour l’exemple surtout. Car en fin de compte l’enjeu majeur c’est de garantir l’abri aux barbares de la maison des ogres. Ceux des mains desquels ruisselle le sang des Algériens. Alors, il faut un châtiment exemplaire. Gare aux consciences qui ne tiennent plus la charge et qui se cachent parmi les ogres. C’est ce qui caractérise toute cette campagne de diffamation contre Samraoui. Je ne sais pas si Aboud est de bonne ou de mauvaise foi, mais je sais que Samraoui dérange l’hydre algérienne.

Il y a un trait commun aux inquisiteurs de la République algérienne oligarchique et tyrannique. Ils sont tous semblables et bouffent de la même écuelle. Face à des patriotes indomptables, ils usent des mêmes fourberies archaïques. Pour soutenir leur moral défaillant et cuirasser la conscience inexistante, ils font appel au sacré et usent de notions théologiques comme l’hypocrisie, la traîtrise, apostasie. C’est leur façon de détruire ce qui reste de bien en Algérie.
Des terroristes qui égorgent ses victimes au cri d’Allah Akbar en les pourfendant de traîtres et d’apostats; un Ghlamallah qui poserait sa main sur le Coran pour dire que les boycotteurs sont voués aux enfers; un Ouyahia qui mettrait sa main dans le feu si les boycotteurs ne sont pas des traîtres. Etc., etc., etc. La liste des prêcheurs de la bonne parole… est longue et n’est pas prête de se terminer. Ici encore on les voit s’agripper bec et ongles dans leur position dévoilant clairement leur entreprise hystérique de harcèlement et de destruction au nom… de Dieu. Ah les séraphins immaculés que l’on a devant soi. Ils nous saupoudrent avec leurs réflexions innocentes et nous arrosent avec leurs vérités divines qui fondent le cœur. Des séraphins au fait religieux au service de l’hydre.

Il n’y a pas moyen de leur rendre la raison. Lorsqu’ils touillent leurs cervelles et constatent qu’ils sont à court d’arguments rationnels, ils déclenchent le plan B: ils tirent carrément le Bon Dieu et le mettent de leur côté. Voilà, le tour est joué. Aboud est un ange, Samraoui un diable.
À la question de savoir pourquoi ils traitent exclusivement Samraoui de félon en épargnant habilement Aboud de cette accusation, vient maintenant une autre question. Que signifie “mounafik”. Vous voyez, on accumule les agressions. À qui avons-nous affaire? À des gens qui insultent pour dire leurs opinions. Est-ce bon de leur accorder le moindre crédit? Je ne le pense pas. Si mounafik signifie ne pas croire à la thèse officielle du DRS, alors les mounafikine seront parmi les premiers à entrer au Paradis. Si mounafik signifie ne pas prendre des vessies pour des lanternes alors bienheureux soient les mounafikine. Par Tinariwim

Madjer a changé !

medjer.jpgIl a changé. Maintenant, il fait des talonnades à Cerbah après avoir dribblé Larbes et Merzakane. Avant il était applaudi par le peuple, maintenant, par le roi et ses vizirs. Avant, il jouait pour l’honneur de son pays, maintenant, il joue pour la poursuite de sa destruction. Avant, il jouait pour ceux qui vivaient en bas, maintenant, il joue pour plaire à ceux qui vivent en haut. Néanmoins, les peuples algérien et portugais ne sont pas ingrats, ils ne cesseront pas de te remercier pour tout le bonheur que tu avais su leurs offrir. T’aurais pu rester pur, tu n’as besoin de rien, mais tu crois peut-être que c’est un jeu, comme dans un stade. Un match à la régulière. Les adversaires sont tous identifiés et que le meilleur gagne. Malheureusement, Mr RABAH tout est trafiqué. L’arbitre est acheté. Les équipes adverses sont désignées et sont gracieusement payées. Les entraîneurs sont toujours les mêmes, ceux qui se cachent dans l’ombre, ceux qui font perdre l’Algérie mais qui gagnent toujours et ceux qui humilient ton équipe nationale depuis plus de 50 ans et qui continueront à le faire car vous ne cessez de les encourager et de les soutenir, malgré qu’ils arrêtent pas d’échouer. Les spectateurs sont floués et les slogans sont préparés dans des officines obscures, dans le laboratoire de la propagande et dans le lieu où la vérité est effacée pour être remplacée par le mensonge qui rapporte gros. C’est pour ça, Mr Rabah, que le score est de Fakhamatouhou 53 et le peuple 0. Par BUT

Réaction du FFS de Béjaia à la visite de Bouteflika

haa3.jpgLe Front des forces socialistes (FFS) a dressé un constat sévère et très critique de la situation politique du pays, à l’issue de la tenue de la dernière réunion du conseil fédéral de Béjaïa.
«Effrayé par l’extraordinaire dissidence électorale et pacifique des Algériens, le pouvoir multiplie les intrigues, les manipulations et les mensonges à travers un énième hold-up électoral. Les citoyens de Béjaïa, comme tous les Algériens, attachés, plus que jamais, aux sacrifices de millions de leurs aînés pour la justice et la liberté, assistent rageusement à la confiscation de l’indépendance, depuis près d’un demi-siècle. Après le coup de force constitutionnel du mois de novembre dernier, les décideurs recrutent cinq coureurs de petites distances, sans haies, à côté du leur, pourtant malade, mais vainqueur au final. La seule véritable barrière reste le boycott des citoyens qui sépare parfaitement les deux vrais pôles, celui des Algériens et des décideurs.

Le FFS constate que ni la mobilisation partiale de l’administration publique, gouvernement et collectivités, ni la mise à profit des deniers publics, ni la manipulation du corps électoral à travers de douteux logiciels et de curieux fichiers temporaires d’étudiants et de corps constitués, encore moins le rôle de comité de soutien que joue la télévision, n’inquiètent ces fidèles accompagnateurs à El-Mouradia, dont le seul programme est d’inciter à voter, même à blanc, que le magicien en chef à la tête du gouvernement, saura, d’un tour de bras faire exprimer…L’histoire retiendra que le chef d’Etat- candidat a reconnu la marginalisation de la région, pour ainsi dire, parce qu’elle est remontée contre lui et a démontré, encore une fois, que les jeux sont faits, à travers l’impressionnant dispositif d’occupation de la ville, digne d’un G8, les centaines de bus transportant des populations des wilayas limitrophes, la mobilisation de l’administration, les sommes colossales gaspillées pour la circonstance, que ce soit de la part des donateurs privés, non déclarés, ou avec l’argent du pétrole arrosé du sang des martyrs, sans oublier le chantage déguisé en plan de financement après sa propre succession.

A Tizi-Ouzou, Bouteflika ne savait pas qui avait provoqué les douloureux événement. L’histoire retiendra, aussi, que des martyrs de 2001, exécutés durant ses premières années de pouvoir, sous d’autres cieux sont qualifiés de massacres collectifs, dont les assassins et commanditaires restent impunis, alors que les idéaux du Congrès de la Soummam, foulés aux pieds depuis 1962, hanteront à jamais la conscience de tous les ennemis de la Révolution. Quand le mensonge et la mystification s’érigent en principe, la nation est soumise à la tyrannie. Alors, peut-on mourir tranquilles ?

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